aquí latinos noviembre 2014

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Revista internacional aquí latinos

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Page 1: Aquí Latinos Noviembre 2014
Page 2: Aquí Latinos Noviembre 2014

2Equipo Equipo de Aquí Latinos

En esta edición:

Festival del Humor

Las lecciones del Brasil

Migrantes peruanos organizados

Encantos de Nápoles

Normas de Aduanas Bolivia

Folklore del Ecuador

Venezolanos destacados

Portada: Los alimentos tienen hoy una importancia estratégica. En el XI Congreso de Protección de la

Naturaleza organizado por Greenaccord en Italia se analizó este tema. En cada edición ofreceremos su

desarrollo y conclusiones.

www.aquilatinos.info

Director:Edwin Pérez Uberhuaga - 693 767 275 (España)

0762567052 (Suiza) 73703384 (Bolivia)[email protected]

Editores:Carla Tello Límaco - 654 836 592

[email protected] Morales - 693 731 431

Responsable Técnico:Marco Erquicia - 637 160 [email protected]

Cecilia Castro - [email protected]ías en EE.UU.:

Said Giuliano Chavarry RussoCorresponsal Lóndres:

Patricia Espinar [email protected]:

Barcelona: María Esther Pérez 636912891Valencia: René Verástegui 686233526

[email protected]: Rosa Mondragón [email protected]

Sevilla: Stella Maris Masulli 645225283 Coordinación: Esther Domenech Gayo

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3 Texto

Ginebra (AL).- Muchas gran-des actividades llegan a su ter-cera o cuarta versión y luego desaparecen. Por eso es una sorpresa que una actividad como el Festival Internacio-nal del Humor, por ejemplo, llegue a su novena edición.

Y no se trata que los bancos sui-zos hagan desembolsos o que los organizadores cojan dinero de los árboles, sino que es un trabajo de dignidad y fuertes valores éticos, que hace que ellos traten de pedir la menor ayuda posible, para lograr sus objetivos.

Por eso no extraña verlos desplazarse de local en local y de ciudad en ciudad, transportando a los artistas, llevando los refrigerios, pegando carteles o haciendo de maestros de ceremonias para ter-minar “fundidos”, pero con la alegría del deber cumplido.

AQUÍ LATINOS acompañó a estos “quijotes” para reír y también sufrir por los trajines hasta que todo (o casi todo) funcione con la precisión suiza.

Julio Avella, Alba Lucía Bustamante, Oscar Nasci-mento, Esperanza España, y Teresa Castro, todos colombianos, llevaron a buen fin esta edición que tuvo los siguientes protagonistas en Ginebra, Lau-sanne, Berna, Friburgo y Zurich:

- Expo caricatures ARTE POPULAIRE BOLIVA-RIENNE (Venezuela), Groupe Musical “Cargo” (Suisse), Groupe «Keu Keu» (Chili) Danses de l’île de Pâques et de la Polynésie, Couplets et Pa-rodies de Jaime Valenzuela J (Colombie), Groupe AGUAPANELA Danses folkloriques colombien-nes, «BIENVENUS EN LOCOMBIE” Narration: Sylvia Camelo, Rolando SALAME (Chili) Acteur et mime de scène, PANCHO GONZALEZ (Chili).- Documentaires et Session spécial Hom-mage « Le Humanisme insurgé » Teatro-Ensayo

Vuelvo Al Sur, Asolatino Berna, Démonstration de tango ar-gentin donné par l’Ecole Tango-milonguero. Slam/Lectures de « CHOCOLATE » (Colombie), DUO E’EXTRÊMES SUISSES, Conférence « La Migration et l’Humour», par le journaliste Ed-win Pérez (Bolivie); Dessins ani-més CANTINFLAS (Mexique) Risa y reflexiónLos que asistieron, no solamente sonrieron, sino que también re-flexionaron sobre temas migra-torios, políticos y de actualidad, con lo que los organizadores

cumplieron sus objetivos.

Uno de los promotores es Julio Avella que hace años creó la Asociación Aipaz Común, para pro-mover la paz en Colombia y el mundo. Luego con Oscar Nascimento creó la Asociación Festinhu-mour para fomentar la solidaridad y la paz.Cada año se hizo amplios programas en olos que se rendía homenaje al humorista colombiano Jai-me Garzón, al caricaturista Roberto Fotanarrosa, argentino que murió pocos meses después del Festival, al mimo Marcel Marceau y este año al desaparecido Gabriel garcía Márquez, cuyo film basado en su libro “Crónica de una muerte anun-ciada”, fue difundido en Zurich por la Asociación Latinoamericana.

Algo poco gracioso…Nascimento recordó que con los trajines de la organización, una vez olvidaron el video de dibu-jos animado humorísticos que iban a difundir en un local.

“Nos tuvimos que disculpar e improvisamos algo que también gustó al público asistente”, dijo.El Festival del Humor es un asunto tan grande y tan serio, que es muy posible que al celebrar diez años se realice no solo en Suiza, sino en España y otros países con el apoyo de AQUÍ LATINOS y varios artistas.

Hacer un Festival del Humor: un asunto muy serio

3 Actualidad

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L´humour dans la migration Edwin Pérez Uberhuaga - Director

44Editorial

Le fait que le Colom-bien José Ordoñez ait obtenu le Prix du record mondial des blagues, a entraîné un regard différemment posé sur la crise. Dans la migration, il y a des choses qui font rire et pleurer. Je diffu-se des fragments de la conférence que j´ai donnée dans la maison d´Amérique de Barce-lone le 28 novembre 2007, lors des jour-nées sur l´humour en Amérique Latine, dans lesquelles ont participé de prestigieux journa-listes, humoristes, des-sinateurs d´Espagne et d´Amérique Latine. J´en ai profité, non seulement pour leur arracher un sourire mais aussi pour dénoncer des choses qui sont aujourd´hui pareilles ou pires... Il est difficile d´avoir un bon humour quand il y a des milliers de latino-américains en Europe et aux Etats Unis sans papiers ou avec une si-tuation peu claire de refuge ou d´asile. En décembre, à la naissance de Jésus, il n´est pas non plus amusant que les enfants de parents sans papiers reçoivent 3000 euros de l´Etat et ceux qui n´en ont pas, rien. Il y a des mères qui à cause de l´imposition du visa de l´Union Européenne, ne pourront pas voir leurs enfants ou époux dans trois ou quatre ans. Ecouter la phrase « appartement radeau » est si commun que presque l´entassement et la promiscuité que cela implique ne frappent plus. Il semble de mauvais goût que dans les pays où apparem-ment les DDHH ont évolué, on donne priorité à la circu-lation des marchandises et non aux personnes. Maintenant, le monde est divisé entre les immigrés légaux et les « sans-papiers ». Du drame au rire. Il y a des faits qui ont provoqué des maux de tête aux immigrés qui dans leur premier jour de travail, voulaient montrer qu´ils étaient malins, mais comme les différenceslinguistiques et culturelles sont nettes bien des fois, ils ont failli passer à côté de l´aubaine et ont couru le risque de perdre l´emploi.

En France, vous n´imaginez pas la tête qu´a fait la patronne quand sa femme de mé-nage latino-américaine lui a apporté la tête de son chat coupée alors que sa supérieure lui avait demandé de couper le gâteau. Quand bien même elle aurait distinctement prononcé « gâteau » pour se référer au dessert, son employée aurait entendu « gato » chat en espagnol. En Suisse, un chef d´entreprise à peine marié regardait déjà de travers son employé latino-américain à l´essai croyant être l´objet d´une raillerie collégienne lors-

que ce dernier sans le savoir prononçait « Tous mes bœufs » au lieu de « tous mes vœux ».Pour peu il fut mis à la porte si ce n´était par l´intervention d´un hispaniste entre les collègues qui dut expliquer que les phonèmes distinctifs labio-dental /v/ et bilabial /b/ dans les significations de « vœux » et « bœufs » étaient inaudibles et indicibles pour un hispanophone. Il est aussi des anecdotes lors du retour de nos compa-triotes sur leurs terres qui pis encore ont serré le cœur des leurs tout simplement par la création de termes sur les terres d´accueil. Je n´en raconterai qu´un. Des Etats Unis à son pays, une latino-américaine à force d´entendre de sa patronne à New York« switch on the vacum-cleaner on the carpet » elle ordonna de passer l´aspirateur sur le tapis dans son spainglish parfait« vacunea la carpeta » « mets le vaccin sur la carpette » à ses enfants qui récemment retrouvés après une séparation de plusieurs années, la croyait revenue folle.

Comme autrefois, une professionnelle qui doit travailler comme employée de maison doit appeler ses supérieures, selon le pays, Madame, Patronne. L´employée peut être très efficiente mais si l´enfant qu´elle gardait se réveille de mauvaise humeur, ce jour-là peut être le dernier. Une do-minicaine m´a dit qu´elle n´a pas pu travailler car l´enfant autrichien disait que cette « noire » lui faisait peur. Les artistes et musiciens sont une crue inépuisable d´anecdotes. Ceux qui avaient le teint le plus cuivré émoustillaient les jeunes européennes en leur disant qu´ils descendaient de ligne directe des Incas et des Aztèques.

AQUÍ LATINOS en Sevilla

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Il y a eu des groupes folkloriques à qui on leur a inspecté les tambours, les charangos ou guitares à la recherche de drogues ou d´armes. Comme les agents ne croyaient pas qu´ils étaient artistes, ils se sont mis à jouer à la frontière transformée à cette occasion en concert public ovationné par les policiers eux-mêmes. Peu après la guerre de l´ex Yougoslavie, j´ai essayé d´entrer comme journaliste, mais au consulat à Budapest, on m´a dit que mes démarches allaient tarder un mois. J´ai pris un DVD et une paire de bonnets « chullus » je suis arrivé à Belgrade et à Saravéjo, non comme journaliste mais com-me artiste de la rue. En Allemagne, pays peu enclin au tapage nocturne, un des-sin humoristique avait été publié représentant un nanti en train de lancer des monnaies à un musicien pour qu´il ces-se de chanter. Le chanteur portait un chapeau mexicain ce qui a engendré la colère de l´ ambassade car on y associait le latino-américain à la mendicité. A New York on m´a raconté que le leader d´une délégation de latino-américains visitant pour la première fois les Etats Unis à la suite de l´atterrissage s´est planté au beau milieu de l´avion pour donner un discours de remerciements au pilote et aux hôtesses de l´air pour avoir eu un bon voyage et leur promettre de voler avec cette même compagnie. Il va de soi que personne n´a applaudi. Un autre de la même délégation n´étant jamais allé en mé-tro, en voyant le convoi arrivé a levé la main comme s´il s´agissait d´un taxi. Les gringos Bien sûr, ceux récemment venus à un autre pays, font cer-taines erreurs. Seulement celui qui ne voyage jamais peut nous critiquer parce qu´ il ne sait pas ce qu´est se débroui-ller en parlant des langues étrangères en pays de cocagne.. Curieusement, ce sont eux les plus racistes. Mais, qu´est-ce qui se passe avec ceux qui vont en Amé-rique Latine ? Parfois dans nos pays nous disons à voix basse «sot gringo » à celui qui partage avec nous ces codes linguistiques. Quand par exemple, on dit que le village «est tout à côté » ( alors que c´est à 10 km) ou que le chef re-vient « tout à l´heure » ( alors qu´il est parti pour manger depuis belle lurette). Il ne comprend pas nos profondes valeurs « ama sua, ama llula, amakella » qui veulent dire « ne sois ni fainéant, ni menteur, ni voleur. » Il y a peu, les Etats Unis se sont ébranlés quand les im-migrés ne sont pas allés travailler un jour, en défense de leurs droits. Nous savons que la même chose peut arriver en Europe. Mais. un peu mi figue mi raisin, j´encouragerai à pousser les latino-américains à faire grève pendant 24 heures sans rire ni étant de bonne humeur. Les traits de l´Europe d´aujourd´hui, tirés par le froid hi-vernal, perdraient sûrement plus de brio, si dans nos pro-pres pays nous cessions pour un jour de sourire, de chan-ter ou d´émoustiller les jeunes filles européennes..D´où

ils puiseraient l´énergie pour retrouver leur vie monotone bien rangée?Comment pourraient-ils guérir leur dépression ou leur envie de se suicider parce qu´ils sont grassouillets ou chauves? Entre la peur et l´humour. Aujourd´hui je crois que le monde est bipolaire : celui de l´industrie de la peur ( qui nous manipule pour qu´on re-garde avec crainte l´étranger) et l´industrie de l´humour que maintenant nous avons connu davantage. En paraphra-sant Martin Luther King je veux dire : I have a dream ( Je fais un rêve) Le jour arrivera où les agents de Migration ne nous re-garderont pas avec arrogance en croyant que nous som-mes délinquants ou terroristes. Que le sourire Du style de Ronaldiño sur la photo de notre passeport soit une marque d´identification. Que les chefs et ouvriers, nous nous asseyions ensemble autour d´une table pour planifier les travaux futurs, afin d´utiliser nos potentiels sans que notre accent nous importe. Que les moyens de communication européens et nord-américains payent ce que nous appelons la « dette infor-mative » avec l´Amérique Latine et ne décrivent pas seule-ment la pauvreté, la corruption, les sanglots et le désespoir de nos gens mais nos envies de vivre et le feu de notre passion. Que les plaisanteries des enfants latino-américains soient compris par les enfants européens, arabes et africains et qu´ils apprennent ensemble à découvrir le monde en le baignant d´un sourire et fraternité- Qu´ils éclatent de rire à propos de quelque chose et non de quelqu´un.

Dans ce séminaire, dans cette maison de l´Amérique qui est la maison commune des espagnols et latino-américains, nous avons compris que l´humour brise les frontières, nous met sur un pied d´égalité et nous rend plus tolérants. Il faut comprendre une fois pour toutes que l´humour peut et doit être amour. L´humour est amour.

Resumen de la conferencia brindada por el Director de AQUI LATINOS en el IX Festival Internacional del Humor, cumpli-do en la Universidad de Ginebra el 16 de octubre. Fue en castellano con el texto traducido por Esther Domenech Gayo. En la próxima edición la publicaremos en castellano, ahora lo hacemos en francés por la gran cantidad de lectores suizos y franceses.

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Policías y folklore66Actualidad

Cuando se habla de Policía, lo primero que surge es el temor entre los migrantes. Sin embargo, cuando hay expresiones fo-lklóricas, los policías ya no endurecen sus rostros, sonríen, se dejan tomar fotografías y, en algunos casos, piden cita a alguna bella bailarina. * “La Diablada” danza boliviana, se lució en la 5ta. Avenida de Nueva York dándole un matiz diferente a esta urbe. Transeúntes, policías y ciudadanos norteamericanos en general no dudaron en tomarse varias fotografías sorprendidos ante la demostración. (Fotos: Viceministerio Turismo Bolivia)

Descubren fotos inéditas del Ché

En la población zaragozana de Castiliscar donde, tras el fallecimiento en 2012 de uno de sus vecinos, un anciano sacerdote, Luis Cuartero, encontraron ocho fotografías originales en las que aparecía el cadáver de Ernesto ‘Che’ Guevara recién asesinado por el ejército boliviano el 9 de octubre de 1967. Dichas fotografías le habían sido entregadas por el corresponsal de la agencia AFP, el fotógrafo francés Marc Hutten.

Luis Cuartero, el misionero que las recibió, decidió traérselas hacia España. Eran tiempos también convulsos en la España franquista de finales de los años se-senta, en los que de haberse conocido que la familia Cuartero tenía en su poder unas fotos del Che Guevara les podría haber acarreado más de un problema con la justicia, más que nada porque éstas hubiesen podido convertirse en imágenes icónicas del líder revolucionario y mostrar a éste como un mártir.

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En la elección más reñida de la historia nacional, Dilma Rousseff venció a Aécio Neves y gobernará el país por otros cuatro años. Brasil se consolida cada vez más como uno de los países con mayor calidad democrática y es un ejemplo para la región.

1. La fortaleza de los partidos políticos.- Las eleccio-nes ratificaron la estabilidad del sistema de partidos bra-sileño. Desde 1994, dos partidos se reparten el grueso de los votos: el PT, que gobierna desde 2003, y el PSDB, que lo hizo los ocho años anteriores.

Tanto en el oficialismo como en la oposición, ambos man-tuvieron en estos 20 años una identidad bastante definida. El PT representa a los obreros de las grandes ciudades y, más recientemente, a los sectores populares de las zonas rurales. El PSDB, en cambio, es claramente el partido de la clase media. Uno tiene una impronta más distributiva y asistencialista, el otro privilegia la eficiencia y la institu-cionalidad.

Esto contrasta con lo que ocurre en muchos de sus veci-nos, donde la política se estructura a partir de liderazgos personalistas, y las estructuras partidarias son armados circunstanciales que cambian de nombre y de plataforma según las veleidades de los líderes.

“La diferencia entre los gobiernos de Venezuela, Ecuador o Bolivia, con los de Brasil, Chile y Uruguay, está centrada en la inexistencia de un sistema de partidos competitivo, y en una insuficiencia muy grande de oposición efectiva”, explica Jorge Lanzaro, del Instituto de la Universidad de Uruguay.

“Hugo Chávez no se mató por constituir un partido por-que no lo necesitaba. Algo similar ocurrió con Evo Mora-les en Bolivia, y con Rafael Correa en Ecuador. No tienen partidos fuertes detrás, sino estructuras partidarias que se arman para los momentos electorales, pero no tienen la densidad del PT brasileño, o del Frente Amplio uruguayo”, agrega.

2. Un alto grado de competencia entre gobierno y oposición.- A diferencia de lo que viene pasando en muchos de los países vecinos, donde los presidentes ob-tienen la reelección por amplios márgenes, las elecciones en Brasil se distinguen por su paridad. Las últimas fueron el ejemplo más claro, pero no el único.

Desde 2003, todos los mandatarios fueron elegidos en segunda vuelta, con pocos puntos de ventaja sobre el principal contendiente. Este dato revela que los partidos opositores son fuertes y pueden controlar al Gobierno.

“Eso es bueno en términos de calidad democrática -con-tinúa-, porque posibilita elreconocimiento de la pluralidad

de posiciones que hay en un sistema político y en una sociedad, que nunca es uniforme. Entonces, las iniciativas políticas son más centristas y moderadas, buscan ser sustentables e intentan ser mejores desde el punto de vista institucional”.

3. El debate público entre los principales candida-tos.- Tanto en la previa de la primera vuelta como en la del ballottage, los principales candidatos se enfrentaron en diferentes debates. Todos asistieron, independientemente de si estratégicamente les convenía o no.

En otros países de la región, sería impensable que un presi-dente descienda del pedestal en el que se encuentra, para discutir en en el mismo terreno con un político opositor. También sería muy difícil que un postulante que mide bien en las encuestas se arriesgue a perder votos en una instan-cia de tanta exposición. Pero eso no juega en Brasil.

4. El desarrollo de un electorado crítico.- Que las elecciones sean tan parejas a pesar de que el presiden-te sea candidato, con los enormes recursos con los que cuenta para inclinar la balanza a su favor, evidencia que un porcentaje importante de votantes no es fácilmente con-trolable.

En las sociedades más libres y maduras, donde el grueso de las personas no depende del Gobierno para sobrevivir, el voto es más autónomo, ya que el elector sabe que su futuro no está sujeto a la continuidad del partido gober-nante. Esto es cada vez más claro en Brasil, aunque no sea el único caso en la región. 5. Un sistema electoral confiable.- Una de las joyas de la democracia brasileña es su sistema de votación, ins-trumentado a través del sufragio electrónico. A pesar de que la reciente elección se resolvió por un margen muy exiguo, y de que votaron más de 142 millones de personas en todo el país, a sólo tres horas del cierre ya se había escrutado el 98% y se pudo anunciar el triunfo de Rousseff.

En cualquier otro país de la región, una victoria tan ajusta-da habría suscitado reclamos y denuncias de fraude. Pero es tan grande la confianza de la dirigencia en el sistema que Neves reconoció su derrota en el momento.

Este no es una consecuencia exclusiva del voto electróni-co, que está lejos de ser una receta mágica que garantiza transparencia en cualquier caso. Tampoco es fruto de la ca-sualidad o de una medida improvisada que salió bien. Es el resultado de una política de estado planificada y sostenida desde hace casi dos décadas. Texto: Darío Mizrahi - Infobae.

Las lecciones de Brasil al mundo

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El Presidente del Gobierno de España, Maria-no Rajoy, anuncia que la supresión del visado de entrada a España será en el segundo se-mestre del 2015.

Mariano Rajoy ya ha dado fecha para la supresión del visado de entrada a Espa-ña para peruanos y colombianos. Por lo menos hasta julio del próximo año, los colombianos y peruanos deberán seguir pidiendo visados para viajar máximo 90 días dentro del Espacio Schengen.

El anuncio se realizó en la XXV Asam-blea Plenaria del Consejo Empresarial de América Latina (CEAL).

El tango en la sangreMauricio Borgarello lleva el tango en la san-gre y recorre el mundo mostrando ese mensa-je. En Lausana, Suiza, conoció a la checa Diva, con lo que muestran la interculturalidad de esta danza. El tango, la milonga y otras pie-zas forman parte de un repertorio que llama la atención al público. www.mauricioandiva.blogspot.com

“España impulsó en el seno de la Unión Europea la supresión de los visados Schengen de corta du-ración para Colombia y Perú, que se hará efectiva en el segundo semestre de 2015”, dijo.

Supresión del Visado para peruanos y colombianos

8Actualidad

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99 Actualidad¿Cómo fue el voto de bolivianos en el exterior?Los residentes bolivianos en el extranjero que vo-taron en las elecciones generales del 12 de octu-bre respaldaron a Evo Morales, que cosechó en ese segmento un apoyo del 72,22 %, según el Tribunal Supremo Electoral (TSE).

Morales es seguido por el empresario conservador Samuel Doria Medina, con un 15,45 %, y el expresidente Jorge Quiroga (2002-2002), que logró el 8,18 %. El exal-calde de La Paz Juan del Granado consiguió el 2,69 % de los votos y el líder indígena Fernando Vargas, el 1,47 %.

272.058 emigrantes bolivianos residentes en 33 países estaban llamados a las urnas para elegir presidente y vicepresidente, aunque a diferencia de sus compatriotas en el país andino, no pudieron votar para renovar el Legislativo.

La mayoría del voto emigrante se concentró en Argen-tina, España y Brasil. En total se instalaron 1.200 mesas

electorales administradas por 7.200 jurados en 67 ciu-dades del exterior.

Los bolivianos que viven en Japón, Corea del Sur, China y la India fueron los primeros en votar en estos comi-cios. Debido a la diferencia horaria, las primeras mesas electorales en abrir, más de doce horas antes que en Bolivia, fueron las de Tokio y Seúl, y a continuación las de China e India.

La oposición ha denunciado que los candidatos oposito-res no tuvieron las mismas facilidades que el partido ofi-cialista para realizar campaña electoral en el extranjero. Además del supuesto uso de recursos públicos durante la campaña del que acusan los opositores a Morales, muchos de ellos tienen también procesos abiertos en la Justicia boliviana que incluyen una orden de arraigo por la cual se les impide abandonar el país.

Texto: Alainet

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Guía para irse de Suiza

La Oficina del Cantón de Vaud que apoya el retorno de migrantes emitió un folleto para toda persona extranjera que desea irse de Suiza.

Se brinda consejos, ayuda económica, asistencia médica, cursos de formación, organizar el regreso al país, cobro de cotizaciones sociales.

www.bfm.admin.ch www.iom.int Pedir cita al 021 316 97 55

Es un servicio gratuito y confidencial

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Iglesia en Suiza apoya a migrantes latinos y españoles

Gran cantidad de latinos y españoles se trasladan a Suiza para buscar trabajo y muchas veces no tienen suerte. Varios acuden a Misión Católica en Lengua Española en Zurich para buscar orientación y apoyo. El responsable de la Misión, Juan Carlos Rodríguez, cmf, dijo que si bien no es su obligación, un equipo de trabajo busca paliar las necesidades de los afectados. Indicó que es muy complicado obtener empleo en la suiza alemana por las barreras del idioma y, en esta época, el agudo frío. Con relación a las actividades para final de año, lo más destacado es la “Cena de Navidad” en los locales de la Misión para las personas que se van a encontrar solas el 24 de diciembre a partir de las 18.00 y después la celebración de la tradicional “Misa de Gallo” (a las 23.00 en la Capilla de la Misión). Todo en Brandschenkestrasse 14. También hay un amplio apoyo brindado por el Teléfono de la Esperanza: 043 8176565

11 Actualidad

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1313 ActualidadXI Convención Internacional de peruanos en el ExteriorLa XI Convención Internacional de los Peruanos en el Exterior organizada por la “Organización Mundial de la Comunidad Peruana en el Exterior” OMCOPEX. La Comisión Organizadora estuvo presidida por Jaime To-ledo Mercado e integrada por Carlos Quiróz (Italia), Lorenzo Castillo, (Andorra), Eroito Reátegui, (Méjico), Kelly Mercado, (Bélgica), Angélica Sayán, (Perú), Ángel Berrocal Alva, (Estados Unidos) y Jesús Ulloa Medina, (España).

La XI Convención se desarrolló en la sala Raúl Porras Ba-rrenechea del Congreso de la República. A dicho evento asistieron representantes de asociaciones, federaciones y entidades de peruanos residentes en todo el mundo (con la participación de los residentes en los continentes: Amé-rica, Europa y Asia), en dicha Convención resaltó la asisten-cia de la Congresista Cecilia Chacón de Vittori, quien dio la palabras de bienvenida y la ponencia inaugural, asimismo la participación del Congresista Modesto Julca Jara, Vice-presidente del Congreso de la República del Perú, quien inauguró dicho evento.

También participaron el Coronel EP Jorge Luis Becerra Noblecilla, asesor principal de SEDENA y el General de División EP Leonardo José Longa López, Director General de la Secretaria Nacional de Seguridad y Defensa Nacional (SEDENA), quienes expusieron sobre el Nuevo Sistema de Defensa y Seguridad del Estado y de la Declaración sobre la Seguridad en las Américas, suscrito por el Perú en Mé-xico en el 2003. El Gral. Div. Longa López remarcó en su discurso que “El Estado a través del Sistema de Defensa Nacional (SIDENA) promueve el desarrollo del país y garantiza la seguridad de la nación, así como la plena vigencia de los derechos fun-damentales, el bienestar de la población y la consolidación del Estado Democrático de Derecho; lo que contribuye a la paz, al desarrollo integral y a la justicia social”.

La Mesa Directiva de la XI Convención Internacional es-tuvo presidida por el Dr. Hugo Henry Lara López, (Bar-celona-España), y sus integrantes fueron la Dra. Angélica Rosa Sayán López (Presidenta OMCOPEX); Lorenzo Castillo Silva (Andorra); Norma Pittman De Petruccelli (Milán-Italia); Susana Clavarino López, (Roma-Italia), Ruth Tresierra (Buenos Aires-Argentina) y Carlos Quiróz Serra-no, (Roma-Italia).

CONCLUSIONES:

1. Impulsar y reforzar la creación del Distrito Electoral para los más de 3.5 MILLONES de peruanos en el exte-rior, con un número NO menor de seis (6) representantes acorde con la proporcionalidad territorial.

2. Impulsar la consolidación de la firma de CON-VENIOS BILATERALES DE SEGURIDAD SOCIAL

Y JUBILACIONES donde exista un considerable nú-mero de peruanos residentes en el país de acogida.

3. Exigir al Congreso de la República del Perú una NUEVA LEY DE CONSEJOS DE CONSULTA y que su reglamento se ajuste a la Constitución y a la realidad de los peruanos en el exterior, considerando los principios democráticos, técnicos y participativos.

4. Impulsar políticas sociales para fortalecer los objetivos y metas de la Red Internacional de Mujeres Peruanas, conso-lidada en la XI Convención Internacional.

5. Solicitar al Congreso de la República el respaldo y la aprobación del ante proyecto de ley sobre “Los derechos y libertades de los peruanos y las peruanas en el exterior”, que será presentada al Congreso en un plazo no mayor de (3) meses por OMCOPEX.

6. Proponer al Gobierno peruano la creación de una en-tidad AUTÓNOMA, para los peruanos en el exterior, con autonomía administrativa, económica y financiera, que de-penda de la Presidencia del Consejo de Ministros como una política de Estado, para que solucione los problemas y garantizar los derechos y libertades de los más de 3.5 millones de peruanos en el exterior.

7. Es necesario diseñar una política de Estado que garanti-ce el ejercicio de los Derechos Fundamentales de los mi-grantes peruanos en el exterior, de los retornados y de sus familiares en el Perú.

8. Exigir la creación de la DEFENSORÍA DEL PERUANO EN EL EXTERIOR y sus adjuntías de defensa del emigrante adscritas a la misma.

9. La XI Convención hace suya, y solicita a las autoridades peruanas la ejecución de los acuerdos y conclusiones de la IV Convención Europea de Consejos de Consulta y Co-munidades Peruanas en el Exterior (Barcelona), la V Con-vención de Comunidades Peruanas en Europa (Andorra) y el I Congreso Europeo de Comunidades Peruanas en el Exterior (Madrid); eventos que contaron con el soprte y auspicio institucional de OMCOPEX

10. La Asamblea General encargó a OMCOPEX, la orga-nización y desarrollo de la XII Convención Internacional de los Peruanos en el Exterior, en el mes de octubre del 2015 en Lima-Perú.

11. Reconocer el invalorable trabajo por la unidad de los peruanos en el exterior; a los miembros de la comisión or-ganizadora, que concluyó con el éxito de la XI Convención.

MESA DIRECTIVA Lima 18 de octubre del 2014

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Navidad en Suiza

QUE LA FE Y LA

JUSTICIA CREZCAN

EL 2015

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Señor de los Milagros en el mundo

La misa al estilo peruano, la Marinera y otras costumbres trasladadas por sus migrantes die-ron brillo a las procesiones de la Hermandad del Señor de los Milagros en Europa y EE.UU. En las fotos en Ginebra, Suiza y en el Vaticano, se aprecia la fe de esta celebración en la que participan otros latinos y sus parejas europeas y norteamericanas.

15 Actualidad

OEA reconoce valor del cajón peruano

El Cajón Peruano fue declarado “Instrumento del Perú para las Américas” por la Or-ganización de estados Americanos (OEA). Con esa decisión el Perú logra consolidar un patrimonio heredado de sus ancestros y que era disputado por españoles y otros países. “Esta ha sido una noche histórica. Hemos puesto el nombre del Perú en alto aquí en el edificio de la OEA que se ha convertido en una sola bandera rojiblanca”, expresó el representante permanente peruano ante el organismo, Juan Jiménez Mayor.

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16Editorial Nápoles enfrenta con dignidad a la mafia

Nápoles, Edwin Pérez U. 10 oct (AL).- La camorrra (mafia) italiana, la pizza napolitana o Diego Maradona con la casaca celeste del Nápoles levantan-do la copa de Italia, son las principales imágenes que uno tiene al pensar en esa ciudad al sur de Italia.

Pero fue una sorpresa encontrar una ciudad con mucha historia, como el volcán Vesu-bio que hace siglos destruyó Pompeya, los museos y palacios y las innovaciones en la elaboración de seda y vinos de alta calidad.

También se puede conocer cómo un pueblo castigado por la mafia puede generar trabajo sin re-currir al dinero sucio y sin miedo a terminar muerto por sus ideales y honestidad.

He conocido a jóvenes de la Università degli Studi Suor Orsola Benincasa que se esfuerzan por lograr una profesión y no ser parte de la nueva generación que emigra a Alemania, Suiza y otros países para es-capar de la crisis.

Esas vivencias formaron parte del XI FORUM IN-TERNAZIONALE DELL’INFORMAZIONE PER LA SALVAGUARDIA DELLA NATURA organizado por Greenaccord. Bajo el lema “Gente construyendo el futuro”, periodistas y científicos de todo el mundo discutimos temas actuales, como la aparición del Ébola, hasta la posibilidad de tener alimentos sin tantos químicos que dañan al ser humano y a la na-turaleza.

Bajo la coordinación de Alfonso Cauteruccio, Presi-dente de Greenaccord y de Andrea Masullo, del Co-mité Científico se cumplieron inten-sos debates en los que también AQUÍ LATINOS dio a conocer su posición sobre el impacto migratorio en los fenómenos que se estudian.

NO A LA MAFIA, SI A LA VIDALa Cooperativa de Agroturismo “Fuo-ri di Zucca”, fue formada luego del asesinato de un importante sacerdote en la puerta de su Iglesia, por haber-se puesto en contra abiertamente a la mafia.

Sus seguidores decidieron enfrentar a la mafia no con la violencia, sino brindando alternativas de em-pleo a mucha gente. Para ello, convirtieron un ex manicomio en el centro de operaciones para pro-ducir y acopiar, café, pastas, vinos y productos de limpieza del hogar, elaborados por sus socios de manera artesanal pero usando también moderna tecnología.LA SEDA

“Para reconocer que una vestimenta tiene realmen-te seda, hay que frotarla y sonará como un cáscara de huevo que se rompe”, dijo Matilde una de las operarias de la empresa familiar que elabora telas desde hace seis generaciones.

En el museo de la seda, retrocedimos al pasado para observar la forma en que a base de la fuerza hidráu-lica, se movían máquinas que permitían el hilado y confección de gran cantidad de prendas de gran va-lor para esa época.

En el Palacio se observa maniquíes que represen-tan a la realeza y sus trajes muy bien elaborados.

A pesar de la existencia de material sintético, la seda sigue siendo hoy muy bien valorada y su precio es muy alto.

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Nápoles (AL), 11 oct.- Cuando faltan pocas horas para recordar el 12 de octubre como “Día del Descubrimiento de América” o “Encuentro entre dos mundos”, científicos de todo el mundo reivindican el valor de la quinua andina como un “alimento estraté-gico para garantizar la seguridad alimenta-ria del futuro”.

Decenas de investigadores y periodistas de todo el mundo debaten sobre los problemas de mal-nutrición (desde la obesidad hasta la carencia de alimentos), en la Universidad de Nápoles, cuyo edificio tiene una vista espectacular del histórico volcán Vesubio.

En esta ciudad, al sur de Génova, donde nació Cristóbal Colón, la quinua y el amaranto fueron mencionados como vitales para un equilibrio ali-menticio, sobre todo por Stefano Paludosi del Programa de Biodiversidad Internacional, que ha desarrollado proyectos de investigación en Boli-via, con los productores que tienen en la Quinua Real un verdadero tesoro.

El investigador manifestó que no es posible hacer una producción intensiva de ese cereal en otros países, porque el gobierno boliviano es muy “ce-loso” y mantiene los derechos de investigación, producción y exportación, por lo que es necesario hacer convenios bilatera-les para investigar y am-pliar la producción.

En la ronda de preguntas, AQUÍ LATINOS hizo no-tar que es curioso que durante la colonia se trato de eliminar esos alimentos para destruir la identidad y evitar la fortaleza intelec-tual de los indígenas, mien-tras que ahora tanto Euro-pa como EE.UU. tratan de solucionar los problemas del hambre con ese pro-

ductos, que hasta ahora solo era consumido po-cas veces porque se había impuesto la “cultura” del arroz y el fideo en las comidas.

El italiano Padulosi coincidió con este correspon-sal en sentido que se plantea una especie de “re-vancha histórica” en la que pueblos antes oprimi-dos hoy tienen el poder de alimentar y dar salud a los pueblos occidentales.

El 2013 fue declarado Año Internacional de la Quinua por la FAO (Organización de las Nacio-nes Unidas para la Agricultura y Alimentación), lo que dio lugar a los pueblos andinos a realizar una ofensiva diplomática para proteger la quinua y fa-vorecer su exportación a los grandes mercados.En Roma, el Embajador de Bolivia, Antolín Ayaviri, dijo que la Quinua Real ya puede ser adquirida en varios supermercados, lo que favorece el desa-rrollo económico de los campesinos productores.Al mostrar varios envases que se exhiben en la Embajada, en calle Brenta 2, el diplomático expre-so que se hará lo necesario para que la quinua y otros productos andinos ocupen el lugar que se merecen ahora y en el futuro.

Conclusiones en próxima edición

Científicos se rinden ante poder de la quinua

17 Actualidad

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1er. Festival Cultural Gastronómico Latinoamericano en Suiza El 6 de diciembre desde las 12:00 hasta las 02:00, se llevara a cabo en la Sede de la Maison International d´Associations de Geneve, Suisse, 15 Rue des Savoises, el « 1er. Festival Cultural Gastronómico Latinoa-mericano en Suiza ».

Los objetivos son los de mostrar, en la ciudad mas internacional del planeta, donde radican decenas de instituciones internacionales y coexisten en perfecta armonía, comunidades equidistantes religiosa, social, política y económica, la Cultura Gastronómica Latinoamericana existente en Suiza.

Se degustará el Keperi Boliviano, la Causa Peruana, el Taco Mexicano, las Empanadas Argentinas, la Bandeja Paisa de Colombia, el Plato Criollo de Ecuador o la Feijoada Brasilera, entre otras exquisiteces. infos: [email protected]

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Lo que puede ingresar a Bolivia sin pagar impuestosUna máquina fotográfica, una computadora portá-til, una filmadora y sus accesorios, una grabadora, radiograbadora o radioreceptor, solo un teléfono celular, artículos para deportes, un instrumento musical portátil y coches para niños, sillas de rue-das para inválidos y demás bienes de uso ortopé-dico personal.

En caso que usted trate de introducir bienes nue-vos, deberá demostrar que estos no persiguen fi-nes comerciales y también deberá demostrar que el valor de estos no exceda los $US 1000 estable-cido por ley como “franquicia libre de impuestos”. Además de esto, usted también podrá introducir hasta tres litros de bebidas alcohólicas, hasta 400 cigarrillos y hasta 50 cigarros o 500 gramos de ta-baco picado.

¿Si demuestro que los regalos que llevo a Bolivia no persiguen fines comerciales, puedo no pagar impuestos?

No. Si usted piensa que declarando los productos – que no son de uso exclusivamente personal – y demostrando que estos no tienen fines comercia-les estará libre de impuesto, no es el caso, igual-mente deberá tributar.

En palabras de la titular de Aduana Marlene Arda-ya,: : “el viajero que llegue solo puede portar en su equipaje efectos de uso personal, mientras que

otros objetos que declare, por ejemplo para rega-los, deben pasar por el proceso de internación y nacionalización. Se debe recordar que la franquicia de los $us 1.000 solamente es para efectos de uso personal, no para traer obsequios”

Retención de sus productos

La presidenta de la Aduana sostuvo que esta medi-da está destinada a combatir el “contrabando hor-miga” y que las personas que no puedan o no quie-ran pagar la “nacionalización” de estos productos verán retenidas su “mercadería”.

“Las personas pueden pagar o nacionalizar esos artículos y hasta que no suceda se hace una reten-ción provisional”, amenazó Ardaya.

Texto: Página Siete

19 Actualidad

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Solidaridad sin fronteras en Suiza

20Emprendedores

Personas de varias nacionalidades participaron en la kermesse de solidaridad or-ganizada a favor de Elfy Avalos, que sufre una grave enfermedad. En la Salle de Faubourg de Ginebra se vivió momentos de confraternidad al calor de bebidas y comida típica, bajo la coordinación de Valeria Leon Vargas y Wagner Antelo. Los artistas que participaron fueron Lisbeth de Bolivia, Ingrid, del Peru, Maikel Roca, de Ecuador, Reynaldo Zambrana, Herbé Escóbar, Chony Castillo Carceles de España y Roly, el Nro. 1 de la Cumbia con Cumbiamba, Chris Sánchez de España, Daniel Ledezma, la guitarra latina, el Grupo de Danzas Inti Raymi, Dj Soil2. Asistió también la Fraternidad de Damas Patujú. En la foto central se observa a Elfy Avalos, al co-lombiano dirigente de la Asociación Hay Paz Común, Oscar do Nascimento, Alba y la venezolana Ayarith Hernandez, La Reina del Merengue. Erlan Arce colaboró en el Arte grafico y Juani Hurtado Argarañaz en la Cocina. Fue presentada la nueva edición de AQUÍ LATINOS.

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Una forma novedosa de hacer arte

2121 Actualidad

La colombiana Alba Lucía Bustamante, en vez de tirar a la basura las tarjetas telefónicas, las convierte en un espacio donde deja volar su imaginación para pintar estampas de su tierra natal y de Latinoamérica. Ha expuesto su novedoso arte en Berna y en la CCLA de Ginebra y prepara otras exposiciones el 2015. “Creo que es una buena forma de mostrar el tempera-mento y paisajes de nuestra región”, dijo a AQUI LATINOS en Ginebra.

Todos Santos en Europa

Los latinos mantienen la costumbre de honrar a los muertos en su estilo, aunque otros se dejan llevar por el mercantilismo de Halloween. En Madrid, la familia de Agustín Alvarez preparó las t´antawawas o panes con figura humana y la comida de sus seres queridos. Dentro de la mi-gración, hubo gente que murió en otros países o en el propio, alejado de quienes amaban.

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La belleza del folklore ecuatoriano

22Actualidad

La comunidad ecuatoriana es una de las más numerosas en Europa. a donde van muestran sus bailes tipicos de la sierra y de la costa, con vestimentas muy coloridas. Estas fotos del grupo Renacer del Ecuador son una parte de esa impresionante riqueza cultural.

El Presidente Rafael Correa visitó Suiza y otros países donde pidió que Europa retire la visa a los ecuatorianos, como lo hará con colombianos y peruanos. “Por eso hemos creado el vice-ministerio de relaciones internacionales y movilidad humana”, explicó. El mandatario elogió a los emigrantes que salieron de Ecuador y ahora son los “héroes de la patria” y dijo que se busca un retorno digno para que logren su estabilidad definitiva.

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¿Qué pasa con los jubilados latinos?

23 Actualidad

La Asociación Cultural “Contigo Amé-rica”, realizará Talleres Formativos, con temas de interés de los connacionales de América Latina. Uno de ellos será el de Convenios Bilaterales de la Seguridad So-cial entre España y los países Iberoameri-canos, de manera concreta: “La Jubilación Internacional”. Tratará la Jubilación entre España y Perú, Ecuador y Colombia, con la participación del I.N.S.S., los representantes consulares y con el auspicio de AQUI LATINOS.

Se realizará el 26 de Noviembre de 18.00 a 21.00 hs. en el Auditorio del Consejo General de la Abogacía Española, Paseo Recoletos, Nº 13, Madrid. Es dirigido a los extranjeros que residan en España, a estudiantes de diferentes Universidades de Madrid, a las asociacio-

nes de Inmigrantes y al público en general, infor-mó una de las responsables, Dra. Sonia Castillo.

Este evento es organizado por la Asociación Pro-fesional de Abogados EUREKA, Asociación de Mujeres empresarias PACHAMAMA y Asociación Cultural “Contigo América”. [email protected]

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“Procesos de descolonización de los pueblos originarios”

2424Migración

Ginebra (AL).- Cerca de 70 personas asistie-ron al ciclo de conferencias sobre “La des-colonización de los pueblos indígenas” en la Universidad de Ginebra, organizado por el colectivo ginebrino Nuevas generaciones Chile.

El 7 de octubre el público escuchó a Mireille Fa-non Mendès-France, presidenta de la fundación Fanon, sobre su misión de observadora interna-cional en Chile, país donde visitó a varios presos políticos mapuches y representantes de la socie-dad civil en mayo.

Citó su informe: “Podemos decir que si el colo-nialismo ya no existe en sus formas directas y brutales, la colonialidad nunca ha desaparecido de las mentes y en particular en los que dominan y organizan el mundo de acuerdo a sus intereses”.El dialogo se abrió con Rodrigo Paillalef, encar-gado de los asuntos Indígenas de la Misión de Chile en Ginebra, sobre el origen y la historia de la ley antiterrorista y las modificaciones pro-movidas por le gobierno de Bachelet para que esta ley este en “conformidad con los derechos humanos”. El debate fue intenso y se destacó el rol de los procesos de colonización y dominación todavía vigentes en Chile como la represión de los pueblos originarios por el Estado chileno.

El diálogo continuará con la segunda conferencia “(Re) construcción indígena: Mapuche y Diaguita en Chile neoliberal” presentada por Anahy Gajar-do, antropóloga de la U. de Neuchâtel y Friburgo e Irène Hirt, geógrafa de la U. de Ginebra que hablarán de dos pueblos indígenas contemporá-neos de Chile.

Incorporados en un mismo estado-nación y suje-tos a las mismas políticas y legislaciones, diaguita y mapuche desarrollan estrategias identitarias y territoriales que se inscriben en espacios geográ-ficos diferentes y historias particulares. Será el 20 de noviembre, en la U. de Ginebra Uni-Mail, sala MS130, a las 18h30. [email protected]

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2525 ActualidadEcuatoriana le saca tarjeta roja a la crisisMarlene De Los Angeles Salas Narvaez, es una ecuatoriana que es Arbitro de Fútbol pro-fesional y que para enfrentar la crisis no duda en ejercer otros oficios como el de fontanera, funcionaria de almacén, y al mismo tiempo estudia el bachillerato y es ama de casa.

En diálogo con AQUÍ LATINOS se nota su ener-gía y sus ganas de salir adelante, enfrentando la discriminación, el machismo y, en algunos casos, la falta de respeto de los jugadores o compañeros, pero también se ha ganado la admiración de quie-nes la conocen. Entidades como la Fenadee le han entregado diplomas.

Madre de 3 hijos y abuela de dos niñas, conserva su buena forma física para seguir atenta los parti-dos de fútbol que dirige. “Cuando entro a arbitrar no sé si con el resultado se beneficia uno u otro, solo hago mi trabajo”, dijo. Recordó que cuando mostró tarjeta amarilla a un jugador él se puso muy triste porque no podría jugar la final en el siguiente partido. Le rogó que ella no ponga la sanción en el informe pero ella solo cumplió con su deber.

Marlene, que es de una familia de árbitros, nació en la Provincia de Pichincha en 1969, su vida ha sido una constante migración, de su ciudad natal sale a los 8 años a Quito, a los 10 años se muda a Quininde, a los 13 años viaja a Ibarra y a los 31 años viene a España a Madrid.

“Me ha pasado de todo y he aprendido a no ren-dirme y ese es el mensaje de fortaleza que brindo a los latinos”, expresó.

foto: Juan C. Lucero Saavedra

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Los venezolanos que conquistaron España en 2014 (parte I)

26Actualidad

El talento venezolano des-conoce de fronteras. Con la fuerza del Orinoco en las ve-nas, los artistas han saltado a los escenarios, salas de ex-posiciones, auditorios y espa-cios públicos para demostrar sus habilidades.

Si bien es cierto que al pensar en Venezuela la primera imagen que aparece en la mente es una hermosa Miss Universo, tam-bién hay que recordar a otras, como es el caso de Evlin Pérez, la reconocida escritora del blog Por mis tacones, que ya cuenta con más de 30.000 seguidores en las redes sociales durante los cinco años de trayectoria con su plataforma. En 2014, Pérez ha dado un nuevo paso en su carrera al publicar su libro Con los tacones bien puestos, un recopila-torio de sus mejores artículos que cuenta con un prólogo del famoso escritor y psicólogo venezo-lano, César Landaeta.

Mientras Evlin destaca con sus palabras, Liana Fushan lo hace con sus trazos. La pintora radi-cada en Barcelona ha representado, en su expo-sición Inútiles Furores, al holocausto, pero desde la perspectiva de mujeres que no pueden hacer nada ante los acontecimientos que dominan su entorno. Una muestra que, ante la positiva crítica que ha recibido en toda Cataluña, ha permane-cido abierta hasta el pasado 30 de noviembre y que está prevista sea expuesta por otros países europeos.

Conscientes de la importancia del humor para los venezolanos, grandes comediantes de la na-ción caribeña también han destacado. Por ejem-plo, Emilio Lovera se ha presentado a través del monólogo La piñata latinoamericana, donde ofre-ció una valoración de la sociedad sudamericana desde la perspectiva del humor. Algo muy similar a lo que ha realizado Laureano Márquez por me-dio de Sit Down, al que él mismo valora como “una reflexión humorística de Venezuela”.

Los monólogos de estos hu-moristas fueron tan concu-rridos como el concierto de Guaco, agrupación conocida como ‘La Súper Banda de Ve-nezuela’. Un conjunto que, tras más de 50 años de trayectoria, puso a bailar a venezolanos en Madrid y Barcelona a través de sus temas más reconocidos como Deja o Quisiera.

Los ritmos venezolanos, sin embargo, no siempre necesi-

tan saltar el charco, sino que ya se han arraigado dentro de la cultura española. Así lo demuestra Siudy Garrido, una de las bailaoras y coreógrafas flamencas más destacadas del mundo que, ade-más de triunfar en suelo ibérico, ha logrado el reconocimiento internacional con Siudy Between Worlds, una presentación que le valió la nomina-ción al premio Drama Desk de Nueva York.

El éxito de la bailaora recuerda la historia de Carlos Talez, famoso percusionista oriundo de Palmarito (Estado Mérida), que ha viajado por toda España con su proyecto musical de tambo-res afro-venezolano. Un estilo que ha sido adop-tado por la cultura europea, permitiéndole dar a conocer el folklore nacional por toda la región. @JosePuglisi

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Como túLetra y música: Marcela Valenzuela

(colombiana en Suiza)

Tantos días tantos años, tantos mo-mentos de soledad

tanto tiempo esperando encontrar alguien para amar

acostumbrada al vacio y al silencio de mi habitación...

y es que así te imaginaba, así como eres tú

Nunca pensé encontrar alguien

como tú,que borrara de mi alma el dolor,

que llenara mi vida de esa hermosa luz y que me hiciera creer...

Alguien como tú...

Ya te conocía hace tiempo, en mis sueños te pude ver...

sin que supieras yo te miraba,mientras esperaba mi corazón

eres más de lo que pedía parece obra de Dios...

Premios I Concurso Internacional De Poesía y Microrelato “Aquí Latinos”El jurado del “I CONCURSO INTERNACIONAL DE LA REVISTA AQUÍ LATINOS”, hace hincapié en el hecho que debido a la gran participación y de la calidad de todos los trabajos, ha sido muy difícil ponderar el orden y prelación de los pre-mios concedidos y publicados en el número de octubre. Debido a este hecho, se han publicado ocho premios de poesía, cuatro de microrelato y una mención especial para poesía. Tanto los premios conseguidos como la publicación de los trabajos pueden consultarla en:

Premios:h t t p : / / i s s u u . c o m / a q u i l a t i n o s /d o c s / a q u i _ l a t i n o s o c t u b r e _ 2 0 1 4 -web/23?e=1682501/9616436

Debido a la calidad y número de los trabajos, el jura-do del concurso solicita patrocinadores para la dota-ción de premios en la cuantía o regalo cultural o ar-tístico que cada patrocinador o sponsor considere, y para el poema o microrelato premiado en el número de octubre de 2014 (arriba el enlace) que considere, por su temática, sensibilidad o forma. Los patrocina-dores y los premios o regalos que entreguen, serán asimismo publicados en alguno de los números de esta revista internacional mensual. [email protected] [email protected]

Entrega de XIV Premio Casa de América de Poesía Americana

El poeta Rafael Courtoisie (Uruguay) fue distinguido por su libro Parranda en el mes de noviembre Par-ticiparon Tomás Poveda, director general de la Casa de América y Juan Malpartida, miembro del jurado y director de Cuadernos Hispanoamericanos.

Hubo la lectura de poemas a cargo del poeta galardonado. Según los críticos, Parranda es una fiesta de la poesía, un jolgorio, un disfrute donde la palabra danza en un continuo encuentro de la alegría y el pensa-miento, en una dialéctica del goce y la pena cuya síntesis se concreta en el texto.

Los duelos y quebrantos mutan en una sonrisa honda, en una melodía unitaria, sabiamente ensamblada y profunda donde se descubre que en el tercer milenio todo objeto es poético, y que de hasta la amargura puede extraerse un zumo vital, un agua que alimenta el misterio de la sed, las ganas indeclinables de vivir.

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Emprendedores latinos en España

2828Actualidad

Más de 300 empresarios latinoamericanos y españoles se reunieron en el evento Road&Business efectuado en Madrid en octubre. Hubo un amplio intercambio de experiencias y contactos para efectuar nuevos emprendimientos.

Asistió la Junta directiva de Aje Madrid y Alce, Misiones diplomá-ticas de Colombia, Rep. Dominicana, Perú. AQUI LATINOS estuvo presente. Los colaboradores fueron Jóvenes X México, Fraternidad por México, Empresa Neba, KawArna, Garrigues Cooperación, Travel and living Universe, Hotel Puerta de América, Farfan Daza.

Los patrocinadores Cerveza Pilsner Urquel. Bocados Gastro, Mundo Doblaje, Patricia Guillén, MKEm-poweringManagment GrupoInviam, Boca&Boca, #Idennty, MadridSchoolofMarketing

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Europa apoya proceso de paz en Colombia El presidente de Colombia, Juan Ma-nuel Santos, finalizó una gira europea de cinco días y se sintió satisfecho por los apoyos políticos y económi-cos logrados para respaldar el proce-so de paz con la guerrilla de las Farc en La Habana.

“En todas partes hemos recibido un apoyo superior al que esperábamos. Se nota que el mundo está mirando con mucho interés lo que está sucediendo en Colombia como un caso de éxito, un caso positivo en mundo lleno de complicaciones”, afirmó Santos.

Santos inició su gira en España, donde se reunió con el presidente, Mariano Rajoy, y con el rey, Felipe VI. Luego fue a Bruselas, Berlín, Lisboa, París y Londres donde visitó a la Canciller Alemana Án-gela Merkel; el Presidente de Portugal, Aníbal Cavaco, y el de Francia, François Hollande.(Texto: Reporteros Asociados)

El estrés migratorio aumenta la diabetes La Dra. Patricia Morales, mexicana, es una de las más notables profesionales latinas en Zurich. Pudo estudiar tres profesiones y ahora brinda una atención especializada sobre la diabetes. Ha superado las barreras del idioma, las costumbres y la falta de valoración a las mujeres, para imponerse en un medio altamente competitivo al que pocos latinos pueden acceder.

En una entrevista con AQUÍ LATINOS en su consultorio, la Dra. Morales dijo que los malos hábitos alimenticios en la población en general y en particular entre los latinos, además de factores hereditarios, provocan desfases en el organismo que se reflejan en la diabetes y otras enfermedades.

La profesional coincidió con otros expertos en sentido que el estrés es más notorio en la población migrante en la Suiza alemana, ya que deben enfrentar el alto costo de vida, más aún si no cuentan con un empleo estable o con la alegría de estar cerca de sus seres queridos. “Es necesario que por so-bre todas las cosas cuiden su salud, algo indispensable para lograr sus objetivos migratorios”, dijo.

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3030Actualidad Calor y elegancia latina en Zurich

A pocas cuadras de la estación de tren de Zurich, muy cerca de las calles Langstrasse y Militarstrasse, se puede encontrar un lugar donde el calor y la elegancia se ponen a dis-posición del exigente público latino.

Se trata de la Boutique Alpamayo Fashion, que en casi veinte años se ha convertido en el punto de referencia de la moda en la Suiza alemana. Tiene colecciones de Milán, Lóndres, París y Buenos Aires.

Su propietaria y diseñadora es la popular Car-men Alpamayo del Perú. “Para fin de año ten-dremos ofertas especiales para nuestros clien-tes de siempre y para aquellos que nos visitan por primera vez”, dijo a AQUI LATINOS en su local de la Brauerstrasse 33. Se puede ver sui trabajo de muchos años en www.alpamayofas-hion.com, su mail es [email protected] y

su tel. +41 44 241 04 24. Ella está interesada en contactar con emprendedores latinos en España y otros países.

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