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L E D O C T O R ATM O D E S ( S ) D ’ E M P L O IÉ C O L E D ’ É T É D O C T O R A L E
D E S C R I P T I F DES CONFÉRENCESET DES ATELIERS
J U I L L E T2 0 1 5
LE DOCTORATMODES(S) D’EMPLOIÉCOLE D’ÉTÉ DOCTORALE
LUNDI 6 JUILLET POINTS DE VUE SUR LE DOCTORAT
7
CONFÉRENCESLA RÉUSSITE DOCTORALE EN FRANCE (PIERRICK GANDOLFO, UNIVERSITÉ DE ROUEN, HCERES) O
n compte actuellem
ent un peu moins de 300
écoles doctorales (ED) en France, classiquem
ent thém
atisées et portées par un ou plusieurs établis-sem
ents ou par une Com
munauté d’Universités et
d’Etablissements (ou C
omUE), avec un contexte et
des moyens pouvant considérablem
ent varier d’un site à l’autre. La réussite des doctorants consti-tue l’une des m
issions fondamentales des écoles
qui les accueillent. Cette réussite dépend à la fois
de facteurs contextuels et organisationnels et de l’engagem
ent de l’ensemble des acteurs im
pliqués (directem
ent ou indirectement) dans la form
ation doctorale : l’ED
(depuis le recrutement jusqu’à la
soutenance), les unités de recherche et les directions de thèse, l’établissem
ent et les structures transver-sales (créées pour épauler les ED
dans la gestion de la form
ation et du suivi des doctorants/docteurs) et, enfin, les doctorants eux-m
êmes. D
epuis leur création, les écoles doctorales ont éprouvé divers types de dispositifs pour assurer la réussite de leurs doctorants, avec une efficacité variable, et des freins parfois rencontrés selon la volonté et l’im
plication des différents acteurs concernés et les m
oyens mis
à leur disposition.P. G
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LES ED ET LEUR CONTEXTE UNIVERSITAIRE DANS LA RÉUSSITE DOCTORALE(CATHERINE FLORENTZ, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)Les laboratoires de recherche académ
iques forment
l’environnement indiscutable et incontournable à la
préparation du doctorat. Celui-ci correspond à la
reconnaissance d'une première expérience profes-
sionnelle par la recherche et conduit au grade le plus élevé décerné par une université. Les conditions de préparation d'un doctorat ont considérablem
ent évolué ces dernières années, visant à une form
ation am
bitieuse de très haut niveau, garantissant l’excel-lence du grade décerné tout en apportant au doc-torant des conditions d'exercice en adéquation avec cette am
bition. Les écoles doctorales, structures privilégiées de la m
ise en œuvre du lien étroit entre
la recherche et la formation doctorale, sont placées
au cœur du dispositif de form
ation doctorale. Les politiques des universités se déclinent de plus en plus souvent au sein de structures transversales, visant égalem
ent une harmonisation des procédures,
du suivi des doctorants, d'offre de formations trans-
versales, au delà des spécificités disciplinaires. Les com
pétences ainsi acquises, uniques aux docteurs, visent à être valorisées dans tous les secteurs so -cio-économ
iques, incluant la recherche et l'ensei-gnem
ent supérieur, mais égalem
ent bien au-delà et ce aussi bien au niveau national qu'international. Les 10 écoles doctorales et le collège doctoral du site Université de Strasbourg sont engagées dans une telle dynam
ique, visant à dépasser les frontières par et pour le doctorat.P
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TÉMOIGNAGES : LE DOCTORATANIMATEURS : O
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TABLE RONDE : AMÉLIORER LA FORMATIONDOCTORALE ?ANIMATEUR : Pierrick G
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Doctorants
LE DOCTORAT(CATHERINE SCHNEDECKER, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG, HCERES)Après un état de l’art et une typologie des divers ouvrages susceptibles d’aider les doctorants dans l’élaboration de leur projet, nous répertorions les zones d’om
bre peu abordées dans la littérature, par-m
i lesquelles deux types de contraintes, qui pèsent lourdem
ent sur la réussite/l’échec doctoral : i) les contraintes externes au doctorant et à son doctorat que sont les structures qui l’accueillent, la relation qu’il entretient avec son encadrant et la gestion du tem
ps ; ii) les contraintes internes, conséquence di-recte des prem
ières et causes des abandons. Dans un troisièm
e temps, nous abordons les questions
liées à l’insertion professionnelles des doctorants is-sus notam
ment des SH
S. Ces élém
ents permettent
de formuler des hypothèses sur les besoins/attentes
des doctorants et de motiver les choix thém
atiques et structurels présidant à la m
ise en œuvre de l’école
d’été « le doctorat mode(s) d’em
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LA THÈSE: DES MYTHES À LA RÉALITÉ(MARC VIAL, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)Il faut se m
éfier des discours officiels sur la thèse: ils traitent plus souvent de ce que le travail doctoral devrait être que de ce que, dans la plupart des cas, il est. Q
u'un doctorant prête une oreille par trop com
plaisante à ces « éléments de langage » acadé-
mique, et il a toutes les chances de désespérer de
son travail et de ne jamais le m
ener à chef. Nourri
par l'expérience, on tâchera de présenter l'envers du décor et, on l'espère, de coller davantage à la réali-té - quitte à écorner un certain nom
bre de mythes.
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MARDI 7JUILLETPRODUIRE DES CONNAISSANCES
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LES OUTILS DE LA RECHERCHE DOCUMENTAIRE(ELISE GIROLD, BNU STRASBOURG)Après un exposé général des dém
arches nationales (licences nationales, O
pen Access) et locales (ca -talogue com
mun) destinées à favoriser l’accès des
chercheurs à une documentation riche et variée,
plusieurs bases de données pluridisciplinaires en SH
S (Francis, Project Muse) seront présentées aux
participants, avec un focus particulier sur les outils libres (O
pen Edition, ISIDO
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numériques).
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OUTILS LOGICIELS POUR L'ANALYSE DE CORPUSTEXTUELS (BÉNÉDICTE PINCEMIN, ENS LYON)La com
munication dressera un panoram
a de diffé-rents types d'outils pour la préparation et l'analyse des corpus textuels. L'objectif est d'une part de com
prendre les étapes d'un travail sur corpus numé -
rique, et d'autre part, à l'intérieur de chaque étape, de distinguer et caractériser différentes approches de traitem
ent. Nous prêterons une attention plus
particulière à l'approche textométrique, en expli -
quant sa pertinence pour la recherche en sciences hum
aines et sociales. La présentation apportera égalem
ent des éléments de m
éthodologie fonda-m
entaux pour l'usage de corpus numériques.
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ATELIERS ATELIER : TXM (BÉNÉDICTE PINCEMIN, ENS LYON)Le logiciel open-source TXM
, gratuit et utilisable sous w
indows, m
ac ou linux, permet l'analyse quali-
tative et quantitative de corpus écrits ou oraux trans-crits, dans toute langue pouvant s'écrire avec des caractères UTF-8 (unicode). L'objectif de cet atelier de 2h est de voir des exem
ples concrets de résultats obtenus avec ce logiciel dans différents contextes (textes littéraires, discours politiques, entretiens se-m
i-directifs...). L'atelier prendra en partie la forme
d'une démonstration interactive, où les possibilités
du logiciel seront explorées en fonction des attentes et questionnem
ents des participants.
GESTION DES DONNÉES SUR TABLEUR(LAURENCE LONGO, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)Dans cet atelier, nous verrons com
ment tirer parti des
possibilités offertes par un tableur (Microsoft Excel,
Libre Office C
alc) pour exploiter des corpus (textes bruts ou annotés). Après avoir im
porté nos données dans le tableur (à partir d'un relevé m
anuel ou à par-tir de résultats de requêtes avec un concordancier par exem
ple), nous verrons comm
ent annoter nos données, com
ment effectuer des recherches dans
nos données, comm
ent trier et filtrer nos données (depuis une feuille ou un classeur). Nous verrons aussi com
ment effectuer des calculs sur nos données,
comm
ent présenter les résultats obtenus (graphiques et tableaux croisés dynam
iques notamm
ent) et en-fin com
ment exporter nos résultats (dans un article
ou une présentation). Pour clôturer cet atelier, nous élaborerons une fiche pratique où figureront diverses astuces pour faciliter l'utilisation du tableur.D
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CONFÉRENCES« SCIENCES HUMAINES » : UN OXYMORE ? THIERRY MARTIN (UNIVERSITÉ DE FRANCHE COMTÉ)Réflexions sur la scientificité des sciences hum
aines et leur relation aux sciences de la nature.P
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LES CARRIÈRES ACADÉMIQUES EN SUISSE: LES MÊMES FACILITATIONS ET OBSTACLES POUR TOUS ET TOUTES? FARINAZ FASSA RECROSIO (UNIVERSITÉ DE LAUSANNE)Après avoir présenté la diversité des situations que l’on peut rencontrer dans les universités du fait du fé-déralism
e helvétique, mon intervention reviendra sur
les éléments de facilitation et d’obstacle relevés par
les recherches consacrées aux carrières des ensei -gnant.e.s-chercheur.e.s dans ce contexte national. Elle s’intéressera dans un second tem
ps aux ques-tions spécifiquem
ent liées aux rapports sociaux de sexe. Il s’agira de m
ontrer que les rythmes et les
étapes imposés par une vision norm
ative des car -rières ont pour effet de m
aintenir les femm
es aux m
arges de la voie royale, et ceci malgré les politiques
actives mises en place par les responsables des
politiques de la relève et de l’égalité pour combler le
retard de la Suisse en ce qui concerne la représen-tation des fem
mes dans les sciences.
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14
PANORAMA DES LOGICIELS BIBLIOGRAPHIQUES(NOËL THIBOUD, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)Apparus dans les années 80, les logiciels de gestion bibliographique vous perm
ettent de récupérer et de citer autom
atiquement les références des do -
cuments que vous consultez. Au-delà du gain de
temps lors de la constitution de votre bibliographie,
ils vous permettent de gérer votre docum
entation (retrouver facilem
ent le texte des documents, les
annoter...) et sont un outil indispensable de votre travail de recherche.C
ette séance présente un panorama de quelques
logiciels à votre disposition et de leurs principales fonctionnalités.N
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INTRODUCTION À L'ANALYSE STATISTIQUEAVEC R (MICHAEL PERCILLIER, UNIVERSITÉSDE STRASBOURG ET DE MANNHEIM) C
et atelier sert d'introduction au langage de pro -gram
mation R
, qui permet d'effectuer des tests
statistiques (test du , test t, test de corrélation...)
ainsi que de présenter ses résultats sous forme de
graphique.Aucune connaissance préalable n'est requise. Si possible, les participants sont priés d'am
ener un ordinateur portable avec le logiciel R
installé (w
ww.r-project.org).
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MERCREDI8 JUILLETECRIRE DES TEXTESSCIENTIFIQUES
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ECRITS INTERMÉDIAIRES ET ÉLABORATION DE LA THÈSE (CLAUDINE GARCIA-DEBANC, UNIVERSITÉDE TOULOUSE)D
e nombreux travaux ont m
is en évidence le rôle im
portant de l’écriture dans la conceptualisation et l’élaboration des connaissances (G
oody, 1968 ; O
lson, 1998 ; Latour, 1985). En didactique des sciences et en didactique du français langue pre-m
ière, a été montré l’intérêt d’écrits interm
édiaires (Vérin, 1988, 1995 ; Schneeberger, Vérin, 2009) ou transitoires (G
arcia-Debanc, Laurent, 2009) pour
accompagner la construction des connaissances
scientifiques : sous la forme de textes rédigés m
ais aussi de schém
as ou de tableaux, ils sont à la fois la trace et le catalyseur des connaissances en cours d’élaboration. Tout au long des années de thèse, l’étudiant est am
ené à rédiger des écrits divers : projet de thèse, résum
és de comm
unications ou d’articles soum
is, comptes rendus de rencontres
avec l’encadrant-e, notes de lectures, articles scien-tifiques, posters, diaporam
as… Selon les cas, ces
écrits sont des écrits transitoires avec, comm
e seuls destinataires, l’étudiant et son encadrant-e ou re-lèvent de genres divers, qui font rarem
ent l’objet d’un enseignem
ent (Lousada, Santos, 2014). L’in-tervention se propose de m
ontrer l’importance de
ces écrits transitoires à la fois comm
e composantes
importantes du m
étier de chercheur et comm
e outils de conceptualisation et d’écriture indispensables à l’élaboration de la thèse. P
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ent dans le texte scientifique, Actes du 4° C
ongrès mondial de linguistique française,
1063, publié en ligne le 24 juillet 2014, • D
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sciences, ASTER 6, INRP
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ettre par écrit ses idées pour les faire évoluer en sciences, Repères 12, 21-36.
CONFÉRENCESASSIEDS-TOI ET ÉCRIS TA THÈSE! TRUCS PRATIQUES POUR LA RÉDACTION SCIENTIFIQUE (GENEVIÈVEBELLEVILLE, UNIVERSITÉ DE LAVAL)L’atelier proposé vise à donner le goût (et le tem
ps!) aux étudiants d’écrire plus et d’écrire m
ieux. Diffé-rentes stratégies leur seront proposées pour écrire de façon régulière et se garder m
otivé.La rédaction scientifique est l’entreprise la plus in-tim
idante, décourageante et anxiogène de l’expé-rience universitaire. Lorsque vient le tem
ps d’écrire, tout devient plus intéressant : les courriels – m
ême
les plus insignifiants pourriels –, les appels que l’on retarde depuis toujours, le m
énage et mêm
e le chan-gem
ent de litière du chat. Com
ment peut-on arriver à
écrire, alors ? Et, surtout, comm
ent peut-on arriver à le faire sans que la rédaction projette constam
ment
cette aura de torture ou de pire corvée du monde ?
Peut-on arrêter de se soumettre à contrecœ
ur aux activités de rédaction et sim
plement retrouver l’envie
d’écrire ? Voilà les questions qui seront abordées dans cet atelier.P
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DE L'OBJECTIVITÉ SCIENTIFIQUE AUX POSTURESD'AUTEUR DANS L'ÉCRITURE DE LA THÈSE(FRANCIS GROSSMANN, UNIVERSITÉ DE GRENOBLE)L'engagem
ent dans une démarche scientifique exige
que le chercheur se plie à certaines règles, dont celle qui veut qu'il soit objectif dans l'exposition de sa problém
atique de recherche, dans sa confronta-tion à ses pairs, et dans la discussion des résultats. D'un autre côté, le term
e mêm
e de thèse implique
l'idée d'un point de vue à défendre et donc l'adop -tion d'une posture d'auteur au sens plein du term
e. C
es deux exigences sont-elles compatibles? Après
avoir pointé quelques obstacles à la bonne com-
préhension des règles de l'écriture scientifique, on se propose, en s'appuyant sur des exem
ples issus d'un corpus de thèses, d'illustrer concrètem
ent les form
es que peut revêtir l'auctorialité scientifique.P
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pour• gagner du tem
ps lors de la saisie (somm
aire et num
érotation des parties automatiques)
• produire un document à la présentation hom
ogène• rendre la lecture plus facile• am
éliorer l'utilisation du document (navigation,
éléments cliquables).
LES CARACTÉRISTIQUES DE L'ÉCRIT DE RECHERCHE (FRANÇOISE BOCH, UNIVERSITÉ DE GRENOBLE)M
on intervention tâchera de répondre aux questions suivantes : C
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ent, dans l'écriture de la thèse, se positionner par rapport aux autres auteurs convo-qués ? C
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ent légitimer son objet de recherche ?
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ethodological and linguistic tools in order to help doctoral students to feel m
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hen writing a research paper.
The two-hour w
orkshop will include:
1. an overview of the characteristic features of English
in/for academic com
munication as a genre
1.1 Linguistic characteristics of spoken academic
discourse vs written academ
ic discourse (registers
and levels of language)1.2 The use of m
etalinguistic terms
1.3 Stance: I or we?
2. a contrastive analysis of the abstracts of two re -
search papers within the sam
e field of research1.1 aim
s of the papers and hypotheses1.2 stance and theoretical point of view1.3 outline of each paper1.4 language choices (syntactic patterns, argum
en-tation m
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TABLE RONDE : LES SPÉCIFICITÉS DE L’ÉCRITUREDE THÈSE ANIMATEURThierry O
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INTERVENANTS :• G
. Belleville (Université de Laval)• F. Boch (Université de G
renoble)• C
. Garcia-Debanc (Université de Toulouse)
• Doctorants
LA RÉDACTION DE TEXTES : ASPECTS ÉMOTIFSET COGNITIFS (THIERRY OLIVE, UNIVERSITÉDE POITIERS)Pour un doctorant, la rédaction de la thèse est un m
oment particulier et souvent redouté. Rédiger un
texte aussi complexe et long m
et en effet en jeu de nom
breux mécanism
es psychologiques - cognitifs et affectifs - que le doctorat doit parvenir à gérer. Pour cela, il doit m
ettre en œuvre des stratégies d'écriture
qui lui permettent de transm
ettre au mieux ses inten -
tions et objectifs de comm
unication.D
ans ce cadre, mon intervention présentera les
stratégies et processus cognitifs impliqués dans la
rédaction de textes. J'aborderai aussi des questions liées à la gestion des affects et des ém
otions des rédacteurs. Il s'agira de faire réfléchir les doctorants à leurs propres stratégies d'écriture pour leur per-m
ettre d'améliorer leur pratique de rédacteur.
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ATELIERSMISE EN FORME DE LA THÈSE AVEC W
ORD(NIVEAU DÉBUTANT) - PRÉSENTATION GÉNÉRALE(ANGELINA ALEKSANDROVA, UNIVERSITÉDE STRASBOURG)C
et atelier de gestion de textes longs sous Word
s’adresse aux « faux débutants ». Il n’y sera pas donc question de faire découvrir aux participants l’inter-face du logiciel (cependant des m
ises au point seront faites si nécessaire) m
ais surtout d’aborder certaines fonctionnalités du point de vue m
éthodologique. L’objectif de l’atelier est de donner quelques repères aux participants pour qu’ils puissent non seulem
ent m
ieux s’approprier l’outil mais surtout d’optim
iser leur usage et d’autom
atiser au maxim
um certaines
phases dans l’écriture afin de pouvoir se consacrer exclusivem
ent au travail d’écriture à proprement
parler.
Liste non exhaustive des aspects abordés : • C
réation des styles et d’un modèle de thèse
• Gestion de paragraphes
• Les sauts de pages • Les en-tête et pied de page• N
umérotation des pages
• Création et gestion d’une liste à plusieurs niveaux
• Insertion et positionnement d'une im
age• C
réation d'un tableau simple.
Après concertation avec les participants, il est aussi possible d’aborder la gestion des références (notam
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ent bibliographie, Word 2007 ou ultérieure).
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DE LA COORDINATION À LA COOPÉRATION : DES OUTILS AUX PRATIQUES DE COOPÉRATION(BENOÎT HABERT, ENS LYON)Pour reprendre la distinction de C
hristophe Dejours (Le travail vivant, tom
e 2, Payot & Rivages 2009), la coordination est souvent prescrite (il faut se coor-donner pour une tâche donnée). La coopération est l'accord qui peut se m
ettre en place sur les manières
de travailler.
Un certain nom
bre d'outils coopératifs facilitent la coordination : éditeurs de notes collaboratives, en-vironnem
ents de partage de documents.
L'atelier comm
encera par une mise en pratique de
certains de ces outils. Cette m
ise en pratique per-m
ettra dans un deuxième tem
ps de s'interroger sur les conditions d'em
ploi de ces outils ainsi que sur le passage de la coordination à la coopération et sur les enjeux de ce passage.P
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CONFÉRENCESLA RELATION DOCTORANT/ENCADRANT ET LES STYLES DE SUPERVISION (NICOLE REGE COLET, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)L'intervention décrit les changem
ents intervenus dans la relation qui unit un doctorant avec son en-cadrant. Les changem
ents tiennent à la fois aux nouveaux contextes de la form
ation doctorale en Europe et à l'ém
ergence d'un nouveaux profil pro-fessionnel pour l'encadrem
ent comm
e pour le doc-torant. Différents approches de l'encadrem
ent sont exam
inées en fonction des intentions poursuivies et des m
odalités de comm
unication adoptées.
IMAGES DE SOI PENDANT LE DOCTORAT(LAETITIA GÉRARD, UNIVERSITÉ DE LORRAINE)• G
estion et interférence entre les différentes iden-tités
• Les stéréotypes qui freinent l'insertion profession-nelle des docteurs
• Les métaphores utilisées par les doctorants pour
décrire leur parcours• Le stress perçu par les doctorants.D
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VISITE DE LA BIBLIOTHÈQUE UNIVERSITAIREDE STRASBOURG(DOMINIQUE GRENTZINGER, DIRECTEURDU DÉVELOPPEMENT DES COLLECTIONS, BNU)
ATELIERSSTYLES DE SUPERVISION: JEUX DE RÔLES(NICOLE REGE COLET, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)L'atelier perm
et de s'exercer à clarifier ce que l'on attend d'une séance de travail avec son encadrant et à tirer profit du feedback reçu (m
ême si ce n'est
pas ce que l'on attendait!). Il vise à décortiquer les m
écanismes et les dynam
iques du feedback: ce qui vient em
brouiller la comm
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CONDUITE DE THÈSE, CONDUITE D'UN PROJETET SA VALORISATION (FRANÇOIS BATY-SOREL,UNIVERSITÉ DE POITIERS)Vous avez fait le choix de vous engager dans un doctorat et à ce titre, vous allez piloter votre projet de recherche. « C
hercheur en formation », vous êtes
considéré dans la Charte Européenne du C
hercheur, com
me acteur de la gestion de votre projet. D
oc-torants, encadrants, m
anagers, cadres se voient de plus en plus confier, en com
plément de leurs
attributions, la responsabilité d’actions internes ou externes à leur environnem
ent, exigeant la mise en
œuvre de gestion de projet.
Cela suppose pour vous d’utiliser des outils de ca-
drage et de pilotage de projet dans un environne-m
ent qui n’y est pas forcément habitué
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TÉMOIGNAGES (O. TURCAN & L. LAIFA)
26
DE LA COORDINATION À LA COOPÉRATION : DES OUTILS AUX PRATIQUES DE COOPÉRATION(BENOÎT HABERT, ENS LYON)Pour reprendre la distinction de C
hristophe Dejours (Le travail vivant, tom
e 2, Payot & Rivages 2009), la coordination est souvent prescrite (il faut se coor-donner pour une tâche donnée). La coopération est l'accord qui peut se m
ettre en place sur les manières
de travailler.
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bre d'outils coopératifs facilitent la coordination : éditeurs de notes collaboratives, en-vironnem
ents de partage de documents.
TABLE RONDE :DE LA SOLITUDE DU DOCTORANTÀ DE NOUVEAUX MODESDE TRAVAILCOLLABORATIFS ?ANIMATEURBenoît H
abert (ENS Lyon)
INTERVENANTS :• François Baty-Sorel (Université de Poitiers)• G
uy Brand (Université de Strasbourg) • N
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CONFÉRENCESVALORISER SES RECHERCHES AVEC LE BLOGGING SCIENTIFIQUE (DELPHINE KLEIN, UNIVERSITÉ DE BOURGOGNE)L'intervenante présentera les possibilités et les en-jeux de la valorisation des recherches m
enées tout au long du doctorat grâce au « blogging scienti-fique ». A partir de sa propre expérience, elle pré-sentera notam
ment les possibilités offertes par les
carnets de recherche par la plateforme hypotheses.
org, actuellement en pleine expansion.
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(DR. MAARTJE SCHELTENS, CAMBRIDGE UNIVERSITY PRESS)An overview
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UTILISER LES ARCHIVES OUVERTES POUR VALORISER SES TRAVAUX : L'EXEMPLE DE HAL-SHS(AGNÈS MAGRON, CENTRE POUR LA COMMUNICATION SCIENTIFIQUE DIRECTE, PARIS)L’archive ouverte H
AL-SHS a été créée en 2005.
Conçue à partir de H
AL, elle est un espace dédié à l’auto-archivage et à la diffusion de la littérature académ
ique en sciences humaines et sociales. Lar -
gement utilisée par la com
munauté scientifique fran-
çaise, elle contribue à la visibilité et à la valorisation des recherches. Parm
i les fonctionnalités proposées, le chercheur trouvera des statistiques pour évaluer l'im
pact de ses publications déposées ou des outils pour configurer son C
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COMMENT RÉDIGER UNE PROPOSITIONDE COMMUNICATION ? (FRANÇOISE BOCH,UNIVERSITÉ DE GRENOBLE) M
on intervention tâchera de répondre aux ques-tions suivantes : Pourquoi com
muniquer dans des
colloques ? A quel mom
ent le faire ? Com
ment rédi-
ger une proposition de comm
unication ? Com
ment
sont-elles évaluées ?
COMMENT ORGANISER UN COLLOQUE JEUNESCHERCHEURS ? (ANGELINA ALEKSANDROVA,UNIVERSITÉ DE STRASBOURG ; CAMILLE FAUTH,UNIVERSITÉ DE STRASBOURG ; MURIEL JORGE,UNIVERSITÉ DE PARIS SORBONNE NOUVELLE ;LAURENCE LONGO, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)C
et atelier proposera aux participants inscrits de réfléchir sur les enjeux, la m
éthodologie et le mon-
tage d’un projet de colloque jeunes chercheurs. Les participants seront am
enés à appréhender les grandes étapes de l’organisation, à réfléchir aux partenaires potentiels et à envisager/anticiper les différents m
odalités logistiques.C
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LES CJC : RETOURS D’EXPÉRIENCES (DOCTEURS ORGANISATEURS) & DISCUSSIONS(ANGELINA ALEKSANDROVAUNIVERSITÉ DE STRASBOURGCAMILLE FAUTH, UNIVERSITÉ DE STRASBOURGMURIEL JORGE, UNIVERSITÉ DE PARISSORBONNE NOUVELLEL. LONGO, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)D
e plus en plus souvent les jeunes chercheurs au sein des laboratoires sont sollicités, quand ils ne le font pas de leur propre initiative, afin d’organiser des m
anifestations scientifiques. Cette conférence réu-
nit quatre intervenantes qui vont témoigner de leur
propre expérience en tant que mem
bres des comi -
tés d’organisation de premier colloque jeunes cher-
cheurs en linguistique à Strasbourg (CIJC
- 2012) et les Rencontres Jeunes C
hercheurs, organisées à Paris 3 depuis 1998. Seront abordés, entre autres, l’aspect international d’une telle organisation, la ges -tion du projet, son im
portance sur le plan personnel et scientifique.
Ateliers
VALORISER SA RECHERCHE : RÉALISER UN POSTER SCIENTIFIQUE(SOPHIE KENNEL, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)L'objectif de l'atelier est d'apprendre à m
aîtriser la m
éthode et les outils permettant de réaliser un
poster scientifique attractif et efficace : rédaction, organisation de l'espace, choix des élém
ents, mise
en forme, etc.
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PLAYING OUT SERIOUS MEANINGS. FROM PRIVATECOGNIZER TO PUBLIC VOCALIZER (JEAN-REMI LAPAIRE, UNIVERSITÉ DE BORDEAUX)La prise de parole en public, en anglais, dans un contexte scientifique suppose :• le respect des conventions et bonnes pratiques
en vigueur dans la comm
unauté scientifique in-ternationale
• la connaissance de quelques principes simples et
généraux de comm
unication• la possibilité de s'entraîner en autonom
ie à répéter et jouer une parole en langue étrangère, à partir de dispositifs num
ériques "text-to-speech" que nous croisons avec des pratiques corporelles (inspirées des théories de la perform
ance, de la danse et du jeu théâtral).
La stimulation sera m
ulti-sensorielle: son (musique,
voix), olfaction (essences), vue (lumières variables),
toucher (contacts avec la matière et le vivant). Il
s'agira de faire l'expérience d'une parole scientifique engagée en langue étrangère. N
ous travaillerons sur un corpus de citations scientifiques faciles à com
-prendre et à m
émoriser m
ais initialement com
plexes à articuler.
Une place im
portante est accordée aux exercices d'échauffem
ent qui sont simples à réaliser, ne néces-
sitent aucune aptitude ou expérience préalable des arts de la scène, aucune aisance particulière en an-glais. Les activités proposées ont toutes été testées en m
ilieu universitaire avec de jeunes chercheurs M
et D, de niveaux très hétérogènes en langues et de tem
pérament allant de l'inhibition / blocage com
plets à l'aisance totale. M
oment de conscience, de bien
être mais aussi d'apprentissage incarné de prin-
cipes fondamentaux de la prise de parole publique
en anglais, en contexte scientifique. Cette pratique
s'appuie sur des écrits théoriques en anthropologie, en sociologie, en pragm
atique et en kinésique qui seront référencés.P
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CONFÉRENCERÉSEAUX SOCIAUX DE CHERCHEURS : QUELS OUTILS, QUELS ENJEUX ?(ALINE BOUCHARD URFIST, PARIS)Si les réseaux sociaux num
ériques se sont imposés
ces dernières années avant tout auprès du grand public, ils rencontrent égalem
ent de plus en plus d'échos dans les com
munautés universitaires et
de recherche. Qu'ils soient généralistes (com
me
Facebook), professionnels (comm
e LinkedIn ou Viadeo) ou académ
iques (comm
e Academia ou Re-
searchGate), se pose la question de leur intérêt pour
le jeune chercheur : les réseaux sociaux sont-ils des outils désorm
ais indissociables de la valorisation de l'activité de chercheur et de l'insertion profes-sionnelle ?C
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ATELIERSRÉALISER SON PORTEFEUILLE D'EXPÉRIENCESET DE COMPÉTENCES POUR PRÉSENTER EFFICACEMENT SA VALEUR AJOUTÉE (FRANÇOIS BATY-SOREL,UNIVERSITÉ DE POITIERS)Engager très tôt une réflexion sur son portefeuille d'expériences et de com
pétences, anticiper sa stra-tégie de recherche d'em
ploi et la définition de son projet professionnel en prenant en com
pte diffé-rentes options public/privé est indispensable pour optim
iser une sortie de doctorat optimale. C
réer son portefeuille d'expériences et de com
pétences en phase avec son m
arché, c'est optimiser ses
chances d'une insertion choisie.
LE DEVENIR DES DOCTEURS SHS(PHILIPPE CORDAZZO, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)Si les docteurs sont relativem
ent épargnés par la crise économ
ique, l’accès à l’emploi, et notam
ment
à l’emploi stable, des diplôm
és de doctorat ne va pas de soi. Julien C
almand résum
e bien la situation dans le titre de son étude sur le devenir des doc-teurs : « Les docteurs : une longue m
arche vers l’em-
ploi stable » (2013). Cette conférence a pour objectif
d’interroger les conditions d’insertion professionnelle des docteurs en Sciences de l’H
omm
e et de la So-ciété (SH
S). Pour cela elle s’appuiera sur les résultats d’enquêtes nationales m
enées par le Cereq (enquête
docteur 2012 et l’enquête Génération) et locales m
e -nées par l’O
bservatoire Régional de l’Enseignement
Supérieur et de l’Insertion Professionnelle des Étu-diants (O
RESIPE) (enquêtes docteurs). Elle essaiera d’apporter des élém
ents de réponses à la question du devenir après l’obtention du doctorat, à celle de l’im
pact du diplôme sur le déroulem
ent de la carrière et celle des conditions d’insertion professionnelle. M
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LE PÔLE PEPITE : UN DISPOSITIF POUR LE STATUT D’ÉTUDIANT ENTREPRENEUR (HASSANIA SEBTI, ETENA)CHEF DE PROJET EN CHARGE DE L'ANIMATIONET LA COORDINATION DU PÔLE ÉTUDIANT POURL'INNOVATION; LE TRANSFERT ET L'ENTREPRENEURIAT (PEPITE) ETENA.Le PEPITE ETEN
A permet à tous étudiants alsa-
ciens de :• s’inform
er sur la création d’entreprise• connaître les UV et form
ations de sensibilisation• participer à des w
orkshops de type Startup W
eekend• assister à des conférences / ateliers thém
atiques• dem
ander le Statut d'Etudiant-Entrepreneur.
1’30 sur le statut national Etudiant-Entrepreneur, 1ère m
ondiale Le film statut Etudiant-Entrepreneur
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oignent
TABLE RONDEL’INSERTIONPROFESSIONNELLEDES DOCTEURS SHS ?ANIMATRICEN
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38
COMMUNIQUER ET SE PRÉSENTER AU COURSDU PROCESSUS DE RECRUTEMENT (THAO LANG, ABG)Le processus de recrutem
ent nécessite de com-
muniquer sur son parcours, ses expériences et ses
compétences sous diverses form
es, notamm
ent CV
et lettre de motivation. C
es outils de comm
unication doivent être em
blématiques de leurs auteurs et ré-
pondre aux attentes des recruteurs. Participer à cet atelier perm
et d’obtenir des clés pour comm
uniquer efficacem
ent à l’écrit, notamm
ent pour rédiger une lettre de m
otivation.
OPTIMISER SA CANDIDATURE : CV / LETTRE DE MOTIVATION (HAFIDA LRHEZZIOUI, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)Analyse de candidatures réelles (C
V/Lettres de Mo-
tivation et leur adéquation par rapport aux offres d’em
ploi) H
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CONSTRUIRE SON CN ACADÉMIQUE(CATHERINE SCHNEDECKER, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)L’atelier portera sur l’élaboration d’un C
V « acadé -m
ique » c'est-à-dire du type de CV à présenter à
différents stades d’un parcours académique, suivant
l’obtention du doctorat, servant deux fonctions dif-férentes (la qualification au C
NU et l’obtention d’un
poste de maître de conférence) et s’adressant donc
à des destinataires différents.
Les « normes » en vigueur seront exam
inées en pre-m
ier lieu, puis en second lieu, les modalités de pré-
sentation des informations seront abordées. L’ate-
lier prendra pour illustration des exemples concrets
constitués par des CV anonym
és et les CV des
participants à l’atelier dans le but de les améliorer.
DISCUSSION DE CLÔTURE ET ÉVALUATION DE L’EED(CATHERINE SCHNEDECKER, UNIVERSITÉ DE STRASBOURG)
41 40
CHRISTINE MAILLARDchristine.m
aillard@m
isha.fr
THIERRY MARTINthierry.m
artin@univ-fcom
te.fr
THIERRY OLIVEthierry.olive@
univ-poitiers.fr
MICHAEL JEAN PERCILLIERpercillier@
unistra.fr
BÉNÉDICTE PINCEMINbenedicte.pincem
ADELINE REGEadeline.rege@
unistra.fr
NICOLE REGE COLETregecolet@
unistra.fr
YVES RÉMONDrem
MAARTJE SCHELTENSm
scheltens@cam
bridge.org
CATHERINE SCHNEDECKERcschnede@
unistra.fr
HASSANIA SEBTIhsebti@
unistra.fr
NOËL THIBOUDthiboud@
unistra.fr
JACQUES TRIPONELjacques.triponel@
apec.fr
OLGA TURCANasso-doxtra@
unistra.fr
MARC VIALvial@
unistra.fr
ANGELINA ALEKSANDROVAaleksandrova.a@
free.fr
FRANÇOIS BATY-SORELfrancois.baty.sorel@
univ-poitiers.fr
GENEVIÈVE BELLEVILLEG
FRANÇOISE BOCHfrancoise.boch@
u-grenoble3.fr
MARYVONNE BOISSEAUboisseau@
unistra.fr
ALINE BOUCHARDaline.bouchard@
enc.sorbonne.fr
GUY BRANDgb@
unistra.fr
STÉPHANE BUREAUstephane.bureau@
cairn.info
PHILIPPE CORDAZZOcordazzo@
unistra.fr
THOMAS COUDREAUthom
FARINA FASSA RECROSIOfarinaz.fassarecrosio@
unil.ch
CAMILLE FAUTHcam
ille.fauth@gm
ail.com
CATHERINE FLORENTZc.florentz@
unistra.fr
PIERRICK GANDOLFOpierrick.gandolfo@
univ-rouen.fr
CLAUDINE GARCIA DEBANCcgarciad@
toulouse.iufm.fr
LAETITIA GÉRARDgerard.laetitia@
gmail.com
ELISE GIROLDElise.G
DOMINIQUE GRENTZINGERDom
inique.Grentzinger@
bnu.Fr
FRANCIS GROSSMANNfrancis.grossm
ann@gm
ail.com
BENOIT HABERTbenoit.habert@
ens-lyon.fr
NATHALIE HILLENWECK
hillenwe@
unistra.fr
NATHALIE HILLENWECK
hillenwe@
unistra.fr
MURIEL JORGEm
uriel.jorge@gm
ail.com
SOPHIE KENNELsophie.kennel@
unistra.fr
DELPHINE KLEINdelphine.klein.rouquier@
gmail.com
LYES LAIFAasso-doxtra@
unistra.fr
THAO LANGThao.LAN
G@
abg.intelliagence.fr
JEAN REMI LAPAIREJean-Rem
LAURENCE LONGOlaurence.longo@
gmail.com
HAFIDA LRHEZZIOUIhafida.lrhezzioui@
unistra.fr
AGNÈS MAGRONagnes.m
CATHERINE MAIGNANTcatherine.m