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DOSSIER DE PRESSE

SERGIO LARRAINV  AGABONDAGES  

11 septembre –  22 décembre 2013 Vernissage le 10 septembre 2013 de 10h à 12h

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Sergio Larrain, Vagabondages  à la Fondation HCB, 2 impasse Lebouis 75014 Paris, du 11 septembre au 22 décembre 2013

Contact Presse : Jessica Retailleau T 01 56 80 27 03 / F 01 56 80 27 01/ jessica.retailleau@henricartierbresson.orgwww.henricartierbresson.org

Sommaire

Communiqué de presse ......................................................................... p.3

Visuels libres de droits .......................................................................... p.5

Monographie (Editions Xavier Barral) …….………………… ................. p.7

Les 10 ans de la Fondation HCB........................................................... p.8

Les Conversations de la Fondation HCB ............................................. p.9

Infos utiles ............................................................................................. p.10

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Sergio Larrain, Vagabondages  à la Fondation HCB, 2 impasse Lebouis 75014 Paris, du 11 septembre au 22 décembre 2013

Contact Presse : Jessica Retailleau T 01 56 80 27 03 / F 01 56 80 27 01/ jessica.retailleau@henricartierbresson.orgwww.henricartierbresson.org

« Une bonne image naît d’un état de grâce » 

Du 11 septembre au 22 décembre, la Fondation HCB présente une exposition exceptionnelle du

 photographe chilien Sergio Larrain. Cet ensemble retrace l’essentiel de son parcours singulier. Des imagesrares, une approche poétique, un photographe brillant qui a inspiré toute une génération de photographes.

L’exposition de la Fondation HCB, différente de celle des Rencontres d’Arles, présente sur deux étages, 128 photographies en noir et blanc, dont un ensemble précieux de tirages d’époque de la collection Magnum

Photos et quelques inédits. Les enfants abandonnés de Santiago, Londres, Paris, l’Italie, Valparaiso  etl’Amérique du Sud  en général comptent parmi les séries présentées. Dans les vitrines du deuxième étage,les visiteurs pourront découvrir la documentation sur les livres et les parutions dans la presse. Au troisièmeétage, est présenté un album réalisé en 1995 par Sergio Larrain. Il réunit textes, dessins et photographies  –  sa cosmogonie personnelle –  et concentre toutes les préoccupations des dernières années de sa vie.

Cette exposition est accompagnée d’une monographie très complète publiée aux Éditions Xavier Barral.

Sergio Larrain (1931-2012) grandit dans une famille de la haute société chilienne. Son père, architecte est trèssensible à l’art et tout le milieu culturel de l’époque se retrouve dans la maison familiale pour débattre sur lesidées modernistes. La bibliothèque familiale est très riche, composée de livres d’art, architecture et littérature.Cet ensemble permettra à Sergio Larrain d’éduquer son œil et de développer son goût pour l’art. Les relationsavec son père sont difficiles et Sergio Larrain ne se sent pas à l’aise dans ce monde bourgeois et frivole.

En 1949, il décide de partir étudier aux États-Unis, d’abord en Californie puis dans le Michigan. Cette mêmeannée, il achète, à crédit, son premier Leica,  A l’époque, j’ai acheté mon premier appareil sans imaginer que la photographie

allait devenir mon métier. En 1951, suite au décès accidentel de son jeune frère, Sergio Larrain, qui a abandonné sesétudes aux Etats-Unis, décide d’accompagner sa famille dans un long voyage qui les mènent en Europe et auMoyen-Orient. Suite à ce périple, il se recentre sur la photographie et s’installe à La Reina où il s’intéresse à laphilosophie orientale et pratique de longues séances de méditation. Cet éloignement est compromis en 1952par le service militaire obligatoire qui lui laisse de mauvais souvenirs :  Au sein du régiment, je me sentais humilié,

brutalisé. Tout ce à quoi j’aspirais, c’était un peu de tranquillité. 

Il se lance alors dans son premier travail conséquent en s’intéressant aux enfants abandonnés de Santiago quierrent dans les rues et sur les rives du fleuve Mapocho. Comme le souligne Gonzalo Leiva Quijada dans son

essai, à travers son objectif, son regard de compassion saisit ces exclus qui deviennent des personnes. Sergio Larrain ne fait qu’un aveceux. Il est leur ami, leur alter ego, lui aussi vagabond, découvrant l’invisibilité.  En 1954, Sergio Larrain devient photographe

free-lance  et décide d’envoyer un portfolio de ses meilleurs clichés à Edward Steichen au MoMA qui luiachète quatre tirages. Deux ans plus tard, il devient photographe pigiste pour le magazine brésilien O Cruzeiro

Internacional. 

Très concerné par la scène culturelle de Santiago, Larrain se lie d’amitié avec de nombreux artistes chiliens. Ilvoyage avec l’artiste américaine Sheila Hicks dans le sud du Chili à la fin de 1957. Le fruit de ce voyage seraprésenté en 1958 lors d’une exposition commune au Palacio de Bellas Artes de Santiago puis à Buenos Aires.Dès 1952, Larrain réalise ses premières images de Valparaiso et rend un vibrant hommage à la ville qu’il

qualifie de balcon chilien face au Pacifique . Il retournera plusieurs fois dans cette ville jusqu’en 1963 pour obtenir, aufil des ans, un essai photographique d’une puissance exceptionnelle. 

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Sergio Larrain, Vagabondages  à la Fondation HCB, 2 impasse Lebouis 75014 Paris, du 11 septembre au 22 décembre 2013

Contact Presse : Jessica Retailleau T 01 56 80 27 03 / F 01 56 80 27 01/ jessica.retailleau@henricartierbresson.orgwww.henricartierbresson.org

Au cours de l’hiver 1958-1959, 20 ans après Bill Brandt qu’il admire, Larrain passe quatre mois à Londres grâceà une bourse du British Council. Dès le début de sa carrière, le photographe rêvait d’intégrer l’agenceMagnum et c’est lors de ce voyage en Europe que son rêve va se concrétiser. En effet, il rencontre Henri

Cartier-Bresson en 1959 et ce dernier lui propose de rejoindre l’agence après avoir vu ses images des e nfantsabandonnés. Pour Larrain, le photographe français est « le maître absolu, un génie, appartenant à une

catégorie à part ». Pour plus de facilité, Larrain s’installe pendant deux ans à Paris et les commandes vont alorsse multiplier, il va couvrir de nombreux sujets, tous très différents ; le mariage du shah d’Iran, la guerred’Algérie, le tremblement de terre au Chili en 1960, la mafia sicilienne…. Mais très vite, Larrain a des doutessur les prouesses qu’il faut déployer pour réaliser des sujets publiables pour la presse.  Je crois que la pression du

monde journalistique –  être prêt à sauter sur n’importe quel sujet –  détruit mon amour et ma concentration pour le travail, écrit-il à Henri

Cartier-Bresson en 1965. Il décide finalement de rentrer au Chili.

Son premier livre,  El rectangulo en la mano,  entièrement conçu par lui, est publié en 1963. En 1965, lephotographe réalise les photos et la mise en page de  En el Siglo XX , publication soutenue par la Fondation MiCasa et destinée à solliciter l’aide des donateurs pour venir en aide aux enfants abandonnés. L’année suivante,il photographie la maison du poète Pablo Neruda à la Isla Negra ; accompagnées de textes du poète, les imagessont publiées dans le livre Una casa en la arena. Au milieu des années 1960, il fonde une agence decommunication artistique et s’entoure de nombreux artistes, il collabore également aux magazines Paula   etVea. Il rejoint la communauté d’Arica en 1969 pour y suivre l’enseignement d’Oscar Ichazo et décide, à partirde 1972, de poursuivre seul sa quête spirituelle ; en 1978, il s’installe définitivement à Tulahuén. Il mène unevie discrète et fuit les sollicitations. À partir de cette date, il poursuit sa quête à travers le yoga et la peinturetandis que Magnum continue à diffuser ses archives. C’est à cette époque qu’Agnès Sire découvre son travail etcommence à entretenir une longue correspondance avec le photographe. Grâce à cette relation épistolaire etau travail de Magnum, Larrain accepte de publier un ouvrage sur Valparaiso (1991) puis Londres (1998). Le

medium photographique devient alors un accompagnement pour les nombreux textes qu’il rédige, un moyenpour tenter de communiquer son goût pour l’essentiel. Ses rares images deviennent des sortes de haïku, dessatori, accompagnant avec des dessins les nombreuses lettres qu’il adresse à ses amis. L’exposition organisée en1999 à l’IVAM, Valencia est le dernier évènement important organisé autour de l’œuvre de Larrain, lephotographe ayant refusé tous les autres projets.

Selon Agnès Sire, les termes employés par Sergio Larrain pour décrire l’état de grâce dans lequel il fautnécessairement se trouver pour « accueillir » une bonne image, sont ceux du mysticisme, voire du spiritismecomme si les images étaient déjà là dans le cosmos et que le photographe agissait comme un medium : « libéré

des conventions », « pureté », « concentration », « miracle »… et si les conditions sont réunies « les imagesarriveront comme des fantômes, des esprits ».

L’exposition est réalisée en partenariat avec Télérama  et Wombat. 

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SERGIO LARRAINV  AGABONDAGES  

11 septembre –  22 décembre 2013

CONDITIONS DE REPRODUCTION DES VISUELS PRESSE :

DEUX VISUELS AUTORISÉS PAR PUBLICATIONLeur usage est limité à la promotion de l’exposition présentée à la Fondation HCB

et ils ne doivent pas être recadrés.Pour les demandes de visuels haute-définition : [email protected]  

 Bar , Valparaiso. Chili, 1963. © Sergio Larrain/Magnum Photos

Rue principale de Corleone. Sicile, 1959.© Sergio Larrain/Magnum Photos

Potosi, Bolivie. 1960.© Sergio Larrain/Magnum Photos

Ile de Chiloé, Chili. 1957.© Sergio Larrain/Magnum Photos

 La Ruche. Paris, 1959.© Sergio Larrain/Magnum Photos

 Entre l'Ile de Chiloé et Puerto Montt. Chili, 1957.

© Sergio Larrain/Magnum Photos

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Trafalgar Square. Londres, 1958 –  1959.© Sergio Larrain/Magnum Photos

Santiago, Chili. 1963.© Sergio Larrain/Magnum Photos

Passage Bavestrello, Valparaiso. Chili, 1952.© Sergio Larrain/Magnum Photos 

The City. Londres 1958 –  1959.© Sergio Larrain/Magnum Photos

Sergio Larrain. 1959.© Sergio Larrain/Magnum Photos

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Sergio Larrain, Vagabondages  à la Fondation HCB, 2 impasse Lebouis 75014 Paris, du 11 septembre au 22 décembre 2013

Contact Presse : Jessica Retailleau T 01 56 80 27 03 / F 01 56 80 27 01/ jessica.retailleau@henricartierbresson.orgwww.henricartierbresson.org

Relié210 x 292 mm400 pagesPrix : 65 € TTC

Textes d’Agnès Sireet Gonzalo Leiva Quijada 

Un premier ouvrage rétrospectif

Les photographies de Sergio Larrain n’ont fait l’objet que de quatre livres de son vivant. Aucune monographiecomplète n’avait été publiée sur son travail avant  qu’il n’accepte ce projet, avec la complicité de ses enfants,quelques mois avant son décès. Agnès Sire, avec qui il a entretenu une correspondance durant trente ans, a oeuvré,avec Magnum à la préservation de son patrimoine photographique. Cet ouvrage se répartit en deux grands axes,

l’Amérique latine et l’Europe. Une sélection de plus de 200 photographies enrichie d’une biographie détaillée, delettres importantes, de ses dessins, carnets de travail et de quelques textes de sa main destinés à la méditation nousplongent dans l’univers de cet artiste hors du commun resté méconnu.

Contact:

Yseult Chehata – [email protected] – +33 (0) 1 48 05 73 73 

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Contact Presse : Jessica Retailleau T 01 56 80 27 03 / F 01 56 80 27 01/ jessica.retailleau@henricartierbresson.orgwww.henricartierbresson.org

COMMUNIQUE DE PRESSE

La Fondation Henri Cartier-Bresson a ouvert ses portes le 2mai 2003 grâce à la volonté du photographe, de sa femmeMartine Franck et de leur fille Mélanie.

10 ans plus tard, la Fondation HCB est devenue l’un des hauts lieux parisiens de la

 photographie grâce à un programme d’expositions toujours exigeant qui met à l’honneur les

grands maîtres de la photographie et la scène contemporaine avec le Prix Henri Cartier-Bresson, décerné tous les deux ans. Des publications de qualité et une activité culturelle

 variée avec des Conversations, colloques et Grand Entretiens permettent de maintenirl’intérêt du public, toujours plus nombreux et attentif. 

Pour célébrer cet anniversaire, la Fondation HCB publie son bilan sous la forme d’un élégantlivre conçu par les Editions Xavier Barral : un hommage aux fondateurs, des témoignages de

 professionnels, les trente-et-une expositions présentées depuis l’ouverture, les expositions desfondateurs, les archives, le Prix HCB, l’action culturelle.

 Aller à la Fondation Cartier-Bresson, c’est faire l’expérience d’un lieu singulier  : sonner,

 pousser la porte, monter l’escalier pour trouver un lieu à la programmation pointue et

exigeante. Quentin Bajac, Chief curator of Photography, MoMA, NY

Quant à la Fondation elle-même, je trouve que ce positionnement d’expositions de petit format

a beaucoup apporté au rayonnement de la photographie à Paris. Sam Stourdzé, Directeur duMusée de l’Elysée, Lausanne 

 Il faut continuer à être cette « porte ouverte » en présentant les travaux d ’ artistes essentiels

aussi bien qu’ innovants. Kristen van Riel, Président de la Fondation HCB

Edition Fondation HCB, 80 pages, 25€

LES 10 ANS DE LAFONDATION HCB 

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Les Conversations de la Fondation HCB

La Fondation HCB propose un cycle de conversations bimestrielles autour de la photographiemenées par Natacha Wolinski critique d’art, avec différents acteurs

de la scène photographique.

 Jeudi 26 Septembre de 18h30 à 20h

30 ans après la Datar, une nouvelle mission photographiquesur le paysage français ?

Avec Bernard Latarjet, fondateur de la mission de la Datar, Raphaële Bertho, historienne de laphotographie, maître de conférences à l’Université Bordeaux 3, auteur de l’ouvrage La mission photographique

de la Datar (éd. La Documentation française), et Cédric Delsaux, photographe et co-fondateur du projet« France Terre liquide ».

 Jeudi 28 novembre de 18h30 à 20h

Représenter la mort

Avec Daniel Girardin, historien de l’art et conservateur au musée de l’Élysée de Lausanne,  Joëlle Bolloch, historienne de la photographie, co-commissaire de l’exposition « le dernier portrait » 

au musée d’Orsay (2002) et Raphaël Dallaporta, photographe.

Entrée libre dans la limite des places disponiblesRéservation impérative : [email protected]

 Les Grands Entretiens, menés par Clément Chéroux, conservateur au cabinet de la photographie du Centre Pompidou, s’inscrivent dans le temps long de l’histoire. Ils se

 proposent d’interroger les grands acteurs, les grands témoins de la photographie du demi-siècle passé, qu’ils soient artistes, photographes, critiques, historiens,

commissaires, ou éditeurs.

 Jeudi 17 octobre de 18h30 à 20h

Denis Roche, écrivain, photographe.

Les grands entretiens seront enregistrés et commenceront à l’heure précise.  Aucune entrée possible après 18h30.

avec le soutien de

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Petit déjeuner de presse 

La Fondation HCB a le plaisir de vous convier à un petit déjeuner de pressele mardi 10 septembre 2013 de 10h à 12h.

RSVP  Jessica Retailleau

T +33 1 56 80 27 03 / F +33 1 56 80 27 01

 [email protected]

Infos utiles

 Adresse

2, impasse Lebouis, 75014 Paris

tel : 01 56 80 27 00 / fax : 01 56 80 27 01

[email protected]

Horaires Tarifs

du mardi au dimanche de 13h00 à 18h30 plein tarif 6€- tarif réduit 4€ 

le samedi de 11h00 à 18h45 gratuit pour les Amis de la Fondation HCB

nocturne gratuite le mercredi de 18h30 à 20h30

dernière entrée 30mn avant la fermeture

fermé le lundi

Métro Bus

Gaîté, ligne 13, sortie n°1, vers la rue de l’Ouest Ligne 28 et 58 arrêt Losserand-Maine

Edgar Quinet, ligne 6, vers la rue de la gaîté Ligne 88, arrêt Jean Zay – Maine

 Vélib

90, avenue du Maine - 48, rue de l’Ouest 

infos : www.henricartierbresson.org