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EXEMPLAIRE DE DÉMONSTRATION Ce spécimen ne présente que de courts extraits d’articles

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  • 3La Salida • n°87 • février - mars 2014

    L’ÉDITO

    De feu et de larmesLe Palais des sports de Toulouse vibrait de drapeaux rouges ounoirs. Chaque concert ou presque, devenait tribune politiquecontradictoire. J’ai oublié l’année exacte : 1973 ? 1974 plutôt.Paco Ibañez, idole en ces lieux de la communauté des Espagnolsimmigrés, épaulait ce soir-là, avec le contrebassiste FrançoisRabbath, un groupe encore peu connu, le Cuarteto Cedrón. Pourle jeune Français qui découvrait alors la poésie de tango à traversla voix de Juan Tata Cedrón, le choc était immense d’entendrequ’après les classiques, on pouvait chanter aussi Raúl GonzálezTuñón, Juan Gelman... Autres planètes, mêmes saveurs, fortetendresse. Gelman n’était pas encore le poète internationalementcélébré du prix Cervantes, déjà le montonero à qui la dictature allaitprendre fils, belle-fille et voler sa petite-fille retrouvée seulement enavril 2000 à Montevideo au terme d’une quête acharnée. Il était lepoète de la cantate du Chant du coq, pas encore cet Argentin exiléau Mexique devenu au fil du temps chroniqueur vigie de Pagina 12,explorateur passionné des documents Wikileaks.Un de ses recueils s’appelle Gotán, comme le mythique cabaretqu’animait l’alors trio Cedrón dans les années 60 à Buenos Aires.En 1988, c’est auprès du bandonéoniste César Stroscio queGelman posa sa voix pour dire ses textes. Le disque enregistréchez Jean Cohen Solal ne sortira que six ans plus tard sous le titreRuiseñores de nuevo (Rossignols de nouveau). Un trésor : « Dansle grand ciel de la poésie / plutôt / dans la terre ou monde de lapoésie qui inclut ciel / astres /dieux mortels / chante le rossignol dekeats / toujours / passe Rimbaud empoignant ses 17 ans commela flamme d’amour vivante de saint Jean. » Chez Gelman, les larmes n’ont jamais éteint le feu. Beaucoup plusrécemment, le poète avait repris l’exercice en compagnie du trio deRodolfo Mederos. Dans un de ses premiers livres (1956), il avaitécrit Épitaphe. Le poème commence ainsi : « Un oiseau vivait enmoi / Une fleur voyageait dans mon sang /Mon cœur était unviolon... » Un rossignol nous manque, dont l’aile caresse encorenotre mémoire. l

    JEAN-LUC THOMAS

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  • P. 3 L’ÉDITO

    P. 6 FLASH

    P. 9 LE MOT DU TEMPS DU TANGO

    PLAZA FRANCIAP. 10 Quand Gotan rencontra Catherine

    DOSSIERP. 14 “Gardel m’a fasciné” (Georges Galopa)

    HOMMAGEP. 20 Nelly Omar

    ANNIVERSAIREP. 22 Aníbal Troilo

    VOYAGEP. 26 Les bals à Buenos Aires

    CAFETÍN DE BUENOS AIRESP. 28 Ángel G. Villoldo

    BUENOS AIRES HORA CEROP. 35 Les 36 Billards

    ON A VU ON A LUP. 36 ExpositionP. 39 Livres

    P. 42 LA DISCOGRAPHIE

    P. 46 LES PRATIQUES RÉGULIÈRES

    P. 48 L’AGENDA5La Salida • n°87 • février - mars 2014

    Sommaire

    Photo de couverture : Renaud CorlouerCatherine Ringer, dans un projet avec Christoph Müller et Eduardo Makaroff

    P. 10 PLAZA FRANCIA

    P. 14 CARLOS GARDEL

    P. 22 ANÍBAL TROILO

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  • 9La Salida • n°87 • février - mars 2014

    Le mot du Temps du Tango

    Merci à vouset au tango

    Après les démons, les dieux du tango étaientavec nous pour l'ouverture de notre festivalde Kerallic. La tempête qui avait fait rages'est calmée et, par miracle, l'électricité enpanne toute la nuit fut réparée vers 10 heuresle matin. Ouf ! On a eu chaud ! Ou plutôt froid,sans chauffage. Le Festival s'est déroulé dansune super ambiance grâce aux participants, que nousremercions chaleureusement. Merci aussi à ceux quinous ont aidés pour laver la piste avant les milongas,pour mettre en place les décorations et à ceux quisont restés pour le rangement, le nettoyage et lechargement de la camionnette. Toutes les animations,apéro, soirées à thème et conférences ont étéappréciées et, bientôt, vous verrez sur notre sitele contenu des conférences de Fabrice Hatem.Nous continuons les stages des 3e et 4e week-endsde chaque mois qui rencontrent du succès etpermettent à chacun une progression continueet de grande qualité.Notre assemblée générale sera tenue au moisde mars au 5 de la rue du Moulin-Vert, à Paris XIVe.Vous recevrez en son temps une convocation parmail. Venez nombreux avec vos questions, vos envies,c'est ce qui nous permet d'exister et surtout d'essayerd'améliorer, en regard du budget, les prestations quenous vous proposons. De plus, si vous disposez detemps, nous avons besoin de bras et aussi decompétences, venez nous voir pour en parler.Faites aussi connaître cette revue à laquelle vousêtes attaché, suscitez de nouveaux abonnements.Tangotons, tangotez et bonne année à tous. l

    LE TEMPS DU TANGO

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  • 10 La Salida • n°87 • février - mars 2014

    Quand Gotan rencontraCatherine

    DANS le beauquartier de LaRecoleta àBuenos Aires,une place rendhommage à laFrance. Elle apour nomPlaza Francia.

    C’est là aussi que se réunis-saient les jeunes à l’époque“hippie”. Un lieu encore unpeu “baba”...

    Plaza Francia, c’est égale-ment le nom du projet qu’ontmis en place Müller etMakaroff de Gotan Projectavec Catherine Ringer desRita Mistouko. « Plus qu’unprojet, cela s’est révélé êtreune véritable rencontre entredeux “entités” artistiques »,corrige Eduardo Makaroff.

    Il poursuit : « AvecChristoph Müller,nous cherchions unecontinuation à ce quel’on fait avec GotanProject, avec un tra-vail sur le tango autreque l’approche “mu -sique électronique”.Nous nous sommesdirigés vers le “tango

    canción”. » Donc du tango chanté,

    mais “d’aujourd’hui”, diffé-rent de celui composé parTroilo et Cadícamo, Troilo etManzi, Troilo et Castillo, ouencore de ceux des paroliersdu début du XXe siècle qui,explique Eduardo – forçantpeut-être un peu le trait –« parlaient de frapper ou demarquer les femmes avec uncouteau lorsqu’un macho sesentait trompé ». À l’inverse,

    Christoph Müller et Eduardo Makaroff de Gotan Project nous reviennentsur scène et en disque avec un nouveau projet, qu’ils partagent avec

    Catherine Ringer des Rita Mitsouko. Une aventure dont ils nousracontent la naissance.

    Plaza Francia

    Placer le tango cancióndans le présent, leprojeter dans l’avenir…(

    la première chanson de PlazaFrancia, La mano encima,parle d’une femme qui dit :« ¡ Basta ! Tu as levé la mainsur moi... Tu as passé lesbornes... »

    Une envie qui s’estimposée

    On le comprend. Ce qu’ontvoulu Müller et Makaroff ense lançant dans ce projet,c’est réinventer le tango ;réutiliser son langage, maisen le rapprochant de terri-toires autres que ceux de latradition et du passé. En leplaçant dans le présent et enle projetant dans l’avenir.Quel meilleur moyen qued’écrire des chansons pourles femmes ?

    La suite dans La Salida sur papier...

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  • 14 La Salida • n°87 • février - mars 2014

    “Gardel m’a fasciné”

    L’ACCENT ne trom-pe pas, il chanteles rives de laGaronne et fleurele vent d’autan.Pourtant, c’est de -puis Colmar queGeorges Galopanous parle. Ce fils

    de père réfugié républicainespagnol et de mère italienne,informaticien, a vu le jour en1948 à Toulouse, mais résidedepuis 1970 en Alsace où ilnourrit sans relâche une pas-sion dévorante pour CarlosGardel. Au point d’avoirjoué, depuis 1999 et sonadhésion à l’Association gar-

    delienne de Toulouse, lesSherlock Holmes à la pour-suite des origines contestéesde son idole. Il a mené ce tra-vail de titan et de fourmi à lafois, en collaboration avecMonique Ruffié, universitai-re française connaissant trèsbien l’Uruguay, et JuanCarlos Esteban, journalisteargentin récemment décédé,spécialiste de Gardel. PourGeorges Galopa et ses co-auteurs, le doute n’est paspermis : Carlos Gardel étaitbien le Charles RomualdGardes né à Toulouse le11 décembre 1890.

    Entretien.

    C’est d’abord une voix qui a captivé Georges Galopa. Au point deprojeter cet informaticien depuis bientôt quinze ans sur la piste du

    Morocho del Abasto et d’entreprendre des recherchesapprofondies sur ses origines.

    Dossier

    Georges Galopa auSalon du livre de Buenos Aires

    La Salida : Pourquoi vousêtre tant passionné pourCarlos Gardel ?Georges Galopa : Sim -plement parce que je suisd’origine espagnole. Monpère aimait le flamenco et letango, que j’ai écouté trèsjeune. J’aimais beaucoupGardel et ai eu la chance denaître à Toulouse, dans lequartier Saint-Cyprien, àtrois cents mètres environ del’hôpital Saint-Joseph de LaGrave où Gardel a vu le jour.J’ai pris contact avec l’asso-ciation gardelienne deToulouse vers 2000 et com-mencé à effectuer mesrecherches en 2003.

    Quel a été le détonateurde votre vocation, de votredésir de prouverclairement les originesfrançaises de Gardel ?Sa voix tout simplement, lecharisme qui en émanait. Dèsque je l’ai découvert, Gardelm’a fasciné ! Et puis, ayanteu connaissance qu’il y avaitun problème sur l’origine desa naissance, j’ai voulu voir

    La suite dans La Salida sur papier...

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  • 22 La Salida • n°87 • février - mars 2014

    2014 année Aníbal Troilo

    Q UELQUE centvingt homma -ges sont déjàprévus dansplus de centvilles du mondeentier. Sont surla liste : Berlin,Barcelone, Buenos Aires,Londres, Bogotá, Chicago,Copenhague, Paris, Istanbul,Djakarta, Jérusalem, Prague,Tokyo, Vienne... et tantd’autres aux quatre coins duglobe. Un livre les retraçanttous, photos à l’appui, serapublié en 2015.

    Une liste impressionnanteDes manifestations mul-

    tiples sont programmées.Chaque festival, chaquemilonga peut participer à cethommage.

    Cela peut aller d’unesimple dédicace à la program-mation d’une édition spécia-

    le, dans le cadre de“100 milongas dumonde entier”. Enaccord avec laComisión HomenajeCentenario*, il pour-ra leur être envoyéles collections dephotos du patrimoi-ne Zita et AníbalTroilo, CD et vidéospour décorer etmusicaliser la soirée. Ouencore, cela peut être unshow, des projections de films(voir encadré), des exposi-tions de livres (poètes et écri-vains de Troilo), des confé-rences...

    Sont également organisésdes concours de courtsmétrages etde contes,etc. Cettelon gue listeest à retrou-ver sur lesite**.

    D u r a n ttout 2014,les organi-s a t e u r stransmettront les différentesmanifestations sur le net, parle biais de TangoS21 (ren-contre du tango et de la tech-

    Un événement sans précédent à l’échelle planétaire a été mis enplace pour fêter le centième anniversaire de sa naissance.

    Inauguré le 6 janvier avec une conférence de presseinternationale, Troilo en Mar del Plata, il se terminera le

    21 décembre à l’Academia porteña del lunfardo.

    Anniversaire

    Affiche d’inauguration

    nologie du XXIe siècle), ensouvenir de l’affection queportait Troilo aux nouvellestechnologies.

    L’enfant chéri deBuenos Aires

    Qui est Aníbal Troilo pourmériter une telle mobilisa-tion ? Né le 11 juillet 1914, ila toujours aimé sa ville et ellele lui rendit bien. « Je remer-cie d’être né à Buenos Aires.C’est ma vie, c’est le tango,c’est Gardel, c’est la nuit... »Une rue située à quelquesmètres de l’Obélisque porteson nom.

    Un projet est en cours pourfaire de sa maison natale de larue Cabrera un musée.Surnommé Pichuco par son

    La suite dans La Salida sur papier...

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  • 28 La Salida • n°87 • février - mars 2014

    Cafetín de Buenos Aires

    Au commencement, lamusique n’avait pas deparoles. Dans les bordelsde Buenos Aires, vers1870, on jouait des petitesmusiques proches ducouplet ou de la zarzuelaespagnole, de la habaneracubaine, de la valse, lapolka ou la mazurka, desmusiques qui avaient des

    titres picaresques, vulgaires, voireobscènes et à double sens.

    Ainsi El Queco, synonyme de bordel,qui date de 1874, et dont on sait qu’ilétait fredonné par les soldats dansdes bordels installés près descasernes. D’autres prétangosavaient pour titre Bartolo joue laflûte, Ici on vaccine, Touche-la moi,Catherine, et d’autres encore, tousvraiment cochons. Mais ce n’étaientque des titres de musique sansvraies paroles avec, au mieux,quelques refrains ou coupletschantés par les hommes quiattendaient leur tour et qui dansaiententre eux tandis qu’un pianiste ou unpetit orchestre (piano, flûte, guitare)accompagnait les chœursimprovisés. Aussi importante qu’aitété l’influence du bordel parmi lessources du tango, elle n’est pas laseule. À la même époque, les Noirsde Buenos Aires, massés dans lesquartiers de San Telmo etMontserrat, apportaient à cesmusiques leurs tambours, leursrythmes et leurs danses, ainsi queles vocables milonga et candombeet, probablement, tango. En 1897,dans une ambiance un peu plusdélicate que celles des bordels,casernes et bords des ruisseaux de

    Buenos Aires, dans le salon dansantde La Vasca, un pianiste noir,Rosendo Mendizábal, composeun tango instrumental qu’il appelaEl Entrerriano, peut-être le premiervrai grand tango, musiquemagnifique jouée ensuite par tousles grands orchestres. En 1904, unautre musicien noir, Domingo SantaCruz, l’un des premiersbandonéonistes, compose un autretango instrumental, Union cívica,tout aussi magnifique.Mais il y avait aussi les paroles sansmusique. À la lisière entre la pampaet la ville de Buenos Aires, dans lemilieu des paysans qui amenaient lebétail aux abattoirs, des bardes sedéfiaient, improvisant des joutespoétiques seulement accompagnéesd’une guitare, mais presque sansmélodie, comme des litanies qui serépètent à l’infini, très proches de lamilonga rurale. Ces joutes étaientappelées les payadas, et leurscompositeurs/interprètes étaient lespayadores, dont certains ontcommencé plus tard à chanter aussides tangos. Enfin, dernière source,la poésie des quartiers du BuenosAires des débuts de siècle,magnifiquement représentée par lepoète Evaristo Carriégo (1883-1912),dont nous avons parlé longuementdans notre numéro 54. Dans sesdeux uniques recueils de poèmes,Les Messes hérétiques etLa Chanson du quartier, Carriégoécrivait des tangos sans le savoir.

    Père fondateurVers la fin du XIXe siècle et au débutdu XXe, des tangos avec des paroles

    Je suis fils de Buenos Aires…

    La suite dans La Salida sur papier...

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  • Vous voulez comprendre les parolesdes tangos sur lesquels vous dansez ?

    Commandez-la en envoyantce formulaire accompagné d’un chèquebancaire ou postal de 15€ franco de port

    à l’adresse indiquée ci-dessousLE TEMPS DU TANGOOEPF - 5 rue du Moulin-Vert

    75014 Paris (France)

    NOM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Prénom . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Adresse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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    Email . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    Tél . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

    [[[[[Fabrice Hatem a réalisé pour vous uneanthologie bilingue, avec la traductioncommentée de 150 chansons parmi les

    plus belles et les plus fameuses.

    25La Salida • n°87 • février - mars 2014

    Salida87 - Extr_Salida 28/01/14 18:22 Page25

  • 54 La Salida • n°87 • février - mars 2014

    Directeur de la publication etresponsable des abonnementsLuis BlancoDirecteurs de la publication déléguésMarc PiankoFrancine PigetFrance Garcia-FicheuxMembres fondateursSolange BazelyMarc PiankoRédacteur en chefJean-Luc Thomas Secrétaire de rédactionFrance Garcia-FicheuxRédactionIrene AmuchásteguiAlberto EpsteinPhilippe FassierMarie-Anne FurlanFrance Garcia-FicheuxBernardo NudelmanFrancine PigetJean-Luc ThomasOnt participé à ce numéroLaura FalcoffDominique FicheuxLouise LecointeResponsable publicitéFrancine PigetContactez-nous avant le 10 mars 201401 43 54 18 14 [email protected] Internet et mailingCatherine CharmontMichel VargozDirection artistiqueMarie-Françoise MarionPhotos, mise en page et agendaPhilippe FassierImprimeurTypoform - 4 rue du Vaulorin - 91320 WissousLes informations de l’agenda sont gratuiteset publiées sans autre critère que denous parvenir avant le 10 mars 2014et formatées comme indiqué sur le site.

    [email protected]

    Tirage de La Salida n° 87 en 1 700 exemplairesCommission paritaire n° 1114G78597

    Dépot légal à parutionToute reproduction, totale ou partielle,

    de cette publication est interdite sans autorisation

    Bimestriel publié par l’association Le Temps du Tango

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    Je souhaite que mon abonnement débuteq à partir du prochain numéroq à partir du dernier numéro paruparutions 01/02 01/04 01/06 01/10 01/12Chèque à l’ordre de “Le Temps du Tango”

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