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008
LE SENTIER CÔTIER p. 7
CHEZ NOS AÎNÉS p. 12
TICÂLINS p. 14
DANS LE GRAND BAIN p. 10
2008
Le Cap-Sizun Magazine d’information de la communautéde communes
A U D I E R N E > B E U Z E C - C A P - S I Z U N > C L É D E N - C A P - S I Z U N > C O N F O R T- M E I L A R S > E S Q U I B I E N
G O U L I E N > M A H A LO N > P LO G O F F > P LO U H I N E C > P O N T- C R O I X > P R I M E L I N
Éditorial 3
Les élus 4Le nouveau conseil communautaire
Action économique 5Entreprises
Emploi et formation
Action environnementale 7Gestion des espaces naturels
Prévention des déchets verts
La page du tri 9Zoom sur… les métiers du tri
Équipements et services 10La piscine à l’heure d’été
Action sociale 12Animation en maison de retraite
Composition du CIAS
Portage de repas
Chantier d’insertion
Enfance-jeunesse 14Ti-Câlins : dix ans déjà
Le PAEJ, point accueil écoute jeune
Animations d’été
Le Cap-Sizun – Magazine d’information de la communauté de communes.
Directeur de la publication : Bernard Le Gall.
Rédaction, édition : communauté de communes du Cap-Sizun, Jacques Dyoniziak, tél. 02 98 70 16
00, courriel : [email protected], site Internet : www.cap-sizun.fr.
Photos de couverture : Jacques Dyoniziak.
Mise en page, impression : APF 3i concept à Briec-de-l’Odet.
Dépôt légal : juillet 2008.
Éditorial 3
Les élus 4Le nouveau conseil communautaire
Action économique 5Entreprises
Emploi et formation
Action environnementale 7Gestion des espaces naturels
Prévention des déchets verts
La page du triLa page du tri 9Zoom sur… les métiers du tri
Équipements et services 10La piscine à l’heure d’été
Action socialeAction sociale 12Animation en maison de retraite
Composition du CIAS
Portage de repas
Chantier d’insertion
Enfance-jeunesseEnfance-jeunesse 14Ti-Câlins : dix ans déjà
Le PAEJ, point accueil écoute jeune
Animations d’été
Le Cap-Sizun – Magazine d’information de la communauté de communes.
Directeur de la publication : Bernard Le Gall.
Rédaction, édition : communauté de communes du Cap-Sizun, Jacques Dyoniziak, tél. 02 98 70 16
00, courriel : [email protected], site Internet : www.cap-sizun.fr.
Photos de couverture : Jacques Dyoniziak.
Mise en page, impression : APF 3i concept à Briec-de-l’Odet.
Dépôt légal : juillet 2008.
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Éditorial
S’unirpour agir
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a nouvelle équipe communautaire est au travail, mobilisée au service du
Cap-Sizun, de son développement et de la qualité de vie de ses habitants.
Les enjeux d’avenir sont forts dans les domaines gérontologique,
enfance-jeunesse, action économique, action environnementale, services
et équipements intercommunaux : autant de champs d’intervention
et de compétences de la communauté de communes où elle doit jouer
un rôle moteur.
Mais, sur d’autres sujets lourds d’avenir pour ce territoire comme,
entre autres, le maintien des services publics, le désenclavement, il est
impératif que le Cap-Sizun parle d’une seule voix et la communauté
de communes peut être le fédérateur de cette expression forte.
Enfants, jeunes, familles, personnes âgées… les actions de la communauté
de communes concernent aujourd’hui tous les Capistes.
Ensemble, je suis convaincu que nous relèverons les nouveaux défi s
d’aujourd’hui et de demain pour faire du Cap-Sizun un territoire solidaire,
cohérent et attractif, pour et avec vous tous.
Bernard LE GALLPrésident de la communauté de communes
du Cap-Sizun.
La communautés de communes du Cap-Sizun est un
établissement public de coopération
intercommunal (EPCI) régit par des
règles de droit public. À l’inverse
d’une commune, qui dispose d’une
compétence générale, la commu-
nauté de communes intervient
uniquement dans le cadre spécialisé
de ses compétences fi xé par ses
statuts : action sociale, action éco-
nomique, action environnementale,
équipements et services d’intérêt
communautaire.
La communauté de communes du
Cap-Sizun réunit onze communes
représentant 16 700 habitants
répartis sur un territoire de 117 km2.
Elle est administrée par un conseil
communautaire composé de 37 élus
désignés par les conseils munici-
paux. Le conseil communautaire
constitue l’organe de décision de la
collectivité. En dehors des séances
plénières du conseil, la communauté
de communes organise le travail
des élus autour de commissions,
groupes de travail et réunions de
bureau.
Le budget 2008 de la communauté
de communes s’élève à 16 millions
d’euros.
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Le nouveau conseilcommunautaire
Artisans et commerçants : un chéquier-conseilL’Odesca propose aux TPE du commerce et de l’artisanat le chéquier-conseil, qui permet, grâce à une subvention de 80 %, de bénéfi cier de l’intervention d’un consultant dans son entreprise pour 18 € HT de l’heure (de 2 à 6 heures de conseil). Domaines d’intervention : marketing-communication, aménagement du point de vente, transmission, organisation du travail, développement durable, développement d’entreprise, qualité, informatique et internet. Dispositif fi nancé par l’Europe, l’État et la Région.Pour en savoir plus :> Chambre de métiers et de l’artisanat du Finistère, Marie Lagadec
au 02 98 76 46 31 ;> CCI de Quimper Cornouaille, Delphine Giron au 02 98 98 29 57.
Informatique et internet : les avantages pour votre entrepriseÀ partir de septembre, la maison de l’emploi et du développement et la cyberbase du Cap-Sizun proposeront aux commerçants, artisans et professions libérales un programme gratuit d’initiation et de dé-couverte des usages des TIC (technologies de l’information et de la communication) : informatique et internet, quels sont les avantages pour votre entreprise ? Comment les utiliser ? Pour quels besoins ? Toutes les réponses vous seront données lors de modules de découverte en septembre prochain.
Le bénévolat au service de la création d’entreprisesVous souhaitez apporter un peu de votre temps et de vos compétences à des activités qui sont au confl uent de l’insertion sociale et du développement économique ? Rejoignez l’équipede bénévoles de l’ADIE !L’Association pour le droit à l’initiative économique, reconnue d’utilité publique, s’adresse aux personnes dont le projet de création d’entreprise n’a pas été accepté par le système bancaire. L’ADIE leur octroie un micro-crédit (prêts jusqu’à 5 500 €) et un soutien technique et moral. Cet accompagnement, mis en œuvre par des bénévoles (retraités ou en activité), revêt plusieurs formes : appui individualisé, programme de formation, permanences spécialisées…Il s’agit d’un engagement plein de sens, au sein d’une équipe qui, dans le Finistère sud, a accompagné 55 créateurs d’entreprises en 2007. Votre connaissance de l’entreprise (gestion, développement commercial, démarches administratives, etc.), votre expérience et vos qualités humaines seront très appréciées des créateurs.> Pour tous renseignements complémentaires : Laurent Le Bris,
responsable des bénévoles, tél. 06 81 48 28 86.
Information logement :deux permanences par moisQu’il s’agisse de logement locatif, d’achat, de construction ou de rénovation, l’ADIL 29 (agence départementale d’information sur le logement) est en mesure d’offrir gratuitement des conseils d’ordre juridique, fi nancier et fi scal, en toute neutralité : rapports locatifs, contrats, charges, copropriété, relations avec le syndic, le notaire, l’architecte…, permis de construire, relations de voisinage, avantages fi scaux, accession à la propriété, amélioration de l’habitat, etc.
> Permanences de l’ADIL à la communauté de commune : les 2es et 4es lundis de chaque mois, de 9 h à 12 h.
> Pour les projets d’accession à la propriété, prendre un rendez-vous préalable en téléphonant au 02 98 53 23 24 ou au 02 98 46 37 38.
Artisans et commerçants : un chéquier-
Action économiqueLes élus
Les 37 conseillers communautaires :AUDIERNE :
Victor Cadiou, Jacqueline Donval, Joëlle Moalic-Verrechia, Anne Pichavant.
BEUZECCAPSIZUN :Jean-Pierre Le Bras, Jean Pichon, Laurence Thomas.
CLÉDENCAPSIZUN :Annie Bloch, Ronan Cam, Nadine Kersaudy.
CONFORTMEILARS :Paul Guéguen, Christelle Lapart, Philippe Tuff et.
ESQUIBIEN :Didier Guillon, Henri Roe, Jacques Velly.
GOULIEN :Henri Goardon, Claude L’Helgoualc’h, Marie-Thérèse Normant.
MAHALON :Éric Claquin, Yvette Croq, Bernard Le Gall.
PLOGOFF :Maurice Lemaître, Marie-Elisa Renault, Joël Yvenou.
PLOUHINEC :Jacques Colin, Pierre Garrec, Marcel Gourret,Marie-Thérèse Keravec, Martine Lossy, Jacky Nebrel.
PONTCROIX :Claude Cajean, Jeannine Guillou, Henri Moan.
PRIMELIN :Alain Donnart, Jean-Guillaume Floch, Gisèle Le Lay.
Le bureau communautaire :> Président :
Bernard Le Gall
> Vice-président aux fi nances :Henri Goardon
> Vice-président à l’action économique :Jacques Colin
> Vice-président à l’action sociale :Maurice Lemaître
> Vice-présidente à l’action enfance-jeunesse :Jacqueline Donval
> Vice-présidente à l’action environnementale :Nadine Kersaudy
> Vice-président aux équipements et services communautaires :Alain Donnart
> Membres :Paul Guéguen, Didier Guillon, Henri Moan.
ARTISANS DE L’ALIMENTATION
ENTREPRISES, EMPLOYEURS
Un dispositif d’aide et de conseil pour les artisans de l’alimentation vient d’être crééen partenariat avec le conseil général, à la chambre de métiers et de l’artisanat du Finistère.
L’Urssaf informe les employeurs sur les cotisations sociales liées à l’embauche d’un salarié. Pour toutes les entreprises, elle est également le relais du RSI pour la protection sociale des indépendants.
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a réglementation actuelle en ma-tière de sécurité sanitaire est exi-
geante, de même que la demande des consommateurs. Face à ces obligations, les petites entreprises sont souvent mal armées : contraintes économiques lour-des, manque de conseils, diffi cultés pour trouver un interlocuteur spécialisé…La chambre de métiers et de l’artisanat du Finistère vient de mettre en place le pôle « sécurité sanitaire - nutrition santé », spé-cialement conçu pour les artisans de l’ali-mentation.
ans le cadre de recrutements, l’Urssaf réceptionne la déclara-
tion unique d’embauche et recouvre les cotisations liées aux salaires », rappelleGisèle Paterour, conseillère à l’Urssaf du sud Finistère. Afi n de simplifi er toutes les démarches liées à l’embauche pour les TPE (très pe-tites entreprises, c’est-à-dire moins de 5 salariés), il existe un dispositif spécifi que : le chèque emploi très petites entreprises. « Ce service est gratuit et fi able, il dispense
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« Le professionnel est responsable de la qua-lité du produit qu’il vend, mais la réglemen-tation est complexe » : à la demande des entreprises, Solenn Billon, ingénieur en sécurité alimentaire, peut eff ectuer, entre autre, une sorte de « pré-contrôle tech-nique ». « Les revêtements de sol, les murs, plafonds et plans de travail doivent être facilement lavables, il faut éviter les angles dans les « labos », utiliser des plinthes à gor-ge arrondie pour éviter la stagnation d’eau, etc. ». Elle peut conseiller sur le choix des matériaux à utiliser — « Il existe aujourd’hui
d’établir un bulletin de paie (l’Urssaf se char-ge de l’établir gratuitement) et se résume à une seule déclaration et à un seul règlement pour l’ensemble des cotisations. »Par ailleurs, l’Urssaf informe les créateurs d’entreprise sur les taux de cotisation des travailleurs non salariés. « Il est ainsi possi-ble d’eff ectuer une simulation des cotisations dans le cadre d’une création d’activité. » L’Urssaf recouvre en eff et depuis le début de l’année les cotisations versées au titre du RSI (régime social des indépendants),
des panneaux PVC faciles d’entretien » — et plus généralement informer, notamment sur la formation à l’hygiène, devenue obli-gatoire : prise de température, analyses microbiologiques, traçabilité…Solenn Billon est désormais l’interlocutri-ce privilégiée des artisans des métiers de bouche du Finistère.
Services proposés> Assistance « sécurité sanitaire » : ser-
vice gratuit qui apporte des réponses, un avis et des conseils, au bureau ou par téléphone.
> 3 prestations d’audits spécifi ques : le diagnostic hygiène (bilan approfondi et programme d’amélioration - 200 €) ; l’état des lieux (faciliter la transmission de l’entreprise - 590 €) ; l’étude sur plan (projets de création ou d’aménagement - 100 €).
> Solenn Billon, assistant technique « sécurité sanitaire », chambre de métiers et de l’artisanat du Finistère.Tél. 02 98 76 46 71.E-mail : solenn.billon@cm-fi nistere.fr
« guichet unique » pour le paiement des cotisations sociales obligatoires.Enfi n, l’Urssaf est le CFE (centre de forma-lité des entreprises) des professions libé-rales (médecins, infi rmiers, consultants, formateurs…).
> Permanence-conseil gratuite et confi -dentielle le 3e jeudi du mois, de 9h à 12h.
> Informations sur le chèque-emploi TPE au 0 810 123 873 (n° Azur).
> Urssaf du sud Finistère : 02 98 76 42 42 et www.quimper.urssaf.fr.
Tout sur la sécurité sanitaire
L’Urssaf près de chez vous
«
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Gisèle Paterour, conseillère à l’Urssaf.
Solenn Billon, interlocutrice des artisans de l’alimentation.
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Solenn Billon, interlocutrice des artisans de l’alimentation.
Gisèle Paterour, conseillère à l’Urssaf.
Maison de l’emploi : bilan 2007La fréquentation de la maison de l’emploi et du développement du Cap-Sizun a doublé en 7 ans (517 personnes reçues mensuellement contre 250 en 2001). De plus en plus de personnes connaissent et fréquentent la MED, qui a ainsi accueilli dans ses murs 2 110 rendez-vous individualisés (ANPE, mission locale, création d’entreprise...) et 140 participants à des formations collectives (création d’entreprise, associations, techniques de recherche d’emploi…). Au-delà du travail des conseillers de l’ANPE, le suivi des demandeurs d’emploi par la MED a permis à 32 personnes de trouver un emploi, dont 8 en CDD d’au moins 6 mois.> Pour augmenter vos chances de trouver un
emploi, pensez à laisser votre CV à l’accueil de la MED.
Zoom sur la création d’entreprise (2002-2007)175 personnes ont participé aux matinées d’information. 300 personnes ont bénéfi cié d’au moins un rendez-vous individualisé avec la chambre de métiers ou avec la CCI. 102 ont effectivement créé leur activité.
Un forum de l’emploi en 2009Le « forum de l’emploi saisonnier » existe depuis 2003. En mars dernier, près de 20 em-ployeurs ont rencontré les quelque 200 person-nes souhaitant travailler pour l’été 2008. Les organisateurs souhaitent pouvoir main-tenant faire bénéfi cier tous les employeurs du Cap-Sizun de ce moment d’échange et de recrutement, quel que soit le secteur d’activité et le type de contrat mis en place. Au-delà de sa vocation première, l’édition 2009 du forum sera donc un « forum de l’emploi »… élargi à l’ensemble des activités.
Un réseau de partenaires diversifi é> Pour l’accompagnement des personnes en recherche d’emploi ou de formation : l’ANPE, les prestataires de l’ANPE (3 centres de forma-tion interviennent sur le Cap-Sizun), la mission locale (jeunes de 16 à 25 ans hors système sco-laire), l’association Ohé Prométhée (travailleurs handicapés), l’Assédic (borne télématique), l’association intermédiaire Actions Servi-ces (travail ponctuel en ménage, jardinage, bricolage), l’Armée de Terre (information sur les métiers et les contrats).
> Pour l’accompagnement des personnes dans le cadre de création d’activité : la chambre de métiers et de l’artisanat, la CCI de Quimper Cornouaille, l’ADIE (porteurs de projet n’ayant pas accès au crédit bancaire), la Plateforme d’initiative locale (prêts à taux zéro), l’URSSAF du sud Finistère (information sur les cotisations sociales).
> Pour informer les particuliers employeurs de personnel à domicile (jardinier, femme de ménage...) : la FEPEM (Fédération des particu-liers employeurs) et l’URSSAF du sud Finistère (cotisations sociales).
Action économique
uel est l’intérêt pour un em-ployeur de passer par l’ANPE ?
L’ANPE propose des services gratuits : aide au recrutement, création d’off re, diff usion sur anpe.fr (ou non, suivant le souhait de l’employeur), proposition de candidats, organisation du forum de l’emploi... « Nous eff ectuons un travail de contact auprès des entreprises, explique Rozenn Bernard, pour bien connaître le tissu éco-nomique local et entretenir une relation de confi ance. » En eff et, confi rme Anne-Claude Lairon, « il est important de rencontrer l’employeur pour bien défi nir les compétences techni-ques liées au poste, le préciser dans l’an-nonce, puis suivre le recrutement ». En cas de diffi culté à trouver le bon « profi l », le conseiller peut, sous certaines conditions, proposer une formation complémentaire au candidat en liaison avec l’employeur : « un magasinier qui a besoin de la licence de cariste indispensable pour travailler dans une grande surface par exemple ».
Cela implique également une bonne connaissance des demandeurs d’emploi ?
Ce travail renforcé en direction des en-treprises va de pair avec le suivi person-nalisé des demandeurs d’emploi : « Les rendez-vous mensuels permettent de mieux connaître les personnes et d’être plus réac-tif. Un rapport de confi ance s’instaure entre tous les interlocuteurs. »« Après inscription à Douarnenez, le suivi mensuel personnalisé se met en place sur le Cap-Sizun à partir du 4e mois de recherche d’emploi », rappelle Michel Talbot. « Les entretiens durent entre 20 et 30 minutes.
EMPLOI ET FORMATION
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Q Chaque conseiller suit en moyenne 80 per-sonnes à la fois. »
Avec plus d’une année de recul sur cette organisation, quel est votre sentiment ?
Pour Isabelle Urcun, « cette nouvelle or-ganisation permet de mieux travailler en partenariat avec la maison de l’emploi et du développement et le CIAS (centre inter-communal d’action sociale) et d’entretenir une meilleure communication avec les em-ployeurs ». Et de citer la méthode de recru-tement par simulation mise en place en début d’année en lien avec l’ADMR : des tests de mise en situation ont été propo-sés aux demandeurs d’emploi intéressés par le métier d’aide à domicile, une façon d’anticiper les besoins face au vieillisse-ment de la population du Cap : « On ne recrute pas forcément sur CV. Plusieurs per-sonnes ont pu ainsi postuler à l’ADMR, en saisonnier pour le moment. »
En conclusion, le travail en partenariat se construit au profi t des demandeurs d’emploi et des employeurs.
INFORMATIONS PRATIQUES :
> ANPE de Douarnenez : 02 98 74 48 30.
> Permanences sur le Cap-Sizun : le lundi, mardi, mercredi et vendredi, sur RDV.
> Atelier de techniques de recherche d’emploi (réaliser ou améliorer son CV, sa lettre de motivation, simulerun entretien d’embauche…) : le jeudi,de 9 h à 12 h, sur inscription.
> Renseignements complémentaires et inscriptions auprès de son conseillerou au 02 98 70 16 00.
L’ANPE sur le terrainQuatre conseillers de l’agence de Douarnenez reçoivent et accompa-gnent les demandeurs d’emploi et les employeurs du Cap-Sizun.
Michel Talbot, Isabelle Urcun, Rozenn Bernard et Anne-Claude Lairon.
GESTION DES ESPACES NATURELS
Action environnementale
L’entretien du sentier côtier et de ses accès, notamment sur la côte nord, plus riche en terre végétale, nécessite un travail rigoureusement planifi é, confi é au chantier d’insertion « environnement » du CIAS.
broussaillage. L’expérience des agents qui ont déjà travaillé l’an dernier sur le sentier côtier est précieuse. » Car il s’agit de tenir compte — chantier d’insertion oblige — du renouvellement des équipes, des contraintes météo, du type de végétation (la fougère, par exemple, se coupe au der-nier moment, car elle repousse vite), de la proximité des routes (pour ne pas perdre de temps à porter le matériel sur de trop longues distances). En fonction de tous ces paramètres, le sentier piéton est découpé en tronçons, classés par niveau de diffi culté. L’équipe intervient à trois par tronçon : deux à la débroussailleuse, un à la fourche. Ce der-nier veille à rejeter la végétation coupée suffi samment loin du sentier pour ne pas fertiliser les abords, les laisser propres. Pour André, un des agents, si « c’est bien fait, dans les temps, le travail est plus facile l’année suivante ».
Le sentier cartographiéDe même, les indications recueillies année après année alimentent la base de don-nées du service environnement de la com-munauté de communes, qui peut établir ainsi une cartographie du sentier côtier, une typologie précise de tous les secteurs, qui facilite les interventions suivantes.Pour compléter cette connaissance et en-richir le service, vous pouvez contacter la communauté de communes et faire part de toute observation.
u-delà de la vocation sociale du chantier et à côté de la mission de
gestion d’espaces naturels que peut nous confi er la communauté de communes, c’est aussi une mission de service, à terminer en début d’été, explique Laurent Piquet, l’encadrant. Des repérages sont nécessai-res pour avoir une connaissance parfaite du milieu et déterminer les périodes de dé-
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Le sentier côtier
«
LaurentPiquet,38 ans, est le nouvel encadrant du chantier environne-
ment. Il a travaillé plusieurs années à l’association Eau et rivières de Bretagne et possède une double compétence d’éducateur à l’environnement et de responsablede chantiers d’insertion. Ses fonctions au sein du CIAS de la communauté de communes relèvent donc tout autant de l’insertion sociale et de l’animation d’équipe que du travail de terrain en rapport avec l’environnement, ce qu’il apprécie particulièrement.
LaurentPiquet38 ans, est le nouvel encadrant du chantier environne-
ment. Il a travaillé plusieurs années
Un trophée de la Fondation de FranceLa communauté de communes assure l’entretien de 350 ha d’espaces naturels sensibles, propriétés du Conservatoire du littoral ou du conseil général. Un comité de pilotage réunissant les représentants des collectivités territoriales, des usagers de ces espaces (randonneurs, chasseurs, pêcheurs) et des associations environnementales défi nit les actionsà mener, à prioriser. En toute concertation.Cette démarche participative, déjà distinguée l’an dernier par l’attribution d’une subvention de 13 000 € de la Fondation de France pour l’animation des groupes de travail, est de nouveau mise à l’honneur par ce mécène qui a remis fi n mai à la communauté de communes un trophée départemental « S’unir pour agir », qui se veut « un coup de projecteur sur une action exemplaire ». C’est une « vraie démarche participative » constatait Bernard Le Gall, « car ce projet s’appuie sur une approche de terrain est basée sur l’adhésion de tous les acteurs et non la contrainte ».
Un nouvel espace naturel classéLe conseil général du Finistère mène une politique d’acquisition de terrains au titre des espacesnaturels sensibles. Aujourd’hui, 80 ha de leur propriété sont confi és pour gestion à la communauté de communes. En 2007, une nouvelle acquisition de 7 ha a eu lieu dans la zone de préemption de la rive nord du Goyen, au niveau de Kermaléro, à Pont-Croix. Parmi les premières actions de gestion, un nettoyage du site a permis d’évacuer et de traiter 5 tonnes de vieux pneus. Par la suite, des actions de fauche de la végétation herbacée et d’entretien de la lande concourront au maintien de la biodiversité.
Bac à maréeLa communauté de communes a mis en place sept points de collecte des déchets qui peuvent venir de la mer, notam-ment lors des grandes marées (fi lets, palettes, bidons…), mais également de la fréquentation des espaces naturels et du sentier côtier (bouteilles plastiques, verre, canettes…).Ces points de collecte, entièrement fabriqués en matériaux récupérés, sont localisés dans un premier temps aux endroits où il y avait une habitude de dépôt des usagers et riverains, soucieux de préserver leur environnement.L’équipe des espaces naturels de la communauté de communes se charge de leur collecte sur les sites dont elle a la gestion. Le tri et le recyclage des matériaux valorisables sont effectués par la suite.
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PRÉVENTION DES DÉCHETS VERTS
Action environnementale
ans le Cap-Sizun, nous produi-sons plus de 4 000 tonnes de dé-
chets verts, tontes et tailles par an, soit 250 kg pour chaque habitant. Ces déchets peuvent aujourd’hui être acceptés sur les plate-formes de compostage, mais leur traitement coûte de plus en plus cher à la collectivité et nécessite l’aménagement de nouvelles aires d’accueil. Les déplace-ments importants de ces déchets ne sont pas sans eff et sur notre environnement.Pourtant, une solution écologique et éco-nomique existe : le broyage des végétaux à domicile.Lorsque l’on taille ses haies, arbres et ar-bustes, il en résulte un volume important de déchets verts qui, une fois broyés sur place, permettent de participer à la dimi-nution des coûts de traitement (près de 50 000 € par an), tout en récupérant un paillage ou un amendement 100 % natu-rel, gratuit et de qualité.De plus, l’apport des éléments carbonés, secs et structurants du broyat facilite la réussite de son compostage des déchets de cuisine.
Bons de réduction
Suivant la quantité de déchets à broyer, le type de branchages et la fréquence des tailles à l’année, vous pourrez soit acheter votre matériel (mais l’investissement reste cher pour un matériel de qualité et son en-tretien peut rapidement devenir un poste de dépense important), soit avoir recourt à la location.
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La communauté de communes lance une opération pilote.
Le broyagedes végétaux
Passer par la location, c’est profi ter d’un matériel professionnel adapté et perfor-mant, notamment pour les broyeurs ther-miques, sans craindre les pannes et les casses, même avec des branches de 8 cm de diamètre. Le travail en sera largement moins fastidieux. De plus, rien ne sert de réaliser un investissement important dans un matériel que l’on n’utilisera qu’une ou deux fois dans l’année.
Afi n de promouvoir la pratique du broya-ge à domicile par le biais de la location, la communauté de commune distribue des bons de réduction de 25 € aux premiers utilisateurs. Pour tout renseignement et pour retirer vos bons de réduction, adressez-vous à la communauté de communes du Cap-Sizun au...
Le broyeur thermique disponible sur le Cap-Sizun. Le broyat obtenu est le meilleur des paillages naturels.
Une plaquette pour limiter la taille des haiesLa communauté de communes a parti-cipé à l’élaboration d’une plaquette sur les techniques d’entretien d’une haie de jardin, et les espèces adaptées aux besoins, dans le but de limiter la production de déchets verts. Certaines espèces végétales permettront d’obtenir en peu de temps une haie qui isolera votre maison des voisins, mais le tribut à payer peut s’avérer lourd : pendant les 20 années suivantes, ces plants demanderont un entretien important et des voyages réguliers à la déchetterie pour évacuer de gros volumes de déchets verts.Le but de cette plaquette est de montrer qu’il existe des alternatives : choix d’espèces adaptées, haies variées, pratiques de taille…N’hésitez pas à questionner un paysagiste, un pépiniériste ou un
horticulteur, qui sauront vous conseiller pour que l’entretien de votre jardin reste un plaisir plutôt qu’une corvée… tout en réduisant la production de déchets verts. La plaquette « Haies de jardin, choix et entretien » est disponible à la communauté de communes. Elle est également téléchargeable sur le site internet
Les espèces très vigoureuses poussentde 40 à 70 cm par an.
Le broyeur thermique disponible sur le Cap-Sizun.
Contrôle de qualitéC’est véritablement à partir de la fi n 2003, avec la généralisation de la collecte en sacs jaunes, que le métier a évolué. Sur quinze jours, pour trois collectes de sacs noirs, on eff ectue désormais deux collectes de sacs jaunes. Le rôle des agents est capital : « Nous devons contrôler la qualité du tri en bacs jaunes pour limiter les refus à Poul-dreuzic. Le tri se fait sur place. On passe en bac à ordures ménagères tout ce qui estcageot en bois, polystyrène, carton mouillé par la pluie… Idem pour les sacs noirs : contrairement aux sacs jaunes, transpa-rents, on ne sait pas ce qu’il peut y avoir de-dans, on ne prend donc pas le risque d’avoir un refus de tri. » Les agents estiment qu’un taux de refus de 11 % est satisfaisant : « mais il pourrait mon-ter à 20 ou 30 % sans notre intervention ». Le contenu des bacs jaunes leur procure quelquesfois de sacrées surprises : tailles de haie, verre, téléviseur, ferraille…Tout ce travail supplémentaire pour les ripeurs peut être facilité par le respect de chacun des consignes de tri.
Actus triLa page du tri
Sur les cinq premiers mois de l’année, plus de 355 tonnes de sacs jaunes ont été collectées (- 5 % par rapport à 2007). La qualité du tri est meilleure puisque le taux de refus (emballages non recyclables dans les sacs jaunes) repasse sous la barre des 15 %.
Quantité Qualité
triomètre
Sur les cinq premiers mois de l’année, plus de
Zoom sur…Zoom sur…
epuis les tombereaux hippomo-biles, les premiers véritables ca-
mions-poubelles, à l’époque d’Eugène Poubelle, à la fi n du XiXe siècle, le métier d’« éboueur » a bien évolué. La collecte s’est bien sûr mécanisée, avec le système de bascule des bacs des BOM (benne à ordures ménagères) actuelles, et elle s’est également diversifi ée avec le tri.Les 17 agents de la communauté de communes aff ectés à cette mission sont aujourd’hui répartis en trois équipes qui couvrent l’ensemble du territoire. Chaque équipe est constituée d’un chauff eur et de deux agents de collecte, ou « ripeurs ».
On ne mélange pas !Le planning de la semaine alterne entre la collecte des sacs noirs et la collecte des sacs jaunes, et, pour certaines équipes, la collecte du verre en bac à roulettes, sur quelques communes. Ne vous méprenez pas, même si c’est le même camion qui passe devant votre maison, on ne mé-lange jamais les incinérables (sacs noirs) avec les recyclables (sacs jaunes). En ef-fet, la destination n’est pas la même : les sacs noirs, après un transfert sur le site de l’ancienne usine de Confort-Meilars, per-mettant de charger des semi-remorques, fi niront dans les fours d’incinération de Concarneau, tandis que les sacs jaunes seront livrés à Fouesnant via le centre de transfert de Pouldreuzic. La BOM est d’ailleurs soigneusement nettoyée entre chaque tournée.
les métiers du triHORAIRES DES DÉCHETTERIESDepuis l’ouverture d’une deuxième déchetterie à Prad-Honest, à Primelin, les horaires des déchetteries sont les suivants :
PONT-CROIXLundi 9 h-12 h 14 h-18 h
Mardi 9 h-12 h 14 h-18 h
Mercredi 9 h-12 h 14 h-18 h
Jeudi 9 h-12 h 14 h-18 h
Vendredi 9 h-12 h
Samedi 9 h-12 h 14 h-18 h
PRIMELINLundi 14 h-18 h
Mardi 9 h-12 h 14 h-18 h
Mercredi 9 h-12 h
Jeudi 9 h-12 h
Vendredi 9 h-12 h 14 h-18 h
Samedi
Apportez dans les déchetteries du Cap-Sizun vos huiles, peintures, ferrailles, encombrants, déchets verts, bois, cartons, gravats, récipients en verre et en plastique, déchets d’équipements électriques et électroniques.
FÊTES ET TRIDe nombreuses manifestations ont lieu sur le Cap-Sizun pendant l’été. La communauté de communes répond à la demande des organisateurs de fêtes en renforçant le service. Depuis plusieurs années, elle propose un tri des déchets approprié à chaque événement. Cette année, à l’instar de ce qui a été réalisé lors du « Marathon du bout du monde », l’accent sera mis sur la prévention des déchets. Si vous souhaitez faire de votre fête une fête « durable », contactez le
les métiers du tri
Le métier en chiffres3 tonnes C’est en moyenne le contenu d’une benne à ordures ménagères. En sacs jaunes, on voyage environ deux fois plus léger qu’en sacs noirs.
850 Le nombre de bacs grillagés implantés sur le territoire.
1 200 Environ 1 200 tonnes de sacs jaunes sont collectés chaque année.
90 000 Le nombre de kilomètres effectués chaque année par les équipes.
epuis les tombereaux hippomo-
Après les matériaux à trier et leur recyclage, la rubrique « Zoom sur… » repart sur un nouveau cycle de découverte, celui des métiers liés à la collecte et au recyclage des déchets. Quoi de plus normal alors que de commencer par le premier maillon de la chaîne du recyclage - après notre geste de tri -, à savoir : la collecte sélective…
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Équipements et services
AQUACAP
Dans le grand bain…
quacap off re l’accès à tous les plaisirs de l’eau : toboggan, bassin
ludique, pataugeoire, grand bassin de 25 m avec quatre lignes d’eau, espace de détente avec jacuzzi et sauna.Laurence Hébert, la responsable de l’équi-pement, annonce le chiff re de plus de 30 000 entrées depuis l’ouverture, en no-vembre dernier : « C’est une bonne fréquen-tation, conforme aux prévisions. » L’activité est en progression et le nombre de cours proposés a augmenté : « Pour l’apprentis-sage enfants (hors vacances), nous sommes passés de deux à trois cours par semaine. L’initiation complète des 6-10 ans marche très bien, nous sommes à présent à deux cours par semaine. Les cours destinés à vain-cre l’aquaphobie, la peur de l’eau, connais-sent une grosse demande (trois cours par semaine). » L’apprentissage adulte connaît aussi une belle progression, de un cours par semaine à l’ouverture à trois par se-maine actuellement.Laurence Hébert nourrit actuellement le projet de développer les animations en soirée, sur un mode autant sportif que ludique : on trouve ainsi dans ses cartons des séances de découverte aquagym, des séances « aquaman » (aquagym spécial messieurs), de la nage avec palme, des séances pour se muscler et se détendre le dos, des soirées ados en musique, des soi-rées à thème (buff ets, « soirée des abon-nés », etc.) ...
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La piscine du Cap-Sizun à l’heure d’été
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Le soutienaux associationsdu Cap-SizunLa communauté de communes soutient les associations de diverses manières :
> Elle propose aux dirigeants et bénévoles associatifs un service de proximité permettant d’accéder gratuitement aux conseils assurés par l’espace associatif du Finistère : statuts, responsabilité des dirigeants, salaires, organisations de manifestations, recherche de fi nancements... Les prochaines permanences du PIAF (point information des associations du Finistère) auront lieu le 8 octobre à Plogoff et le 26 novembre à Beuzec-Cap-Sizun, de 14 h à 18 h. RDV au 02 98 52 33 00.
> La communauté de communes est également partenaire de l’espace associatif du Finistère pour proposer aux responsables d’associations des formations spécifi ques (comptabilité associative, responsabilité des dirigeants, relations employeurs/salariés, de l’idée au projet associatif...), au plus près de leurs besoins, gratuitement ou à un coût très modique.
> Les projets associatifs d’intérêt communautaire peuvent recevoir une subvention de fonctionnement. L’investissement peut être soutenu à hauteur de 30 %. L’enveloppe budgétaire 2008 pour cette action de soutien est de 48 000 €.
> Les associations capistes qui interviennent dans le champ scolaire (culture, sport, arts plastiques) et/ou dans le cadre du programme enfance-jeunesse reçoivent également une aide communautaire : en 2006-2007, ce sont ainsi 14 projets qui ont été aidés(art à l’école primaire, initiation au judo, au kayak,à la voile, au théâtre, aide au fonctionnement del’école de musique, séjours, etc.).
> Prêt de matériel : vidéo, sono, camping, vélos, jonglage... Ce matériel, renouvelé régulièrement, est acheté pour répondre aux besoins des associations.
CONTACT : Bertrand Vaidie, 02 98 70 16 00.
AU MENU DE CET ÉTÉTOUS PUBLICS
Horaires d'ouverture grandes vacancesLundi 10 h - 12 h 30 14 h - 18 h
Mardi 10 h - 12 h 30 14 h - 18 h
Mercredi 10 h - 12 h 30 14 h - 18 h
Jeudi 10 h - 12 h 30 14 h - 18 h
Vendredi 10 h - 12 h 30 14 h - 18 h
Samedi 10 h - 12 h 30 14 h - 18 h
Dimanche 10 h - 12 h 30 14 h - 18 h
CRÉNEAUX RÉSERVÉS > LES STAGES DE NATATION
Mode d’emploi : à l’occasion d’une sortie à la piscine, les enfants s’adressent au maî-tre-nageur, qui leur fait passer un test rapide, destiné à défi nir leur niveau : jardin aquatique, apprentissage ou perfectionnement. Il suffi t ensuite de s’inscrire à l’un des nombreux stages proposés (les séances ont lieu du lundi au vendredi, de 9 h 15 à 10 h). Par 5 ou 10 séances (10 € la séance, 90 € les dix).
> L’AQUAFITNESS AQUAGYMLes adultes disposent cet été de 2 séances par semaine (sur abonnement ou à la séance), à 18 h.
HORAIRES JUILLET-AOÛT - Consultation libre
Lundi Beuzec : 10h-12h Plogoff : 14h-17h Plouhinec : 14h-16h
Mardi Beuzec : 16h-18h Plogoff : 10h-12h Plouhinec : 10h-12h/13h-16h
Mercredi Beuzec : 10h-12h Plogoff : 14h-17h Plouhinec : 15h-17h
Jeudi Beuzec : 10h-12h Plogoff : 14h-17h Plouhinec : 10h-12h
Vendredi Beuzec : fermé Plogoff : 9h-12h/14h-16h Plouhinec : 10h-12h
Samedi Horaires affi chés dans les salles.
AQUACAP> Espace aquatique du Cap-Sizun
Route de la Pointe du Raz29770 Esquibien
> Tél. 02 98 70 07 74> [email protected]> www.recrea.fr/aquacap
SCOLAIRES ET CLUBS> Hors ouverture au public, les scolaires
du Cap-Sizun bénéfi cient de 8 heures d’apprentissage par semaine.
> Les enfants des centres de loisirs du Cap-Sizun (Cap-Sizun Animation et Ga-pas) bénéfi cient de la gratuité aux heu-res d’ouverture tous publics.
> Les associations capistes à vocation nautique disposent de créneaux gra-tuits : le mercredi soir pour le Madeo Surf Club, le CNCS, Iroise Sports sous-marins, la SNSM et les Plongeurs du Cap ; le jeudi soir pour l’ACK-PCS.
> En fréquentation scolaire et associative, Aquacap comptabilise en moyenne 1 000 personnes par mois. Le coût est pris en charge par la communauté de communes.
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ÉTABLISSEMENTS DE PERSONNES ÂGÉES
tivité d’animation, car il s’agit de garder son autonomie le plus longtemps possi-ble. Les ambitions sont raisonnables (pas plus de 20 minutes de trajet), mais pour Stéphane, il est clair que « même à 95 ans, on peut apprendre, connaître, découvrir le plus de choses ». « Être ensemble, nouer des liens » : même credo au foyer-logement de Pont-Croix, où Carine Guillo et Caroline Perrinot or-ganisent ateliers, discussions, jeux de so-ciété, spectacles... et même des goûters entre résidents et enfants au centre de loisirs, quand ce ne sont pas ces derniers qui investissent le foyer-logement pour Halloween, Mardi gras ou une chasse aux œufs de Pâques.
Des lieux animésLes établissements gérés par le CIAS du Cap-Sizunproposent nombre d’activités aux résidents.
téphane Legrand partage son temps entre les établissements
de Cléden et Plouhinec. Les anima-tions sont organisées en séquences d’une heure environ, sur des thèmes variés : ateliers mémoire, jeux de lettres, gym-nastique (avec un ergothérapeute), pâtis-serie, revue de presse matinale, lecture-conversation sur des thèmes d’actualité... Ce n’est pas de l’« occupationnel », c’est pourquoi Stéphane a à cœur de concilier la diffi cile tâche de réussir à faire plaisir à tout le monde tout en ciblant les activités proposées en fonction des possibilités de chacun, le but étant de maintenir la com-munication et le plaisir de groupe. Les sorties sont un volet important de l’ac-
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petit patrimoine bâti — voir page 7) et un chantier « multi-sites » (restauration, linge-rie, ménage, services à la personne).Le conseil d’administration du CIAS est composé :> du président de la communauté de
communes ;> de 11 élus des communes du Cap : Mau-
rice Lemaître (Plogoff ), vice-président à l’action sociale, Joëlle Moallic-Verrechia (Audierne), Laurence Thomas (Beuzec-Cap-Sizun), Annie Bloch (Cléden-Cap-Si-zun), Christelle Lapart (Confort-Meilars), Henri Roe (Esquibien), Marie-Thérèse Normant (Goulien), Yvette Crocq (Ma-halon), Marie-Thérèse Keravec (Plouhi-nec), Claude Cajean (Pont-Croix), Gisèle Le Lay (Primelin) ;
> de 11 membres issus de la société civile et nommés par le président (ces mem-bres œuvrent au sein d’associations participant à des actions de prévention, d’animation ou de développement so-cial sur notre territoire).
e CIAS (centre intercommunal d’action sociale) développe et
renforce l’eff ort déjà mené par les autres acteurs (CCAS, associations, etc.). Force de proposition et d’actions, il est un in-terlocuteur de l’État et du conseil général, notamment dans le domaine du vieillis-sement de la population ou de la mise en œuvre des politiques d’insertion.Ses missions sont l’action sociale auprès des personnes âgées et handicapées, l’action sociale auprès des publics en diffi -culté, la représentation de la compétence sociale de la communauté de communes auprès de diff érentes instances et l’ana-lyse des besoins sociaux du territoire.Ainsi, le CIAS gère 3 établissements de per-sonnes âgées (foyer-logement de Pont-Croix, EHPAD de Cléden-Cap-Sizun et EH-PAD de Plouhinec), 1 service de portage de repas à domicile pour les personnes âgées ou handicapées et 2 chantiers d’insertion : un chantier « environnement » (entretien des espaces verts publics, entretien du
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Un nouveau conseil d’administrationCIAS
Auprès des CCAS (centres communaux d’action sociale) aux missions de proximités essentielles,le CIAS met en œuvre un projet social à l’échelle du Cap-Sizun en développant des actions fortesen direction des personnes âgées, des publics en diffi culté.
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8Action sociale
Les sorties font partie du panel des activités proposées : ici avec Stéphane Legrand, au parc botanique d’Ar Paeron...
... ou là avec Carine Guillo et CarolinePerrinot, lors de la Fête du jeu
de Pont-Croix.
Les locaux du CIAS du Cap-Sizun,12, rue Jean-Guillou, à Plouhinec.Les locaux du CIAS du Cap-Sizun,
LE CIAS DU CAP-SIZUN
> 12, rue Jean-Guillou - 29780 PlouhinecTél. 02 98 74 98 98 - Fax 02 98 74 98 94E-mail : [email protected]
> Résidence de la Fontaine (foyer-logement), à Pont-Croix, tél. 02 98 70 40 84
> EHPAD de Cléden, tél. 02 98 70 37 37
> EHPAD de Plouhinec, tél. 02 98 74 93 93
... ou là avec Carine Guillo et Caroline
MAINTIEN À DOMICILE
INSERTION
Le chantier « emploide service en collectivité »Bientôt deux ans d’existence pour ce secondchantier d’insertion du CIAS.
e système est très souple : la pre-mière livraison a lieu 48 heures
après l’inscription et il n’y a aucun engagement de durée. Pour profi ter de ce service, il suffi t de disposer d’un réfri-gérateur pour conserver les plats et d’un four à micro-ondes ou traditionnel pour les réchauff er, soi-même ou avec une aide à domicile. Les plats sont cuisinés par les Ateliers de Cornouaille, à Guengat (atelier protégé de Kan ar Mor), et livrés en mati-née par véhicule frigorifi que. Les menus sur 15 jours sont connus une semaine à l’avance.
e chantier d’insertion multi-sites « emploi de service en collecti-
vité » existe depuis octobre 2006. Il a été créé avec le soutien du conseil gé-néral dans le but d’aider des personnes à reprendre une activité professionnelle à travers un contrat de travail (26 heures par semaine) de 6 mois renouvelable une fois. Le contrat est exécuté sous la respon-sabilité d’un tuteur dans les trois établisse-ments publics de personnes âgées, assorti de séquences de formation et d’un accom-pagnement destinés à retrouver un emploi stable, généralement dans le domaine des
services à la personne. Depuis septembre 2007, avec la mise en place du service de portage de repas, le chantier accueille 12 bénéfi ciaires.Premier bilan avec Hélène Kerloch, l’enca-drante : « Ce dispositif peut déboucher sur des CDD de six mois ou plus, voire des CDI. D’octobre 2006 à fi n 2007, sept bénéfi ciaires en sont sortis avec un emploi à l’extérieur. D’autres sont partis en formation d’aide-soi-gnante ou d’assistante de vie. »Après une première année à mettre en place les outils de recrutement, Hélène Kerloch se consacre maintenant, en lien
avec la maison de l’emploi et du dévelop-pement, à promouvoir les compétences du chantier auprès d’employeurs po-tentiels : service d’aide à la personne (en structure ou à domicile), hôtellerie, restau-ration, tout prestataire de services... « Il y a des projets, des ouvertures, car ça marche. »
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EXEMPLE DE MENUS
Charcuterie Avocat Melon Concombre à la crème Poisson Fricassée de volaille Tomates farcies Quiche Ratatouille Petits pois Riz Salade Fromage Fromage Fromage Fromage Fromage blanc Crème caramel Tarte aux pommes Mousse au chocolat
MODE D’EMPLOI> Avant la mise en place, une visite à domi-
cile est programmée afi n de présenter le service et défi nir les besoins.
> 3 repas minimum par semaine.
> Fonctionne 6 jours sur 7 (repas du di-manche livré avec celui du samedi).
> Coût du repas livré au domicile : 9,50 €.
Sous certaines conditions, des aides sont possibles par l’APA, les assurances, mutuelles et caisses de retraite.
> Renseignements et inscriptions au CIAS(centre intercommunal d’action sociale), 12, rue Jean-Guillou, 29780 Plouhinec. Tél. 02 98 74 98 98. Courriel : [email protected]
Le portage de repasLe CIAS propose un service de portage de repasà destination des personnes âgées et handicapéesdu Cap-Sizun.
Hélène Kerloch : « Aider à sortirde la précarité en allant vers l’emploi ou la formation. »
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Hélène Kerloch : « Aider à sortir
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HALTEGARDERIE ITINÉRANTE
de la halte-garderie. Le bébé-bus est garé pour la nuit à la communauté de commu-nes, qui stocke une partie du matériel et où est lavé le linge.« C’est un service occasionnel très pratique, explique Elisabeth Meil, actuelle présiden-te de l’association, car le bébé-bus va là où il n’y a pas de structure. »Au tout début de l’existence de la halte-garderie itinérante, une convention a été passée entre la communauté de commu-nes et l’association Familles rurales, mais, rapidement, l’association Ti-Câlins voit le jour, en 1998.
L’évolution sur dix ans parle d’elle-même :
1998 : 16 h d’ouverture/semaine, 40 h de travail pour 2 personnes ;
2008 : 36 h d’ouverture (4 jours pleins), 105 h pour 3 personnes.
Une soixantaine d’enfants sont actuelle-ment concernés par ce service sur le Cap. « Ce n’est pas évident de gérer une associa-
Ti-Câlins :dix ans déjàTi-Câlins, c’est l’association qui gère la halte-garderie itinérante du Cap-Sizun, bien connuepour son fameux « bébé-bus ». Histoire d’une expérience originale, devenue référence aujourd’hui.
n jour, il y a dix ans, un groupe de parents fait le constat qu’hormis
les assistantes maternelles, il n’existe pas de structures d’accueil des tout-petits en Cap-Sizun. Ces parents découvrent qu’il existe quelque chose appelé « bébé-bus » dans le centre de la France. L’idée séduit. Ils prennent contact avec la communauté de communes pour faire part de leurs in-tentions, puis louent un car pour aller se rendre compte par eux-mêmes sur place de l’intérêt du concept. « Aujourd’hui, se réjouit Sorence Pierret, directrice depuis le début de la halte-garderie, on sert de ré-férence en Bretagne et ailleurs. Nous avons reçu des visiteurs de Cherbourg en avril der-nier. »Le principe est simple. Chaque commune accueillant la halte-garderie met à la dis-position de celle-ci un local. À chaque fois, le matériel est transporté dans un cam-ping-car spécialement aménagé (le bébé-bus), puis mis en place par le personnel
U tion avec des salariés, avoue Elisabeth Meil. Et, de part sa nature même, il faut régulière-ment trouver de nouveaux parents qui ac-ceptent de se réapproprier les dossiers, me-ner les réunions avec les partenaires ». Mais « l’association est riche en confrontations, en compétences, poursuit Sorence Pierret. Coup de chapeau à ces personnes qui, com-me Yvette, secrétaire comptable à la retraite, nous aide bien en droit et en gestion ».
Dynamique associativeC’est d’ailleurs cette dynamique associa-tive qui a permis cette autre innovation de Ti-Câlins qu’est le « café-parents ». Les parents se posent souvent les mêmes questions, il suffi t parfois de voir que les autres ont les mêmes problèmes pour dé-dramatiser. Le projet de café-parents s’est concrétisé l’année dernière, grâce à la PMI qui a accepté de mettre à disposition des personnels pour animer les discussions.Enfi n, l’association et la communauté de communes travaillent sur un gros dossier, en partenariat avec la CAF, la PMI et la municipalité de Beuzec-Cap-Sizun. Début 2009, la halte-garderie pourra accueillir les enfants 5 jours pleins par semaine (au lieu de 4 actuellement), grâce à un local mis à disposition par la mairie. « Ce qui permettrait en plus d’augmenter notre taux de remplissage », se félicite Elisabeth Meil. En eff et, la halte-garderie est agréée pour 12 enfants, mais il n’est possible n’en avoir que 6 au moment des repas (1 personne est occupée à ne faire que du service), donc 6 enfants maximum sur une journée entière. L’embauche d’une 4e personne, rendue nécessaire par l’ouverture de Beu-zec, permettrait aussi d’accueillir 2 ou 3 enfants de plus sur une journée.
Enfance jeunesseL
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Ti-Câlins :Ti-Câlins :
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ANIMATIONS & SERVICES
PAEJ : premier bilanLe point accueil écoute jeune du Cap-Sizun, lieu d’écoute anonyme, confi dentiel et gratuit à l’attention des 12-25 ans et de leur entourage,a été créé en septembre 2007.
« J’ai l’impression que les jeunes du Cap commencent à identifi er l’affi che, qu’on re-père mon visage, ce qui facilite peut-être les choses par la suite. » Et après des entretiens uniquement avec des parents en 2007, elle voit, depuis janvier, venir des jeunes : « Ça veut dire que la communication marche ! »
e PAEJ du Cap-Sizun est une antenne de proximité du PAEJ de Cornouaille.
Une écoutante, éducatrice spécialisée de formation, vient deux fois par mois, en début de soirée, pour recevoir jeunes ou pa-rents, qui peuvent ainsi livrer leurs diffi cultés et se voir proposer, éventuellement, une orientation vers un service approprié. Le lieu est aménagé de manière conviviale pour éviter toute connotation institutionnelle. En général, les jeunes viennent dans un PAEJ en raison de diffi cultés d’orientation scolaire ou professionnelle, diffi cultés relationnelles, alimentaires, inquiétudes pour un(e) ami(e), d’une usage de toxiques, d’un vécu familial diffi cile...Les familles viennent s’informer sur les dif-férents types d’aides ou confi er leur inquié-tude par rapport à l’avenir de leur enfant, à une consommation de toxiques, à des pro-blèmes de comportement, à des diffi cultés relationnelles...Le bon fonctionnement d’un PAEJ repose en grande partie sur un réseau d’acteurs locaux — éducateurs, responsables associatifs, res-ponsables d’établissements scolaires, pro-fessionnels de la santé et de l’action sociale, etc. — susceptibles de relayer l’information et d’orienter vers le point d’écoute.« Le comité de suivi du Cap-Sizun fonctionne, constate Cécilia, on a vu émerger des cho-ses, des propositions reprises. C’est un vérita-ble partenariat qui s’installe. » Connaître les partenaires permet de mieux expliquer au jeune « comment ça marche » : il prend alors contact avec une personne, et non avec une institution. « Je peux même accompagner la prise de rendez-vous. »Durant cette année 2007-2008, Cécilia a tenu des points d’information à Cap-Sizun Anima-tion, au Gapas, à l’Ulamir du Goyen, dans les collèges du Cap et au lycée Jean-Moulin. Elle a également participé à des événements comme celui organisé par l’association « Tas-latchatche » sur la prévention de l’alcoolisme, où l’animateur et Cécilia invitaient les jeunes à échanger sur l’alcool et leur consomma-tion. Cet échange direct était l’occasion d’in-former sur l’existence de la permanence à la communauté de communes.
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Cécilia, écoutante du PAEJ du Cap-Sizun.
Permanencesdu PAEJ> Durant les vacances d’été, le PAEJ du
Cap-Sizun fonctionne sur rendez-vous (tél. 02 98 52 16 01).
> À partir de septembre, les permanences reprennent deux fois par mois, avec de nouveaux horaires afi n de mieux répondre aux besoins des jeunes et de leurs familles.- Les 1ers et 3es mardis du mois. - Période scolaire : de 17 h 30 à 19 h.- Vacances : de 13 h à 14 h 30.
CONTACTS :> PAEJ de Cornouaille
mail : [email protected]él. : 02 98 52 16 01.
> Communauté de communesmail : [email protected]él. : 02 98 70 16 00.
Ti-CâlinspratiqueLa halte-garderie accueille les enfants de 3 mois à 6 ans pour une heure, pour la demi-journée ou la journée entière, de 9 h à 18 h :- le lundi à Goulien (salle polyvalente)- le mardi à Esquibien (salle
polyvalente)- le jeudi à Pont-Croix (espace
culturel)- le vendredi à Confort-Meilars (salle
polyvalente)
CONTACT :Ti-Câlins, tél. 06 81 57 01 43,ou à la communauté de communes,au 02 98 70 16 00.
ap-Sizun Animation est en ordre de bataille pour l’été et accueille
les 3-12 ans dans ses centres de Pont-Croix (jusqu’au 29 août), Confort-Meilars (jusqu’au 1er août et du 18 au 29), Plouhi-nec et Plogoff (jusqu’au 14 août). « Pour tenir compte des demandes des familles et du fait qu’il y a maintenant 8 semaines de vacances scolaires d’été au lieu de 7, les du-rées d’ouverture ont été prolongées » précise Henri Camus, le directeur.Outre les sorties quotidiennes à la plage, en VTT, à la piscine (cette année, c’est celle du Cap-Sizun !), à la pêche à pied, etc., des stages de quelques jours sont proposés aux 10-14 ans : équitation, surf, escalade, plongée (randonnée et bouteille) et kayak (à partir de 8 ans).
Pour les adosLe Club ados de Cap-Sizun Animation or-ganise des activités sportives et culturel-les. Sonia, l’animatrice, projette également des soirées à thème, à défi nir avec les par-ticipants. De son côté, le Gapas (Groupe associa-tif de pédagogie et d’animation sociale), après avoir emmené les jeunes pendant trois jours dans son gîte de Guissény, dans le nord du Finistère, où ils se sont initiés au développement durable, s’intéresse plus particulièrement cet été aux arbres du Cap-Sizun : inventaire des essences, préparation d’une exposition et parcours aérien en « grimpe encadrée », « histoire d’avoir un autre point de vue sur les arbres » explique malicieusement la responsa-ble, Hélène Le Juge. Une virée au festival Quartiers d’été, à Rennes, est aussi pro-grammée, de même qu’un tour au Festival interceltique de Lorient. Et, avec ou sans inscription, le Gapas propose toutes sor-
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Les centres de loisirsdu Cap-Sizun dévoilentleurs programmes d’activités.
Les services enfance-jeunesse du Cap-SizunCAP-SIZUN ANIMATION > Centres de loisirs (CLSH) de Pont-Croix,
Confort-Meilars, Plouhinec, Plogoff :tél. 02 98 70 41 10.
> Club ados de Pont-Croix : tél. 06 81 04 67 72
LE GAPASCentre de Ménez-Veil, à Plouhinec.> Tél. 02 98 70 75 00 - Mail : [email protected]
HALTE-GARDERIE ITINÉRANTE (« BÉBÉ-BUS »)Lundi à Goulien, mardi à Esquibien, jeudi à Pont-Croix, vendredi à Confort.> Contact : Ti-Câlins, tél. 06 81 57 01 43
CRÈCHE MULTI-ACCUEILDu lundi au vendredi, de 7 h à 19 h 30, à Plouhinec.> Contact : Les Petits Korrigans, tél. 02 98 70 89 93
RELAIS ASSISTANTES MATERNELLES (RAM)Permanence d’information à la communautéde communes le mardi de 14 h à 17 h 30.> Contacts : - Communauté de communes, tél. 02 98 70 16 00- ULAMIR du Goyen, Poullan-sur-Mer,
tél. 02 98 74 27 71
TOTEMUn vendredi sur deux, de 10 h à 11 h 30, salle multi-activité de Mahalon. Un espace de jeux ouvert aux enfants jusqu’à 3 ans accompagnés de leurs parents.> Contact : ULAMIR du Goyen, tél. 02 98 74 27 71
FICHIER BABY-SITTING > Contact : communauté de communes,
tél. 02 98 70 16 00
tes d’activités, « en fonction de la demande, du temps et des disponibilités de chacun » : sortie ornithologique, jonglage, piscine, atelier slam, sortie en mer, tennis-foot, ul-timate (matchs avec frisbees), etc. Hélène Le Juge prévoit aussi d’aller à la rencontre des adolescents en organisant des « hap-penings conviviaux » : « par exemple, on arrive quelque part avec notre minibus et on improvise un barbecue ».
Une brochureBref, passez un bon été dans le Cap-Sizun, et n’oubliez pas que la brochure « Anima-tion enfance-jeunesse Été 2008 » est dis-ponible à la communauté de communes, dans les mairies et les offi ces de tourisme. Elle détaille les informations données ci-dessus et en fournit bien d’autres ! Ce do-cument est également téléchargeable sur
Grandesvacances
ANIMATION D’ÉTÉ
Aujourd’hui au centre de loisirs, c’est kouign au chocolat.
Jonglage et monocycle avec le Gapas.
Enfance jeunesse
Jonglage et monocycle avec le Gapas.