les déloires d'ene eleetion pimieipale gomplémentaire d o...

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de M' MÉZIËRE, notais à Bel2 mication volontaire, en i ■ La Villeneuvtî-soas-ThiiJf. Icbe 22 Octobre i 9u i 3 hectares 48 lares de Tejre, lté et Pré. en 7 pa-oelS" •ro rs de La Viliene^ luiaeuil et itaieuil. — pZ?» ■ments, s'adresser à M*)^ iDES_ET OFFRES If'Il demande desoavHee» ^ e r s et nkiQears ■RI, à Maïeina-Montataiün *h j J f'ndernatir- ne appreM i 1 ■bonnes référeiieus, préSnS I ^ l ents. I pu Bureau du Journal. | 0 n dema.ide pour travailla, fcbricatioii (l-'s bois d’aép^ bon ouvrier menoj, Is e r à M. BARBIER, carrog. I y ' PETIT, notaire à Senlis i pn, demande de suite im "rc ayant bonne écriture, [ 7S7 I 0 _n._ dfmmde des an. 1pàtissiers-cuisinlSr ^ par leurs parents, à I. PESCOllBLNS, place de 5 On demande une boniia I faisant bien cuisine et mé. Service avec femme de tu Bureau du Journal, lOn demande, pourlacat*. pn homme h tonte» Jsachant conduire cheval» ■e entreienii- auto. II. Bureau du JouraaL 843 I On demande un conuah chez M, BO.^-îiAIRî. p£, à Senlis. J Ouvrier charron m Ichez M. GR'JTÜS, à Lé«. 873 IM . CHÉDHOMME, boulan. |bs, deinande un porteur marié. 8K On demande, pour ttoa environs, un ménage, ur arranger les chevan! Iharnais et appartements, li lu r l’intérieur, lu Bureau du Journal, rfi'n demande femme de Ice pour aider à la direc- Ihétel— Référence de pre- le exigées. fu Bureau du Journal. 9ff 7 J f'n tleman.le. pour mai.mo |e, une bonne sachant '.ne et le ménage. — Ré, bx'gées. |u Bureau du Journal. 908 , L'Usine du Tremblay, à bande des employés de l et spécialement des sténo- ppbes. 918 |M , gauthier , pâtissier i ■lemande un apprenti par s ;s parents. 9S [Bon chef jardinier bit demandé au Château de b ès Senlis (Oise). — Sé- iférences exigées, jser sur place. 937 Di demande, po,ir Mézièree |). une bonne à tout une bonne d’enfants.' les références exigées. ^ Bureau du Journal. 940 ‘■.t r >IWIRntüEIS sÉaiiirli;! tes '/eppéa* v A tiO ii t..-lit;.;:. Paraissant le Jeudi et le Dimanche. 'Rédàcteiir en It^ef : t!: I;. ■<{ f? J '.,. M *rîW Paraissant ie Jeudi et le Dimanchèi y ,. . lO -îi »ioet od i « On lis !loif...». 0« s’ABoam anx Bnreaax du Jownal et dans ton*- IM bureaux de çoste. - L’aiwnMeat ert d’itxa&oe e t ewitinue de plein droit jneçtn à reeept-on d’avis contraire. dn 1 » oa da IC <iè-e®* 9 as asou* BlIREAUX, RÉPACinOr^ &ADljByiSTRATION S E N IiîS - 11, Pbioa die: l’SlAt^Me-TUle, 11 - manusiriUi 6àéria tW;tien, '^:èont-pu* rendu*. x«:'8'.ai-ï»x>xoiiFS.'i- i»i ■ „.jI'..;'î.'.i"Oit*^«.liBgaa t> HiaUeM4,t;jj.Jil:i..U.^l..'. e M s .le ll| ahM ......... V>*!* ' I diwri........ ....... m .. Ifcii .1 «,■*..010 ^ rASs’iMiMiaBSiNSSiMM'mdisaaiM-.-'■ 1 k iirri 111iiru~‘"tiili' il 1lÉ'jrBjiin esieii'iiitl itjiM djiiliSieil * n bmmudiHPàBiau L-»,-b;ted ; V ille dLe Senlis Eleetion Pimieipale Gomplémentaire D U 15 O C T O B R E 1911 Docteiii* ©IJM BAIJ, Médecin en Ql\èf de V d(ôpiial. Candidat Indépendant. Electeurs ! Aux Urnes ! C i . > ' Pas d’Abstention ! Votez ! Votez ! C l * k - f ■ pour le P p ^ ttH r P ü R E aO , O a r i d i c i a t ! |! i i d é p e n d a i s , t.. Les Déloires d'ene Senlis, le 14 Octobre 1911. L’action dite f ' -ic , f b f X républicaine Le congrès radical et le gouverne- nieiit radical rivalisent d’entrain pour persuader au pays que, décidément, ils renoncent à la sale cuisine tp.iîls lui fonfavaler depuis dix ans. Et ces di.sc ours captieux,-écrits à l’encre rose remplaçant enfin l’encre rouge, ne vont pas sans produire quelque im pression auprès des naïfs clients du « Petit-Café ». Cependant il convient de confronter les paroles avec les actes, et cette comparaison nous apprènd que dans la pratique il n’y a rien de changé. VoUà par exemple la question des apaches dans l’armée : On se souviént que l’immonde André, pour complaire à ses amis les unifiés déjà, férus de Habouvisme, avait décidé que les apaches étant dés dévoyés' mtéres- sants mais non pas des coupables, il fallait leur refaire une virginité moràle en les versant dans nos régiments'au même titre que les consclits sans casier judiciaire. Il est arrivé ce qui devait arriver, à savoir que les apacneS militarisés sont demeurés des apaches et que, par surcroît, leur contact ïut contagieux pour leurs camaradès. Puis survint l’horriblé meurtfe ;de Mme Gouin, commis par des escarpes professionnels en pantalon rouge. C’est alors que l’indignaiàôn publique exigea et obtint, après de vifs débats parlementaires, qu’il' n’y aurait plus d’apâches-dansl armée,;,: . 1 Or,'il y a trois jours, l’assassinat’de la fermièrenitf Mans-vient d’être per pétré par de pareils bandits en uni forme, Nolot est un mauvais soldat qui, en d’autres temps, eut été déporté . aux compagnies de disciifiine. Quanta Tisseau, e’estunrepriade justice ayknt subi deux condamnations pour teiitav tivé de m'èürtre avant son entrée! au régiment. Comment sé fait-il qu’il y ‘ ’ HO. ^xsnsxtmwsCQÙlMÉRdeüOiSE fût encore ? Ce sont donc des promes ses qu’on ne tient pas qu’on apporta aux Chambres pour rassurer les pères de famille contre la promiscuité infli gée à leur enfants, casernés en com pagnie des protégés de M. André ? Les faits sont là qui, malheureusemeînt, parlent trop haut. Les « Humani taires » imposent encore leur volonté sous le cabinet Caillau.x. Il en va de même quant aü.x abus de pouvoir et aux injustices abominables des comités et préfets du bloc. L’àu- tre jour, à Nîmes,- M. Gazelles procla mait que la « probité et l’équité » doi vent être désormais la régie de l’ad ministration. Voyons un peu. Les journaux de l’Est nous apportent ce matin le fait suivant : Mme Ballancl tient une bibliothèque de petite gare à Yarangeville-Saint-^.Nicolas ; eUe est veuve, elle a deux enfants à élever et la vie lui est rude. Son aîné à quatorze ans : inteUigent, travailleur, le premier à l’école communale, il a concouru pour une bourse à l’école primaire su périeure de Nancy et le concours lui a été favorable. Quelle joie pour la brave maman ! Mais M. le préfet de Meurthe- et-Moselle veillait. Cet homme, d’ail leurs illustre en ce genre d’exercices, a refusé la bourse à l’enfant, parce que celui-ci fait de la gymnastique au patronage catholique ! Peut-on être mufle plus ignoininieusement ? Et ainsi, par ce double exemple, se trouvent mises en belle lumière les pratiques de la caricature de Républi que que nos parlementeurs persistent à nous infîigér :1a'protection des fri- pdidlles jusques et y compris les apa- cbes assassins, et les brimades pour les honnêtes gens.i Ün tel tableau- de notre politique intérieure^fait un job pendant aux agréments de l’exté rienre. G eorges BERTHOULA'T. V oip en deuxièm e C iiponique ètèètop^e.' La dernière séance du conseil munici pal d’Elbeuf a été marquée par un incident l’une.gravité exoBptiounelle.M. Mouçhel, maire d’Elbeuf,ancienprofessetir.au lycée de la ville, avait été élu député aux der nières éleclions législatives sur un pro gramme radical-socialiste. Il préconisait notamment les régies mu nicipales et donnait en exemple la ville d'Elbeuf, où son administration avait sup primé les octrois et exploitait directement l’usine à gaz. Or, au début de la séance d’hier soir, M. Mouchel, en proie à une vi,ve émotion, a fait les déclarations suivantes : . ' ; « La ville d'Elbeuf est menacée d’une catastrophe financière, l’usine à gaz est en déficit. Il faut immédiàtemenf ypler un crédit de 65,t)0b'fl'anôs sî nous'vdiilons as surer l’éclairageipublio. Le déficit total est d'environ 2aü,00Û francs, ,, ... ■ « Je dois me blâmer de cè qui aiiîvel Je n’ai pas la conscièncé tranquille- « J’ai commis une maladresse, je me suis livré à une série d’expériences mal heureuses qui me retirentla-coMance que j’avais en moi-mème. Je oonsidère-mà car rière de maire et de député comme ter minée, a Je n’ai plus confiance en moi-mème : je' prévois des déficits nouveaux ; j ’en assurne la responsabilité et je ne cônsdrve mes fonctions dé màire et de' député ijue pour-'essayer de réparer un peu le tnal que j’ai fait à ta ville d'Elbeuf. » : Puis M. Mouohelsa 'mit à pleurer abon damment sous les yeux de. son conseil at- ti,'i-ré. Le maire d'-fiillant quitta ensuite la salie, étant da. = ■ ':Ui‘e-siudité physique de conlinuer à pré.s;-ae,i-. M. JiODchfl est i.é k Elè'uf en 1833, d une famille tiés moiiestc. llfuttout d’a bord employé d’industrie ; ses goûts le por- lér-int vers l'euseignemeul. En I89“2, il fut nommé professeurauly- cée (luf venait d'étre ..;réè à Elbeuf. Dès cette époque, M. Mouchil se plaça à la tète du parti radical-socialiste. Le. pre mier, il entra au conseil munidpal, alors progressiste. Enfin, en 1894, M. Mouchel était nommé maire et il commença immédiatement l’ap plication des théories qu'il avait défendues toute sa vie ; il la'icisa'les service^ d’assis tance, supprima les octrois, raoBéta^ la compagnie des eaux, construisil'tinéùane d'incinération d’ordures ménagères, amé nagea les jardins publics au centre dè la ville, doubla le budget de l’Assistance pu blique et, enfin, ces temps demiers, édifia à grands frais.une usine.à gaz. j Le parti radical-socialisle donnait cons tamment M, Mpiobel comme, jnodè.le des maires socialisées réformistes, . , Il fut élu député d’Elbeiuf . contre M. Delpèoh, progréssislé. M. Mouchel avaîtpil, jusqu’alOfS dlsSi- muler'la vêritàblé'situation financière de la ville, mais depuis son élection l’opposi tion libérale dénonçait celte situation.l Qu,’,en pensent les radicaux-sociallstès. Uots de la. tSa.. — Sait-on cjB que,cooiepgil la speudo- bombe déposée au Grand-Orient ! — Des fiches. ' - ‘ i ♦** . — Ab ! ces réformateurs socialistes ! Leurs expériences coûtent cher aux contri buables! -.. ■' —t Eux seuls'pouvaient mettre Eltieuf dans d’aussi vilains draps. Echos et Nouvelles. La médaille de — En créant la médaillé dé 1870, la Républiqae s’est montrée moins généreuse que l’Empire, lorsqu’il insti tua celm de Saint-Hélèna. En efifet,-: notre gouvernement la fait payer aux ayants-droit, tandis que Sapoléon III la leur délivraitgraïuitement-. . De ..plus, on exige des bénéficiaires, dont beauc'ôûp sont loin d’étre riches, la production de leur casier judiciaire, soit une nouvelle dépense de t fr,i 50 avec le port. Ne pourrait-on pas, dans-ce cas spécial le leur octroyer gratuitement,, ou à tout le moins au prix de Ofi’. .10, la somme demandée aux munieipaKlés.-'lorsqü’elIes féclament tin extrait de ce même'casier.- en vue 'de>rinscription sur les listeséleCiOrales de nouveaux électeurs. L’Europe posatède 7.008 centenai r e s . - r L'office’ impérial’d’hygiène ^vient de publier une-statistique, des centenaires que possède l’Europe. . . •.». D’après ce document, c’est en Bulgarie qu on en rénconfre te plus, soit 3.883, c’est-à-dire un p.ir cent liabitants. .- - Viennent ensuite : la Roumanie, avecl.074 ; là Serbie. ayee.5T3 ; l’Espagne, avec 410 la France-, aveci2.l3--; rita!ie,iavrc.-I9,7 ;.-,IAuirir -rs«o-H6ngrié, avec 113 ; l’Angleterre, aveefï-; fi Russie, avec 99 ? l’Allemagne, avec 77 ;■ la Norvège, avec 23- ; la Suède, avec-10. ; la Bel-, gique, avec 5.; et le Danemacck. avec 2, i Condamnation d’un professeur. — H. Th. Renaud, professeur au lycée. Chapzy, à Charleviltè, inembre de la Ligue dés Droits de l’homme, qui part.icipa aux maniffistalipns contre ta vie chère et insuha l’adjoint au maire de Charteville dans Hexerciee de ces fonctions, a été condamné par le tribunal eorrectionnel à quinze j’oufs de'prison, sans.sursis. t . La Gralnité des Fanérailles et les Services Religieux. — UOfji- ciel coiitleiitmié'répônsefûrt intéréssante du président du Conseil, M-. Caillaux, à uvR question écrite à lui posée par iM. Grousseau, député du Nord. ' M. Groussi-au avait demandé « ,â M. le .\Iimstré-de I luléi-'hiur et 'tieis -CuTi --' s’il^ estime qu'une, muii-iuipalité pcu-t pi-e:-.;rirt- * què tôute'ponipe religieuse, que tout pas- .sage'â Eèglise du betivei fuaèbre d’un in dividu fera perdre à sa famille le bénéfice de lagratulté'».- | V ’olella féiionse du ministre : .. Le service dos pompes l'unèbre.s ipie les communes sont dans robb.galion d’assurer nrelnitement aux ind:ge'Us est celuf ■pii.èsi uelfei par l’article 2 de la loi du 28 déoerabre 'îû'pi. Les communes ne sauraient, « pour quelque motif , que ce soit », s’aflrauchiri de cette obligation, qui est limitée au seul service e.viérieur des pompes funèbres. Là municipa lité qui priverait, la famille d’un Indigent du bénéfice de la gratuité, « sous prélextei de pa.-''sâge à l’église du convoi furièbre », mécon naîtrait cet article 2, « qui laisse aux individu'S et- aux familles la plus grande liberté en ceiqUi concerne, les obsèques religieuses., et iqui oblige même les communes à posséder le ma tériel convenant à de telles obsèques. » Cette méconnaissance constituerait en oiiire une violation de la loi ou 13 nom-mbre 1887 sur la lihertédes fuoéraillesreorapiéiant l’arti cle 93 de la loi du 5 a-vril 1884 et de t’article 1-' ,'te fa loi du 9 déec-n.bre 1903 qui garàutil le libre exercice des cultes et consacre le prin cipe de la liberté de consciences i Une bombe au IGrhhd-Orient. Le Grand-Orient .de France vient de l’échapptr bellé. Il à failli être victime, comme un.simple monarque, d’un attentat anarchiste. j Jeudi, vers 6 heures, le concieige du lempli- maçonniquelde laraeiCadet, a trouvé une bbl,.- muuie,d’une mèche. et ayant tous les aspl-ei» d’iine.bbmbe dangereuse. , -Après avoir invoqué Hiram et le Grand Ar chitecte, il-appelaun agent et fit préveuir II F.’. Borde, commissaire de police Sans j toucher, deqieur de faire sauli-r, à la fois liim ineublmetie'Ev’-i-Vaflécàrd.Jquia ti'en qu’ayani vu là lumière du 33' Apparti-ment, lug simjile - ment au-2' .étage. .■i ■■ . i Après avoir fait ces importante.-, (.-onstata tioos, ringéuieux magisirat envoya le terrible engin-an Laboratoire municipal. Et maintenant attendons-!...-. - .C ''L’Aniifysc. — L’anâiysê de l’engin esttii- minée. 11 ne contenait :q ic... du sable. . H eureux g en d re! Jf, Jean Lanes, gendre de M.EeÛières, désire troquer sa trésorerie générale de Ver sailles contre celle de Bcrrdeauxir Quelques chiffres vous 'permettront de goûter toute la faveur de la prochaine opé ration : Moyenne, pour les cinq an nées antérieures, du produit net de la Trésorerie de Ver^ sailles ............................. i6.9d7fr. Même moyenne pour la Tré sorerie de Bordeaux l02,S65fr. Augmentation allouée à Jean i.’ .... 55.3e&fr. 'îŸôtâ behe i / . Lànes n'est irésorier-payhur général que depuis le janvier soit depuis moins de, trois ans, Grévy disait, en parlant de Wilson : Ah I quel malheur, .d'avoir un: gendre:! AujoîUT- d'hui M. Jean Lanes ' s’écrie : 'Ah ! (^el bonheur d’avoir un beau père^l - ■ L qgic|ue d'enfant. l.-n.-i ~ ~ -.r- .-V .1: ;. Un journal humoristique publie ce aialdgue fçmîdisiste, d’une ironie sin gulièrement âpré ; Toto. — Papa, on s'est donc battu avec lès Allemands ? Pajia. — Qui, mon enfant, en 1S70. Mais il y a bien longtemps de cela..- Toto. — Ils nous ont pris l’Alsace et la Lorraine, n’est-ce pas, en 7,0 "! Bepi.-r-Hélas, oui... Toto. — Est-ce que c’est vrai que, dernièrement, ils nous ont etiçpre bgi- tus? ; Papa. — Tu dis des bêtises ; tu sais bien que non / ; Toto (qui suit son idée). — Cependant, üs-nous prennent le Congo, à ce que ai- sent les journaux. , Papa. — Ce n’est pas la même chose. Tu es trop petit : tu ne peux pas encore comprendre. ; . 'foto. —I Alors, quand je serai grand, je comprendrai, dis! ; PiLf a..— Je l'espère, mon enfant. Tu comprendras,alors'que c'est une. affaire., de compensation. Les Allemands nous prennent Le Congo, c’est vrai... Mais ils notes donnent te Maroc, qui est plus, près... et beaucoup mieux. Toto. — Alors, si .c’est mieux, des', bien étonnant qu'ils ie lâchent pour nous le donner. j Papa. — Petit bêta ! Les Allemands n’ônt pas le Maroc... Toto.— Alors, comment qu’ils font pour nous le donner! Papa. Ahl .tut!... Tu m’embêtes enfin, laisse-moi travailler !... L ’E ^ m ig p a tio n C àttàd la. (finy: " 3“ Les cultivateurs. — Le gouverne- meiit canadien concède aux émigrants une terri de-64 hoelares.Mais i. faut être muni d'une sotnme de lO-üOO francs environ pouLinet'Ireëétfé'tehÎB^ vâlèur. Très (le.n de nos compatn’btés arrivaut au Canpdà possèdent cette- somme ; Jl leur faut soit reiionbe'r’à ei^loitêr leur terre, et devenir ouvrier de fêrine, soit contracter dVs dettes qui grèvent leur b'-id.qel pendant des -an nées et rendent le succès final plus que dôùteùx. Pour ceux qui ont le capital nécessaire, ceflaines difficultés se présenteut ;-ia plu part des terres concédées gràluil,emeLt se trouvent dans des régions éloignées : de tout centre important; les routes man queut, les communications sonl-donc plus LE * 'i > .f y 'X ‘V- i (• PA^ ■ - Joies GHANCEL 'lî'-- --,c;n-: -fi - -, : J ' - - 2- l . , .GH^ITB:p;XXXilI(Sîi»Vé)‘ Après avoir causé. un instant, il fit - 1 TMère deia route comme on >ppur vaii’TOir, le besoin &nù' fort 'coup’ , de bfôsée.et deiqnelijués àblufions.’avant Ife âéîéinlef sé faisait'vivement sentir- On le conduisit i ,uné.:cbamb« idù prèmi«a: étage, et pendant qu,’i| .se ’dé- barbcmÙlait é gtMtdei'ean, un garçoéi battit et-brossa see.vêtenénts sur, le - palier. 'v ’-r »= '. -."tî*' ’- ® a Ün quart d’heure après, il Mitait de la ohamtee, nettoyé, rafraichL . r. Maisau'lieade aie rendre immédia tement it fà saPe' »'in«Dg?er, située ^au rez-de^chaosséev if jetn%B-coup-d'œtl à droiter«t'i«*tiChe'-dâi»9'le i6nioîf,!sé ffim i’üriiiit r- frappant du pied aubsi et reproduetioB latarditei. bruyamment que possible,'pciussa un cri qui retentit dans toute la maison et, s’aflFaissaBt''‘'Snr liii-même, il resta apéâtfjnnmobilej én travers des der nières marches. ‘f '“ ' -Au vaearme occasionné par cette étrange chute, le patron et les marmi tons sortirent de la èuisine. r “';Les garçons et les voyageurs qui dé jeunaient à table d hôte secoururent de la-saUeià'manger.-' lf.>l,e'dbsteUr de Rivemont est au petit salon l dit le patron. AppelezJn toutdesuite! -L - : Pendant qu’un garçon s’empressait d’efcécuter cet. ordre,on relevait .31. Sol- liès.avec -une promptitude e t. une faci- litié d’autant plus - grandes -qu'il s'aida beaucoup lui-même, Ge n’est rien iréponditril anx nom breuses quéstir-hs dont on fiaccablait. Le pied m’a manqué.! J ’ai glissé'--:, dê grmgôléi Voilà-'toute l’affaire 1 - t.,_ Pas.de mauvais coup ? demanda anxieusement le patron. Rien de cassé i — De cassé ? Non ! Je ■ne crois pas, répbndit-JVi. SoUiès en faisant jouer les bras et les jambes. Cependant... là... dan» ledosl.-,..Une douleur L. Oh ! sa- perlipêpette ! Ça me conpe- la respira- tionlzzlt-faut que je œ*ttpose uhimo» anent 1 s..fça passera L. Ça ' -commence déjâApasserl - >■ ■■ .'’■ - - ' '-A Il .ré cemment, diable! avez-vous fait votcé compte f demanda le patron sUr uB-tbn de reproscbe afEsctueUx.' -Vous •Prienin><qr«as csaserlecoitoli " — Qu’est-ce que vous voulez î On n’est pas adroit tous les jours ! Enfin, j’en aurai été quitte pour la peur, et çà ITe^m’émpêcTièrâ pas ae dejeuner tout de même dans un qaqmeat% MihVWtipriâi le bfâs de iW te, èt allait entrer dans la cuisinei lorsque le doc teur de Rivemont arriva. I Mlle Pibarol le suivait, très émue) et trèdenluminée. ’’ . i; ,. Le -doctéur se fit expiiqiler là’ cause de l’accident, s assura rapidement quÿl n’aètût pésieu dè shîfés fateheusesj êt comme M. Solliès exprimait sa àur- l il déjcuuaib^eivcL. — Mademoiselle, -dit'- M. Sblliès, je suis désolé qu’on vous ait ainsi alarnié pour rien f Docteur, ie vous è’usupplie ! Jfous constatez que je Baient tire .avec d insignifiantes contusions . Eaites- moj Tamitié d’aüepçonting^ votre dé-i jeûner pendant que ie vais, coipmençèr lèmrén. " ü .- h ; ' . ’.luu _ • ; — Un conseil, monsieur Solliès, ré pondit ie docteur. Restez lietiCôre un instant sur votre appétit, qui ne doit pas être très« grand, d ailleurs. Votre , état ne m’inspire aucune préoccupation, j 'Mais «eus ivenez 4 ’éprbu,vté utîe viflh^ ■ ^ t e sècoü'àse.'Pâr exhgérrtion de pru- [ deqce, laissçz le çalm.e. se r é ^ b r ,R e ta - l pla«rfe déjîèùoeir pSr.ua O'btiiàL ' . | Ætcom-meM, Solliès faisait, la gri- màcé-'i'Vi'.V'- .41. l , '. 5T'• Oh! rien de pharmaceutique, .\A_4i il am ..Ito.-irM»aim» *-11 bta fmj (incffe^, je Croft eù‘ effet,, que pour le mOment je ne ferms pas grand honneur au repas'. Je vais donc r { A *^..aw .n.n-nr...,..-rvA I stiiVte^vOtt'ê' ofdo'nnaû'éèéî jé -Vous ten drai compte de l’effet-qu’elle aura pro duit, quand vous sortirez-dèta’b'leJ ' : — Nous eu somiues au-café, monsieur Solliès, dit la bonne Pélagie Pibarol, q qui;ipour'vicier ■ assidûment lé secrét ' aeà» correspondènèes,' rféif avait pas ; moins un cœur d’or. - ty;«ie**prendréi-votre ohaiftreuse avec nous. De cette façon, le docteur se req- draiittétiédiateineut côojpite du résul tat de son ordonn-mce. -- Madempisel e Pibarol a raison, apbrOuV-i le' docteur. - v enez, cher mou-- sieur, je VO.US tiendrai en observation.. .-^.;SiJilièé -.ré'm.è-icia, .-.tout .'enlise de- fendant d’accepter 1offre dans la cramte d’êtreindiscret.' „ , . Mais le do.cteur et .Mlle Pibarol y mirent tànttd,’insistancei5Cordiale qu il aurait eu vraiment mauvai.,-r grâce .a persister dans scHâ-refus. ^- -r ; - ,11 les suivît-donc-dans. le petit salon où ils venaient ,dé. d^euner ..et prn chlrtréüsé 'pirésàrîte,' tah.dis qu tU dé gustaient leur café. ‘ !.. , f •’'Ijâ'coùservation fut cordiale et ani m'fe- '-' - ’ ; • M Solliès -né chercha nultement â la diriirêr I' ne fit s*as la moindre >qiies- tiom-et quand- Mile Pibaroè-iespliquà que.d«ms plusieurs, unsmod^dtj^or à THotM deErance.étttU proiçt^VWf tlle et le 'docteur, qn’il.-.iè-nr.. èyèit .^ lu at- tèfldrè',-uh,^hi;pài.nfinla’vant4M l9VTer Üh'-ftimàhèhé où fis fussent Horœ ’toiœ qu én ce monde on ne taisait pas tou- jourscequ’on voulait à son heure. difficiles ; vendré le prédait, des récoltes devient un problème, qn’il n’est pas facile de résoudre. Parfois on est réduit à échanger certains produits de la ferme contre' des objets d’usî^e courant, et à sadrifier les iéooltes à bas prix pour s’en débarrasser, Dè plus la main-d’œuvre est d'iin prix très élevé et absorbe uue bohnepartie dès bénéfices. Pour un colon qui obtieutiine terre bonne et située avantageusenient, il en est bèau- ooup qui, moins favorisés, se débattent jusqu’à ce qu’un accident- heureux, l’ex tension d’une ligue de chemins de fer ou la création d’une minotéiié'viènnent amé liorer leur situation-. Certains se'décou ragent et cèdent leur terrfep d’aufrës y languisseit dans la misère, parce que, ayant dépensé, leur pptit pécule, ' ils ne savent .pljis oii aller, ils iüppôrtent la pauvreté dans iiil cjiifi'af extfément rigou reux et sur une terre étrangéie. . R’ùne: mamère générale, : Ce sont les cjiltivateurs qui ont iè pins de chance s de réussir au Canada, mais encore fàut-il qu’ils aillent dans Ip Nord-Ônést,canadien, qu'ils . soient vigourenx, expérimentés, possédant un capital d’une dizam» de mille- francs, au moins, et, autant que possible, uue famille qui les dispénsb" dè faire usage de main-d’œuvre 'salariée;' ils doivent avoir de l’initiativeÿ ne pas craindre le cliniat rigoureux et travailler aVec per sévérance et sans sè iaissér -décourager pendant dix ou quinze ans; A ce. prix, ils auraient réussi en France èt' ils auraient beaucoup moins souffert. il serait donc désastreux pour les émi grants et mauvais même pour le Canada de laisser partir pour ce pays des person nes qui' y seraient' attirées, Sans y avoir d’emploi assuré, de ressources, du. dè com pétences particulières. ' ' ' - '■ ' Nous.' empruntons poùr terminer au Bulletin de la Chgm!"" (srce française, de Montréat . .i-.-i.. . 0 . 0 , .,uel- .jues ré'llexioud fo.i 'justes sur'ün point très impurtd,4 celui de Idlaugue anglaise.. Eu dehors des cuitivjitaurs qui s’iusiallent lè.i fi'iir a:.rivéc sur uue fei me, où il... sont hoirs lusilrès et où if- e u t, eu lie ■■ontact iivfec le public, il est ..bsoluuieuliudispen- -abiu puifr lüiii ’t'-iiiigrai'l entrant au Ca nada de parle» .nglais. « La l„'i)gue Iraiicaise r-at beaucoup em ployée dans la province de. Québec, cela est exact ; die est olfioielle'.et placée sur le, même pied que l’anglai.f dans lèsadminis- tratiuiis, les tribunaux, les maîri»-'-. etc., cela est-em-ore vraft'Néa-nr..t; .q :-,s le ■;omm"i-cs de gros, les banques, les com pagnies du ulitmiii de fer et de navigation, b.s gi . 11.ds établissements indusli ieis, etc., ■ c’est i'ai.giais oui domine et qui est le plus souveiii, exclusivement adopté. Dans le comait-rce de détail même, les magasins sout fi équenii'-s autaul par les clieuts de langue aiiiilaise que par ceux de langue frauçais.,' ; d’où la néeessilé pour les com mis de.parler les deux la-ngues; i! en est de même! pour les employés de bureau, les garçons livreurs, les solliciteur; .3 domi- ,',-ife, etc... « Dans les ateliers, les coutremaitres sout piutèi anglais et n’aimeut guère à .ivüir sous leurs ordres'un ouvrier ■ jui ne le comprend pas.et aVec lequel ils ne peuvent parler que par rinterrriédiairè'd’un inter prète. ' ' . . Ru iléliiiilive, poür avoir quelques chances de siiceès, l’éraigrant doit parler anglais; çi-sf'ià une.'condiJiOn sme qua non ,’ auii-euiant, il né pourra que végé ter d ,ns d,:s besogne.s niereenaires et peu rénumèrées. » La meilleures émigration française au Can'itda st rait eni ore celle de nos 'direc teurs d’èiifréjjrise, ingénieurs, etçi, et nos capitaux Bleu employés et contrôlés par une banque de fondation française. Il va dè’S6V’ tîù'’h(i éharâ'cfe’î'Hilürelièh il raconta qu’il était allé porter une dé pêche au bu-etu de Saint-Hugon, *n Chargeant Joséphine de prier Mlle Pi feriàl de la faire partir le lendemain, let qu'ensuite,-Tayunt.'réfléchi qu’il <fe' v.ajt. aller à Mo.ntverdier, il était, ,ven'u là rêpreHdre. ,'. ' Mais • ii se garda bien dè faire' la mohfdre'allusion aux .détails que lui avait donnés la vieille bonne; pàrfai- tètnènt conva ricu que ce-f è ’ci rie man queraif pas Re d-re lé Soir à sa nisîtresse qU’ilétait.venudans-la [Matinée, 'mafe moin'moinsuertaia-qu’elle s’abst eridi ait d’aller au devant . de reproches proba bles, en.confessant [spontanément' des bavardages dont Mlle PVbaired-t ne lui saurait év.d«œwent pa^ gré. Sur ce point, e iesetairaii. M So iiès n’én'doùta'i't'pàs. . , Le docteur, qui avait à 'voir un ma- lade.3. S’a'ùt'Hügocr'dan.s ragrèsmidi, fit'atteler,'y.'érs,deux bonres, et partit avec Pèlàgiè. 'i:''-' î Mv’SofièS-S’accouda sur lè iebord de la fenêtre-ah petit salon, et quand*ie tiibury passai dàus la» ^ e , 11 ''salUé de son pins aimable soiiriré* le' dcldtéfir et la receve'Jsëî'- ; ■ i'"-'v .Mais quand ils eurent disparu; der ri^ e la mairie, gui s’éleivait.en face ;de .Thritèt, t'expréssîori derusa .physioaomije cfiâr'gea soudain. - r’iüd'dè’ùJonfê ! murmura-t-il. Il s'èst'ii'ahi !-G^est bien lüiî .,»-.-' - iGothment-le docfeiir àvaiféil pu se tr^ili^ àlors-qtt'iM4ët4«tàit'pèà*ùnA éul instant départi de l’attitude "Ja plus simple et la plus naturelle, àldrit q u ’il ri’avôit-pas eu la môiùdre ^ parole im prudente. alors qu'il -n’avait- pas tenu le moindre'propos. qtiL^t-prêier à l’in- terprÀato.fi? ' i .■■■» ■-■-» ' »■Q’ësf éequeronhé te'rdera pas A sa- CHAPITRE XXXIV A Paris, l > malad e du comte Miquet suivait.son cours avec une vjoieuce qui confirmait !è docieuc dans séf pronos tics pessimistes. ' - R ‘s’êtorih .it 'cependant dé trouver chez sbn irii'f laiié une force de résistance vfàimerit surpreuànîe pour un homme dèsôri.àge . » _ ! AuSiuce-saciet queslio-us dont l’ac- cabàait Adrieimc; il rependav. r i rasis- farit" Sur tette j articàlarlté; i -.fuvant àfnsi méyéiï de ia.sSefr Une iljusip.n d'es pérance à la je.'iie fiUel'T^nè foèBiuler uin diagnostic'que .révèh'émcni devait . p.'dbabJementdctneati.'.. , ' ^ Du drmanche,-- our de son arrivée, jusqu’au mardi, Jeanne ne quitta pas un seul 'instant l’h-Atêl dé l'aveùue du Bbs'de Boulogne'. ^ '■Rodolphé s’était empressé d’instruire Ffêdéri'c'de l’arrivée du comte seul à Pafisfetd'e la teùtree d'Adricnae dans ià riMuson., paternelle. •Il; allait et venait de l’avenue du Bois de Boulogne à-la rue Cardinct. rappor- tarit à Jeanne le» mérfléurës coüfvelles dePiérte. = ' ' ■ . (A StKrt.J rrwî

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Page 1: Les Déloires d'ene Eleetion Pimieipale Gomplémentaire D o ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_10_15_MRC.pdf · à Bel2 mication volontaire, en i La Villeneuvtî-soas-ThiiJf

de M' MÉZIËRE, n o ta is à Bel2

mication volontaire, en i ■ La Villeneuvtî-soas-ThiiJf. Icbe 22 Octobre i 9u i

3 h e c ta re s 4 8 la re s de T e jr e , lté e t P ré . en 7 pa-oelS"

•ro rs de La V ilie n e ^ luiaeuil et itaieuil. — pZ?» ■ments, s'adresser à M*)^

iDES_ET OFFRESIf 'Il demande d e so a v H e e » ^ e r s et nkiQears ■RI, à Maïeina-Montataiün

*h jJ f'ndernatir- ne a p p r e M i 1 ■bonnes référeiieus, p réS n S I ^ l ents. Ipu Bureau du Journal.

| 0 n dema.ide pour travailla, fcbricatioii (l-'s bois d’aép^

bon ouvrier menoj,

I s e r à M. BARBIER, carrog.

I y ' PETIT, notaire à Senlis i p n , demande de suite im "rc ayant bonne écriture, [

7S7 I0 _n._ dfm m de des an.

1 pàtissiers-cuisinlSr^ par leurs parents, à I.PESCOllBLNS, place de 5

On demande une boniiaI faisant bien cuisine et mé.

Service avec femme de

tu Bureau du Journal,

lO n demande, pourlacat* . pn homme h tonte»

Jsachant conduire cheval» ■e entreienii- auto.II. Bureau du JouraaL 843

I On demande un conuah chez M , BO.^-îiAIRî.

p£ , à Senlis.

J Ouvrier charron m Ichez M. GR'JTÜS, à Lé«.

873

IM . CHÉDHOMME, boulan. |b s , deinande un porteur

marié. 8KOn demande, pour ttoa environs, un ménage, ur arranger les chevan!

Iharnais et appartements, li l u r l’intérieur, lu Bureau du Journal,

rfi'n demande femme de Ice pour aider à la direc- Ih é te l— Référence de pre- le exigées.fu Bureau du Journal. 9ff7

J f'n tleman.le. pour mai.mo | e , une bonne sachant■ '.ne et le ménage. — Ré, bx'gées.

|u Bureau du Journal. 908

, L'Usine du Tremblay, à bande des employés de l e t spécialement des sténo- ppbes. 918

|M , g a u t h ie r , pâtissier i ■lemande un apprenti

par s ;s parents. 9S

[Bon chef jardinierb it demandé au Château de b ès Senlis (Oise). — Sé- iférences exigées, jser sur place. 937

Di demande, po,ir Mézièree |). une bonne à tout une bonne d’enfants.'

le s références exigées.^ Bureau du Journal. 940

‘■.tr

> IWIRntüEIS

s É a i i i r l i ; !

t e s ' / e p p é a *

■ v A t i O i i

t..-lit;.;:.

Paraissant le Jeudi et le Dimanche.' R é d à c t e i i r e n I t ^ e f :

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J ' . , . M*rîW ■

Paraissant ie Jeudi et le Dimanchèiy , . . lO -îi »ioet od i «

Onlis !lo if...» .

0« s’ABoam anx Bnreaax du Jownal et dans ton*- IM bureaux de çoste. - L’a iw nM eat ert d’itxa&oe e t ewitinue de plein droit jneçtn à reeept-on d’avis contraire.

dn 1 » oa da IC <iè-e®*9 as asou*

BlIREAUX, RÉPACinOr & ADljByiSTRATIONS E N I i î S - 1 1 , P b io a die: l’S lA t^M e-T U le , 1 1 -

m anusiriU i 6àéria tW;tien, '^ :è o n t-p u * rendu*.

x « : '8 '.a i - ï» x > x o i iF S . 'i - i»i ■ „.jI'..;'î.'.i"Oit*^«.liBgaa t> HiaUeM4,t;jj.Jil:i..U.^l..'. e M s . l e l l |ahM ......... V>*!* ' I diwri......... . . . . . .m .. Ifcii .1 —

«,■*..010 rASs’iMiMiaBSiNSSiMM'mdisaaiM-.-'■ 1k iirri 111 iiru~‘" tiili ' i l 1 lÉ'jrBjii n e s i e i i 'ii itl i t j iM d j i i l i S i e i l

* n bmmudiHPàBiau L-»,-b;ted ;

V i l l e dLe S e n l i s

Eleetion Pimieipale GomplémentaireD U 1 5 O C T O B R E 1 9 1 1

D o c t e i i i * © I J M B A I J ,M édecin en Q l\è f de V d(ôpiial.

C a n d i d a t I n d é p e n d a n t .

Electeurs ! A u x Urnes !C i . > '

Pas d’Abstention ! Votez ! Votez !Cl * k • - f ■

pour le

P p ^ t t H r P ü R E a O ,O a r i d i c i a t ! | ! i i d é p e n d a i s , t . .

Les Déloires d'ene

Sen lis, le 14 Octobre 1911 .

L’action ditef ' -ic , f b f X

républicaineLe congrès rad ica l e t le gouverne-

nieiit rad ical rivalisent d ’entrain p o u r p e rsu ad e r au p a y s que, décidém ent, ils renoncent à la sale cuisine tp.iîls lui fo n fav a le r depuis dix an s. Et ces di.sc ours captieux,-écrits à l’encre rose rem plaçant enfin l’encre rouge, n e vont pas sans p roduire quelque im­pression auprès des naïfs clients du « Petit-Café ».

Cependant il convient de confronter les paro les avec les actes, e t cette com paraison nous apprènd que dans la p ratique il n ’y a rien de changé. VoUà p a r exem ple la question des ap aches dans l’arm ée : On se souviént que l’imm onde André, pour complaire à ses am is les unifiés déjà, férus de Habouvism e, avait décidé que les ap ach es é tan t dés dévoyés' m téres- san ts m ais non p as des coupables, il fallait leur re fa ire une virginité m oràle en les versan t dans nos rég im ents 'au m êm e titre que les co n sc lits sans casie r jud ic ia ire . Il e st arrivé ce qui devait a rriv e r, à savoir que les apacneS m ilitarisés so n t dem eurés des apaches e t que, p a r surcroît, leu r contact ïu t contagieux pour leurs cam aradès. P u is surv in t l ’horriblé m eurtfe ;de Mme Gouin, com m is p a r des escarpes p rofessionnels en pantalon rouge. C’est a lo rs que l’indignaiàôn publique exigea et obtint, ap rès de vifs débats parlem entaires, qu’il' n ’y au rait plus d’ap âc h es-d an s l armée,;,: . 1

O r,'il y a tro is jo u rs, l ’a ssass in a t’de la fe rm ièren itf M ans-vient d’ê tre per­p é tré p a r de p a re ils bandits en uni­form e, N olot e st un m auvais so ldat qui, en d’au tres tem ps, eu t été déporté

. a u x com pagnies de disciifiine. Q u an ta T isseau, e’e s tu n re p ria d e ju stice ayknt subi deux condam nations pour teiitav tivé de m 'èürtre avan t son entrée! au régim ent. Comment sé fait-il qu’il y

‘ ’ HO. ^x sn sx tm w sC Q Ù lM É R d e ü O iS E

fût encore ? Ce sont donc des prom es­ses qu’on ne tient pas qu’on apporta aux Cham bres pour rassu re r les pères de famille contre la prom iscuité infli­g ée à leu r enfants, casernés en com ­pagnie des protégés de M. André ? Les faits sont là qui, malheureusemeînt, parlent trop haut. Les « H um ani­taires » im posent encore leur volonté sous le cabinet Caillau.x.

Il en va de même quant aü.x abus de pouvoir et aux injustices abominables des comités et préfets du bloc. L ’àu- tre jo u r, à Nîmes,- M. Gazelles procla­m ait que la « probité et l’équité » doi­vent être désorm ais la régie de l’ad­m inistration. Voyons un peu. Les journaux de l’Est nous apportent ce m atin le fait suivant : Mme Ballancl tient une bibliothèque de petite g are à Yarangeville-Saint-^.Nicolas ; eUe est veuve, elle a deux enfants à élever et la vie lui est rude. Son aîné à quatorze ans : inteUigent, travailleur, le prem ier à l’école comm unale, il a concouru pour une bourse à l’école prim aire su­périeure de Nancy et le concours lui a été favorable. Quelle jo ie pour la brave m am an ! Mais M. le préfet de Meurthe- et-Moselle veillait. Cet hom m e, d ’ail­leurs illustre en ce genre d’exercices, a refusé la bourse à l’enfant, parce que celui-ci fa it de la gym nastique au patronage catholique ! Peut-on ê tre mufle plus ignoininieusem ent ?

E t ainsi, p a r ce double exem ple, se trouvent m ises en belle lum ière les pratiques de la caricature de Républi­que que nos parlem enteurs persistent à nous infîigér :1a 'p ro tec tion des fri- pdidlles jusques et y compris les apa- cbes assassins, et les brim ades pour les honnêtes gens.i Ün te l tableau- de no tre politique intérieure^fait un jo b pendant aux agrém ents de l’exté rienre.

G e o r g e s BERTHOULA'T.

V o i p e n d e u x i è m e

l à C i i p o n i q u e

è t è è t o p ^ e . '

La dernière séance du conseil munici­pal d’Elbeuf a été marquée par un incident ■ l’une.gravité exoBptiounelle.M. Mouçhel, maire d’Elbeuf,ancienprofessetir.au lycée de la ville, avait été élu député aux der­nières éleclions législatives sur un pro­gramme radical-socialiste.

Il préconisait notamment les régies mu­nicipales et donnait en exemple la ville d'Elbeuf, où son administration avait sup­primé les octrois et exploitait directement l’usine à gaz.

Or, au début de la séance d’hier soir, M. Mouchel, en proie à une vi,ve émotion, a fait les déclarations suivantes : . ' ;

« La ville d'Elbeuf est menacée d’une catastrophe financière, l’usine à gaz est en déficit. Il faut immédiàtemenf ypler un crédit de 65,t)0b'fl'anôs sî nous'vdiilons as­surer l’éclairageipublio. Le déficit total est d'environ 2aü,00Û francs, ,, . . . ■

« Je dois me blâmer de cè qui aiiîvel Je n’ai pas la conscièncé tranquille-

« J’ai commis une maladresse, je me suis livré à une série d’expériences mal­heureuses qui me retirentla-coMance que j’avais en moi-mème. Je oonsidère-mà car­rière de maire et de député comme ter­minée,

a Je n’ai plus confiance en moi-mème : je ' prévois des déficits nouveaux ; j’en assurne la responsabilité et je ne cônsdrve mes fonctions dé màire et de' député ijue pour-'essayer de réparer un peu le tnal que j ’ai fait à ta ville d'Elbeuf. »: Puis M. Mouohelsa 'mit à pleurer abon­damment sous les yeux de. son conseil at- ti,'i-ré. ”

Le maire d'-fiillant quitta ensuite la salie, étant da. = ■ ':Ui‘e-siudité physique de conlinuer à pré.s;-ae,i-.

M. JiODchfl est i.é k E lè 'u f en 1833, d une famille tiés moiiestc. llfu ttou t d’a­bord employé d’industrie ; ses goûts le por- lér-int vers l'euseignemeul.

En I89“2, il fut nommé professeurauly- cée (luf venait d'étre ..;réè à Elbeuf.

Dès cette époque, M. Mouchil se plaça à la tète du parti radical-socialiste. Le. pre­mier, il entra au conseil munidpal, alors progressiste.

Enfin, en 1894, M. Mouchel était nommé maire et il commença immédiatement l’ap­plication des théories qu'il avait défendues toute sa vie ; il la'icisa'les service^ d’assis­tance, supprima les octrois, raoBéta^ la compagnie des eaux, construisil'tinéùane d'incinération d’ordures ménagères, amé­nagea les jardins publics au centre dè la ville, doubla le budget de l’Assistance pu­blique et, enfin, ces temps demiers, édifia à grands frais.une usine.à gaz. j

Le parti radical-socialisle donnait cons­tamment M, Mpiobel comme, jnodè.le des maires socialisées réformistes, . ,

Il fut élu député d’Elbeiuf . contre M. Delpèoh, progréssislé.

M. Mouchel avaîtpil, jusqu’alOfS dlsSi- muler'la vêritàblé'situation financière de la ville, mais depuis son élection l’opposi­tion libérale dénonçait celte situation.l

Qu,’,en pensent les radicaux-sociallstès.

Uots de la. tSa..— Sait-on cjB que,cooiepgil la speudo-

bombe déposée au Grand-Orient !— Des fiches. ' - ‘ i

♦** .— Ab ! ces réformateurs socialistes !

Leurs expériences coûtent cher aux contri­buables! -.. ■ ' „

—t Eux seuls'pouvaient mettre Eltieuf dans d’aussi vilains draps.

Echos et Nouvelles.La médaille de — En créant la

médaillé dé 1870, la Républiqae s’e st montrée moins généreuse que l’Empire, lorsqu’il insti­tua celm de Saint-Hélèna.

En efifet,-: notre gouvernement la fait payer aux ayants-droit, tandis que Sapoléon III la leur délivraitgraïuitement-. .

De ..plus, on exige des bénéficiaires, dont beauc'ôûp sont loin d’étre riches, la production de leur casier judiciaire, soit une nouvelle dépense de t fr,i 50 avec le port.

Ne pourrait-on pas, dans-ce cas spécial le leur octroyer gratuitement,, ou à tout le moins au prix de O fi’. .10, la somme demandée aux munieipaKlés.-'lorsqü’elIes féclament tin extrait de ce même'casier.- en vue 'de>rinscription sur les listeséleCiOrales de nouveaux électeurs.

L’E u r o p e p o s a tè d e 7 . 0 0 8 c e n t e n a i ­r e s . - r L'office’ impérial’d’hygiène ^vient de publier une-statistique, des centenaires que possède l’Europe. . ■ . •.».

D’après ce document, c’est en Bulgarie qu on en rénconfre te plus, soit 3.883, c’est-à-dire un p.ir cent liabitants. .- -

Viennent ensuite : la Roumanie, avecl.074 ; là Serbie. ayee.5T3 ; l’Espagne, avec 410 la France-, aveci2.l3--; rita!ie,iavrc.-I9,7 ;.-,IAuirir

-rs«o-H6ngrié, avec 113 ; l’Angleterre, av ee fï-; f i Russie, avec 99 ? l’Allemagne, avec 77 ;■ la Norvège, avec 23- ; la Suède, avec-10. ; la Bel-, gique, avec 5.; et le Danemacck. avec 2, i

Condamnation d’un professeur. —H. Th. Renaud, professeur au lycée. Chapzy, à Charleviltè, inembre de la Ligue dés Droits de l’homme, qui part.icipa aux maniffistalipns contre ta vie chère et insuha l’adjoint au maire de Charteville dans Hexerciee de ces fonctions, a été condamné par le tribunal eorrectionnel àquinze j’oufs de'prison, sans.sursis. ■ t

. La Gralnité des Fanérailles et les Services Religieux. — UOfji- ciel coiitleiitmié'répônsefûrt intéréssante du président du Conseil, M-. Caillaux, à uvR question écrite à lui posée par iM. Grousseau, député du Nord. ■' •

M. Groussi-au avait demandé « ,â M. le .\Iimstré-de I luléi-'hiur et 'tieis -CuTi--' s’il^ estime qu'une, muii-iuipalité pcu-t pi-e:-.;rirt- * què tôute'ponipe religieuse, que tout pas- .sage'â Eèglise du betivei fuaèbre d’un in­dividu fera perdre à sa famille le bénéfice de lagratulté'».- |

V’olella féiionse du ministre :.. Le service dos pompes l'unèbre.s ipie les

communes sont dans robb.galion d’assurer nrelnitement aux ind:ge'Us est celuf ■pii.èsi uelfei par l’article 2 de la loi du 28 déoerabre 'îû 'pi. Les communes ne sauraient, « pour quelque motif , que ce soit », s’aflrauchiri de cette obligation, qui est limitée au seul service e.viérieur des pompes funèbres. Là municipa­lité qui priverait, la famille d’un Indigent du bénéfice de la gratuité, « sous prélextei de pa.-''sâge à l’église du convoi furièbre », mécon­naîtrait cet article 2, « qui laisse aux individu'S et- aux familles la plus grande liberté en ceiqUi concerne, les obsèques religieuses., et iqui oblige même les communes à posséder le ma­té rie l convenant à de telles obsèques. »

Cette méconnaissance constituerait en oiiire une violation de la loi ou 13 nom-mbre 1887 sur la lihertédes fuoéraillesreorapiéiant l’arti­cle 93 de la loi du 5 a-vril 1884 et de t’article 1- ' ,'te fa loi du 9 déec-n.bre 1903 qui garàutil le libre exercice des cultes et consacre le prin­cipe de la liberté de consciences i

U n e b o m b e au IG rh h d -O r ie n t. — LeGrand-Orient .de France vient de l’échapptr bellé. Il à failli être victime, comme un.simple monarque, d’un attentat anarchiste. j

Jeudi, vers 6 heures, le concieige du lempli- maçonniquelde laraeiCadet, a trouvé une bbl,.- muuie,d’une mèche. et ayant tous les aspl-ei» d’iine.bbmbe dangereuse. ,

-Après avoir invoqué Hiram et le Grand Ar­chitecte, il-appelaun agent et fit préveuir II F .’. Borde, commissaire de police Sans j toucher, deqieur de faire sauli-r, à la fois liim ineublmetie'Ev’-i-Vaflécàrd.Jquia ti'en qu’ayani vu là lumière du 33' Apparti-ment, lug simjile

- ment au-2' .étage. ■.■ i ■■. iAprès avoir fait ces importante.-, (.-onstata

tioos, ringéuieux magisirat envoya le terrible engin-an Laboratoire municipal. Et maintenant attendons-!...-. - .C

''L’Aniifysc. — L’anâiysê de l’engin e s t t i i - minée.

11 ne contenait :q ic... du sable. .

H e u r e u x g e n d r e !

J f, Jean Lanes, gendre de M .EeÛ ières, désire troquer sa trésorerie générale de Ver­sailles contre celle de Bcrrdeauxir

Quelques chiffres vous 'permettront de goûter toute la faveur de la prochaine opé­ration :

Moyenne, pour les cinq an­nées antérieures, du produit net de la Trésorerie de Ver^sailles ............................. i6 .9 d 7 fr .

Même moyenne pour la Tré­sorerie de B ordeaux l0 2 ,S 6 5 fr .

Augmentation allouée à Jean i .’. . . . 55.3e&fr.

'îŸôtâ behe i/ . Lànes n 'est irésorier-payhur général que depuis le janv ier soitdepuis moins de, trois ans,

Grévy disait, en parlan t de W ilson : A h I quel malheur, .d'avoir un: gendre:! AujoîUT- d 'hui M. Jean Lanes ' s ’écrie : 'A h ! ( ^ e l bonheur d ’avoir un beau père^l - ■

L q g i c | u e d ' e n f a n t .l.-n.-i ~ ~ -.r- .-V .1: ;.

Un journal humoristique publie ce aialdgue fçmîdisiste, d’une ironie sin­gulièrement âpré ;

Toto. — Papa, on s'est donc battu avec lès A llemands ?

Pajia. — Qui, mon enfant, en 1S70. Mais il y a bien longtemps de cela..-

Toto. — Ils nous ont pris l’Alsace et la Lorraine, n’est-ce pas, en 7,0 "!

Bepi.-r-Hélas, oui...Toto. — Est-ce que c’est vrai que,

dernièrement, ils nous ont etiçpre bgi- tus? ;

Papa. — Tu dis des bêtises ; tu sais bien que non / ;

Toto (qui suit son idée). — Cependant, üs-nous prennent le Congo, à ce que ai- sent les journaux . ,

Papa. — Ce n’est pas la même chose. Tu es trop petit : tu ne peux pas encore comprendre. ; .

'foto. —I Alors, quand je serai grand, j e comprendrai, d is! ;

PiLf a..— Je l'espère, mon enfant. Tu comprendras,alors'que c'est une. affaire., de compensation. Les A llemands nous prennent Le Congo, c’est vrai... Mais ils notes donnent te Maroc, qui est plus, près... et beaucoup mieux.

Toto. — Alors, si .c’est m ieux, des', bien étonnant qu'ils ie lâchent pour nous le donner. j

Papa. — Petit bêta ! Les A llemands n’ônt pas le Maroc...

T oto.— Alors, comment qu’ils font pour nous le donner!

Papa. — A h l .tu t! .. . Tu m ’embêtes enfin, laisse-moi travailler !...

L ’ E ^ m i g p a t i o n

C à t t à d l a .

■ (fin y : "3“ Les cultivateurs. — Le gouverne-

meiit canadien concède aux émigrants une terri de-64 hoelares.Mais i. faut être muni d'une sotnme de lO-üOO francs environ pouLinet'Ireëétfé'tehÎB^ vâlèur. Très (le.n de nos compatn’btés arrivaut au Canpdà possèdent cette- somme ; J l leur faut soit reiionbe'r’à ei^loitêr leur terre, et devenir ouvrier de fêrine, soit contracter dVs dettes qui grèven t leur b'-id.qel pendant des -an­nées et rendent le succès final plus que dôùteùx.

Pour ceux qui ont le capital nécessaire, ceflaines difficultés se présenteut ;-ia plu part des terres concédées gràluil,emeLt se trouvent dans des régions éloignées : de tout centre important; les routes man queut, les communications sonl-donc plus

LE * 'i > .f ■ y 'X ‘V- i (• PA^ ■-

J o i e s GHANCEL

'lî'-- --,c;n-: -fi - -, ’ : J ' - - 2- l ., .GH^ITB:p;XX XilI(Sîi»Vé)‘

A près avoir causé.un instant, il fit- 1 TMère deia route

comme on >ppur v a i i ’TOir, le besoin &nù' fort'c o u p ’, de bfôsée.et deiqnelijués àblufions.’ avant Ife âéîéinlef sé faisait'vivement sentir-

On le conduisit i ,uné.:cbamb« idù prèmi«a: étage, et pendant qu,’i| .se ’dé- barbcmÙlait é gtMtdei'ean, un garçoéi battit et-brossa see.vêtenénts sur, le

- palier. 'v’-r »='. -."tî*' ’- ■ ®a Ün quart d’heure après, il M itait de la oham tee, nettoyé, rafraichL . r.

M aisau 'lieade aie rendre immédia­tement it fà saPe' »'in«Dg?er, située ^au rez-de^chaosséev if jetn%B-coup-d'œtl à droiter«t'i«*tiChe'-dâi»9'le i6nioîf,!sé

ffimi’üriiiit r - frappant du pied aubsi

et reproduetioB latarditei.

bruyam m ent que possible,'pciussa un cri qui retentit dans toute la m aison et, s’aflFaissaBt''‘ 'Snr liii-même, il resta apéâtfjnnmobilej én t r a v e r s des der­nières m arches. ‘ ‘f '“ '

-Au vaearme occasionné par cette étrange chute, le patron e t les m arm i­tons sortirent de la èuisine. r “';Les garçons et les voyageurs qui dé­jeunaient à table d hôte secoururent de la-saUeià'm anger.-'

lf.> l,e 'dbsteU r de Rivemont est au petit salon l d it le patron. AppelezJn to u td e su ite ! -L - :

Pendant qu’un garçon s’empressait d’efcécuter cet. ordre,on relevait .31. Sol- liès.avec -une prom ptitude e t . une faci- litié d’au tan t plus - grandes -qu'il s'aida beaucoup lui-même, ■

Ge n’est rien iréponditril anx nom­breuses quéstir-hs dont on fiaccablait. Le pied m’a manqué.! J ’ai glissé'--:, dê g rm gôléi Voilà-'toute l’affaire 1 -t.,_ P as .d e m auvais coup ? demanda anxieusement le p a tro n . Rien de cassé i

— De cassé ? N on ! Je ■ne crois pas, répbndit-JVi. SoUiès en faisant jouer les bras et les jam bes. Cependant... là... dan» ledosl.-,..U ne douleur L. Oh ! sa- perlipêpette ! Ça me conpe- la respira- tionlzzlt-faut que je œ * ttp o se uhimo» anent 1 s..fça passera L. Ça ' -commence déjâA passerl - >■ ■■.'’■ - - ' '-AIl .ré cem m ent, diable! avez-vous fait votcé compte f dem anda le pa tron sUr uB-tbn de reproscbe afEsctueUx.' -Vous •Prienin><qr«as csaserlecoitoli "

— Qu’est-ce que vous voulez î On n’est pas adroit tous les jours ! Enfin, j’en aurai été quitte pour la peur, et çà

ITe^m’émpêcTièrâ pas ae dejeuner tout de même dans un qaqmeat% MihVWtipriâi le b fâs de iW te , èt allait

entrer dans la cuisinei lorsque le doc­teu r de R ivem ont a rriv a . I

Mlle Pibarol le suivait, très émue) et trèdenlum inée. ’’ . i;,. Le -doctéur se fit expiiqiler l à ’ cause de l’accident, s assura rapidement quÿl n’aètût pésieu dè shîfés fateheusesj êt comme M. Solliès exprim ait sa àur-

l il déjcuuaib^eivcL.— Mademoiselle, -dit'- M. Sblliès, je

suis désolé qu’on vous a it ainsi alarnié pour rien f Docteur, ie vous è’usupplie ! Jfous constatez que je Baient tire .avec d insignifiantes contusions . Eaites- moj Tamitié d ’aü ep ço n tin g ^ votre dé-i jeûner pendant que ie vais, coipmençèrlè m r é n . " ü . - h ; ' . ’.l u u ’ _ • ;

— Un conseil, m onsieur Solliès, ré­pondit ie docteur. Restez lietiCôre un instant sur votre appétit, qui ne doit pas être très« grand, d ailleurs. Votre , état ne m’inspire aucune préoccupation, j'Mais «eus ivenez 4 ’éprbu,vté utîe viflh ■ ^ t e sècoü'àse.'Pâr exhgérrtion de pru- [ deqce, laissçz le çalm.e. se r é ^ b r ,R e t a - l p la « r fe déjîèùoeir pSr.ua O'btiiàL ' . |

Æ tcom -m eM , Solliès faisait, la gri- màcé-'i'Vi'.V'- .41. l , '. 5 T '•

O h! rien de pharmaceutique,.\A_4i il am . . I t o . - i r M » a i m »

*-11 b ta fmj (incffe^, je Croft eù‘ effet,, que pour le mOment je ne ferms pas grand honneur au repas'. Je vais donc

r { A * ^ . . a w .n .n - n r . . . , . . - r v A IstiiVte^vOtt'ê' ofdo'nnaû'éèéî jé -Vous ten ­drai compte de l’effet-qu’elle aura pro­duit, quand vous sortirez-dèta’b'leJ ' :

— N ous eu somiues au-café, m onsieur Solliès, dit la bonne Pélagie P ibaro l, q qu i;ipour'v icier ■ assidûment lé secrét ' aeà» correspondènèes,' rféif avait pas ; moins un cœ ur d’or.- ty;«ie**prendréi-votre ohaiftreuse avec nous. De cette façon, le docteur se req- draiittétiédiateineut côojpite du résul­ta t de son ordonn-mce.

-- Madempisel e P ibarol a raison, apbrOuV-i le' docteur. - v enez, cher mou-- s i e u r , je VO.US tiendrai en observation.. .-^ .;S iJilièé -.ré'm.è-icia, .-.tout .'enlise de- fendant d’accepter 1 offre dans la cram te d’êtreindiscret.' „ , .

Mais le do.cteur et .Mlle Pibarol ym irent tànttd ,’insistancei5Cordiale qu ilaurait eu vraim ent mauvai.,-r grâce .apersister dans scHâ-refus. - -r ;- ,11 les suivît-donc-dans. le petit salon où ils venaient ,dé. d^euner ..et prn chlrtréüsé 'pirésàrîte,' tah.dis qu tU dé­gustaient leur café. ‘ !.. , f•’'Ijâ'coùservation fu t cordiale et anim 'fe- '- ' - ’ ;• M Solliès -né chercha nultem ent â la

diriirêr I ' ne fit s*as la moindre >qiies- tiom -et quand- Mile Pibaroè-iespliquà q u e .d « m s plusieurs, u n sm o d ^d tj^o r àTHotM deErance.étttU pro içt^V W f tlleet le 'docteur, qn’il.-.iè-nr.. èyèit . ^ l u at-tèfldrè',-uh,^hi;pài.nfinla’vant4M l9V TerÜh'-ftimàhèhé où fis fussent Horœ ’toiœ

qu én ce monde on ne taisait pas tou- jourscequ’on voulait à son heure.

difficiles ; vendré le prédait, des récoltes devient un problème, qn’il n’est pas facile de résoudre.

Parfois on est réduit à échanger certains produits de la ferme contre' des objets d’usî^e courant, et à sadrifier les iéooltes à bas prix pour s’en débarrasser, Dè plus la main-d’œuvre est d'iin prix très élevé et absorbe uue bohnepartie dès bénéfices. Pour un colon qui obtieutiine terre bonne et située avantageusenient, il en est bèau- ooup qui, moins favorisés, se débattent jusqu’à ce qu’un accident- heureux, l’ex­tension d’une ligue de chemins de fer ou la création d’une minotéiié'viènnent amé­liorer leur situation-. Certains se'décou­ragent et cèdent leur terrfep d’aufrës y languisseit dans la misère, parce que, ayant dépensé, leur pptit pécule, ' ils ne savent .pljis oii aller, ils iüppôrtent la pauvreté dans iiil cjiifi'af extfément rigou­reux et sur une terre étrangéie. .

R’ùne: mamère générale, : Ce sont les cjiltivateurs qui ont iè pins de chance s de réussir au Canada, mais encore fàut-il qu’ils aillent dans Ip Nord-Ônést,canadien, qu'ils . soient vigourenx, expérimentés, possédant un capital d’une dizam» de mille- francs, au moins, et, autant que possible, uue famille qui les dispénsb" dè faire usage de main-d’œuvre 'salariée;' ils doivent avoir de l’initiativeÿ ne pas craindre le cliniat rigoureux et travailler aVec per­sévérance et sans sè iaissér -décourager pendant dix ou quinze ans; A ce. prix, ils auraient réussi en France èt' ils auraient beaucoup moins souffert.

il serait donc désastreux pour les émi­grants et mauvais même pour le Canada de laisser partir pour ce pays des person­nes qui' y seraient' attirées, Sans y avoir d’emploi assuré, de ressources, du. dè com­pétences particulières. ' ' ' - '■'

Nous.' empruntons poùr terminer au Bulletin de la Chgm!"" (srcefrançaise, de M o n tréa t . .i-.-i.. . 0 . 0 , .,uel- .jues ré'llexioud fo.i 'justes su r'ün point très impurtd,4 celui de Idlaugue anglaise.. Eu dehors des cuitivjitaurs qui s’iusiallent ■ lè.i fi'iir a:.rivéc sur uue fei me, où il... sont hoirs lusilrès et où if- e u t , eu lie ■■ontact iivfec le public, il e s t ..bsoluuieuliudispen- -abiu puifr lüiii ’t'-iiiigrai'l entrant au Ca­nada de parle» .nglais.

« La l„'i)gue Iraiicaise r-at beaucoup em­ployée dans la province de. Québec, cela est exact ; die est olfioielle'.et placée sur le, même pied que l’anglai.f dans lèsadminis- tratiuiis, les tribunaux, les maîri»-'-. etc., cela est-em-ore vraft'Néa-nr..t; .q :- ,s le ■;omm"i-cs de gros, les banques, les com­pagnies du ulitmiii de fer et de navigation, b.s gi .11.ds établissements indusli ieis, etc., ■ c’est i'ai.giais oui domine et qui est le plus souveiii, exclusivement adopté. Dans le comait-rce de détail même, les magasins sout fi équenii'-s autaul par les clieuts de langue aiiiilaise que par ceux de langue frauçais.,' ; d’où la néeessilé pour les com­mis de.parler les deux la-ngues; i! en est de même! pour les employés de bureau, les garçons livreurs, les solliciteur; .3 domi-

,',-ife, etc...« Dans les ateliers, les coutremaitres

sout piutèi anglais et n’aimeut guère à .ivüir sous leurs ordres'un ouvrier ■ jui ne le comprend pas.et aVec lequel ils ne peuvent parler que par rinterrriédiairè'd’un inter­prète. ' ' . .

Ru iléliiiilive, poür avoir quelques chances de siiceès, l’éraigrant doit parler anglais; çi-sf'ià une.'condiJiOn sme qua non ,’ auii-euiant, il né pourra que végé­ter d ,ns d,:s besogne.s niereenaires et peu rénumèrées. »

La meilleures émigration française au Can'itda st rait eni ore celle de nos 'direc­teurs d’èiifréjjrise, ingénieurs, etçi, et nos capitaux Bleu employés et contrôlés par une banque de fondation française.

Il va dè’S6V’tîù'’h(i éharâ'cfe’î'Hilürelièh il raconta qu’il était allé porter une dé­pêche au bu -e tu de Saint-Hugon, *n Chargeant Joséphine de prier Mlle Pi feriàl de la faire partir le lendemain, let qu'ensuite,-Tayunt.'réfléchi qu’il <fe' v.ajt. aller à Mo.ntverdier, il était, ,ven'u là rêpreHdre. ,'.' Mais • i i se garda bien dè faire' la

m ohfdre'allusion aux .détails que lui avait donnés la vieille bonne; pàrfai- tètnènt conva ricu que ce-f è ’ci rie man queraif p as Re d-re lé Soir à sa nisîtresse qU’ilé ta it.v en u d an s-la [Matinée, 'mafe moin'moinsuertaia-qu’elle s’abst eridi ait d’aller au devant . de reproches proba­bles, en.confessant [spontanément' des bavardages dont Mlle PVbaired-t ne luisaurait év.d«œwent pa^ gré.

Sur ce point, e iese ta ira ii. M So iiès n’én'doùta'i't'pàs. . ,

Le docteur, qui avait à 'voir un ma- lade.3. S’a'ùt'Hügocr'dan.s rag rèsm id i, fit'atteler,'y.'érs,deux bonres, et partit avec Pèlàgiè. 'i:''-' î

Mv’SofièS-S’accouda sur lè iebord de la fenêtre-ah pe tit salon, et quand*ie tiibury passai dàus la» ^ e , 11 ''salUé de son pins aimable soiiriré* le' dcldtéfir et la receve'Jsëî'- ; ■ i'" - 'v

.Mais quand ils eurent disparu; der r i^ e la mairie, gui s’éleivait.en face ;de .Thritèt, t'expréssîori derusa .physioaomije cfiâr'gea soudain.

- r ’iü d 'd è ’ùJonfê ! m urm ura-t-il. Il s 'èst'ii'ah i ! -G^est bien lü iî .,»-.-' -

iGothment-le docfeiir àvaiféil pu se tr^ ili^ àlors-qtt'iM4ët4«tàit'pèà*ùnA éul instant départi de l’attitude "Ja plus simple et la plus naturelle, àldrit qu’il

ri’avôit-pas eu la môiùdre parole im­prudente. alors qu'il -n’avait- pas tenu le moindre'propos. q tiL ^t-p rê ie r à l’in-terprÀ ato.fi? ' i .■■ ■ » ■-■-»'» ■Q’ësf é e q u e ro n h é te'rdera pas A sa-

CHA PITRE X X X IV

A Paris, l > malad e du comte Miquet suivait.son cours avec une vjoieuce qui confirmait !è docieuc dans séf pronos­tics pessimistes. '- R ‘s’êtorih . i t 'cependant dé trouver chez sbn i r i i 'f laiié une force de résistance vfàimerit surpreuànîe pour un homme dèsôri.àge . » _! A uSiuce-saciet queslio-us dont l’ac-

cabàait Adrieimc; il rependav. r i rasis- farit" Sur tette j articàlarlté; i -.fuvant àfnsi m éyéiï de ia.sSefr Une iljusip.n d'es­pérance à la je.'iie fiUel'T^nè foèBiuler uin d iagnostic 'que .révèh'émcni devait

. p.'dbabJementdctneati.'.. , ' ^Du drmanche,-- our de son arrivée,

jusqu’au mardi, Jeanne ne quitta pas un seul 'instant l’h-Atêl dé l'aveùue du B b s 'd e Boulogne'. ■'■ Rodolphé s’était empressé d’instruire Ffêdéri'c'de l’arrivée du comte seul à P a fisfe td 'e la teùtree d'Adricnae dans ià riMu son., paternelle.

•Il; allait et venait de l’avenue du Bois de Boulogne à-la ru e Cardinct. rappor- tarit à Jeanne le» mérfléurës coüfvelles d eP ié rte . = ' ■ ' ■ .

(A S tK rt.J

rrwî

Page 2: Les Déloires d'ene Eleetion Pimieipale Gomplémentaire D o ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_10_15_MRC.pdf · à Bel2 mication volontaire, en i La Villeneuvtî-soas-ThiiJf

m

I nous servirait, en effet, d'ètre lin nm ^ . canicien fort é m ^ te si l’o u t i l l é , .nonc mettue

-Lr'l a t o D ë i »

L’wBralre de*i^Wte dis Crell.C h e n ^ E e r

La Oazette de FOise i ^ o r e , ou {tintA PnifMs de L’EMnête.

locomotion docile à vos ordres, raliment approprié qui l'anime, le rail puissaot.qut la maintient d a iû 'la voie, le signal réiESTREES-SAINT-DEIMIS

Un garçon, de ferm e tuép a r trois Polonais. __________________ __________

Trois alcooliques ont lâchement tué un ** ^ 'é té - Le dividende quiamimebrave ouvrier, oère de nlnsienrs enfants ‘ “® convoitise8, ppovoqne de si soattsres

Le 9 octobre courant ve^^M e heure <l«ef^nwnération due, en toutuo 9 vuluuie tguraoij/vers une neure droit, au conftonra Unanniai* Hac fintinnnotMa

danger ne sont pas l’œuvre de l a ïam peuibr- veilleuse d’Aiadm, vous les deverauz a è ^ n - naires et à leiicimmense crédit dans te tttw îes

dU.matin, les nommés Walzick (Joseph), â ^ de 19 ans ; Wladyslaw (Jastrzemb), âgé de 22 ans et Magrita (Stanislas), âgé de 26 ans, tous trois polonais travaillant les deux premiers, â Moyviifers et le troi­sième à Saint-Julien-le-Pauvre, après avoir bu toute la soirée au débit Dessaint avec le nommé Birck, d’Estrées-St-Denis (compagnon de travail de Wàiziok et de Wladyslaw), se prirent de querelle avec lui et le traitèrent de c... de Lorrain.

11 répondit en les traitant de c... de Prussiens.

L’un d’eux, le nommé Wladyslaw sa précipita sur Birck, le frappa d’un coup de'couteau à la poitrine et le renversa à terre.

Birck, après s’ètre relevé eut la force de s'enfuir jusqu’à la porte du docteur

Huguet, où il sonna pour demander du * du secours mais avant que l’on vint, ses

agresseurs l’avaient rejoints et s’achar­nèrent sur lui, le frappant de 40 coups de couteau.

Quand le docteur arriva il ne put que constater le décès du malheureux Birck qui était étendu dans une mare de sang.

Prévenu télégraphiquement, le Procu­reur de la République accompagné du juge d’instruction et du docteur Tournant, médecin-légiste, s’est rendu sur les lieux.

L’autopsie du cadavre a été faite et la lame du couteau de Walzick a été retrouvé dans les chairs de Birck.

Mandat de dépôt a été décerné contre eux et ils sont écroués à là prison de Compiègne.

Le prix du transport des colis agricoles est abaissé.

En vue de contribuer à l’abaissement du prix des denrées alimentaires dans les centres populeux, les ministres des finan- ces et des travaux publics, d’accord avec les compagnies de chemins de fer, vien­nent de décider un abaissement du prix de transport des colis spéciaux, dits colis agricoles.

Les nouveaux tarifs, qui entreront en application le 12 novembre prochain, sont établis comme il suit :

Prix de transport par colis (droit de lim ire 0.10 compris) :

De 10 à 100 kilom., jusqu’à 20 kilog. : 1.50 ; de 20 à 30 kilog.: l.SO ; deSOà 40kilog.: l.SO. De 101 à 150 kiiom., jusqu’à 20 kilog. : l.SO ; de 20 à 30 kilog. : 1.50 ; de 30 à 40 kilog.; 2.»». De 151 à 200 küom., jusqu’à 20 kilog. : l.SO ; de 20 à 30 kilog. : 2.»» ; de 30 à 40 kilog. : 2.50. De 201 à 250 kilom., jusqu’à 20 kilog. : 2.»» ; de 20 à 30 kilog. : 2.75 ; de 30 à 40 kilog. : 3.»». De 251 à 300 kilom., jusqu’à 20 kilog. : 2. o» ; de 2 0 à 30 kilog. : 2.75 ; de 30 à 40 kilog. : 3.50. De 301 à 400 iulom., jusqu’à 20 kilog. : 2.30 ; de 20 à 30 kilog. : 3.50 ; de 30 à 40 kilog. : 4.50. De 401 à 600 kilom., jusqu’à 20 kilog. : 3.»» ; de 20 à 30 kilog. : 4.25 ; de 30 à 40 kilog. : 5:50. De 601 à 900 kilom., ju sq i’à 20 kilog. : 3.50 ; de 20 à 30 kilog. : 5.»» ; de 30 à 40 kilog. : 6.50. Au delà de 900 kilom., jusqu’à 20 kilog. : 4.)">; de 20 à 30 kilog. : 5.75 ; de 30 à 40 kilog. : 7.50.

Certificat d’études primaires.Une session extraordinaire d’exami ns

pour i’obtention du certiüoat d’études p ri­maires élémentaires a lieu dans le courant div présent mois.

Pour la circonscription de Senlis, le ieudi 19 octobre à Crépy-en-Valois, pour les cantons de Crépy, Betz et NanteuU.

Le jeudi 26 octobre à Creil, pour les cantons de Creil, Pont-Sainte-Maxenc<i et Senlis.

Oernlers échos concernant les Cheminots.

Je n’avais pas cru, dans les moments d’anxiété patriotique que nous venons de vivre, qu’il me fût permis de ramener l’attention des lecteurs du Courrier sur la querelle d’.-rie- mand qu&'me suscite, dans les colonne.! de l'Echo républicain, une victime des évliie- ments d’octobre 1910 au sujet de sarévocalion dont, paraît-il, j ’aurais, â l’instigation d'B la Compagnie, tenté, dans un journal ami, l ’im- possible mais intéressée jusUScation.

Telle n’a jamais été ma pensée, n’ayant eu ni à approuver ni à improuver la mesure que mon contradicteur a lui-méme provoquée en s’octroyant un repos que la Compagnie ne s’est sans doute pas crue autorisée à inàer- rompre.

Cette mesure, je l’ai déplorée très sincèiu- ment et j’aurais été heureux si elle avait pu être rapportée. .

Malheureusement, les intéressés se sont détournés de la seule voie ouverte à la 1 lé- menee, et, oubliant que la faute résultant de la ruptare, de leur part, du contrat de tn ail qui les liait h la Compagnie ne pouvait effacée que par le repentir, ils ont voulu li ser le (mrdon par la force e t anéanto i Tantotaé des C o m p a re s su r leur persoi 11 y aurait là une aiminutio capitis qui. pouvaient accepter, à aucun prix, ceux su.- repose la responsabilité de l’exploitation. les réseaux ferrés. I

La Compagnie est, d’ailleurs, restée s ssi é t^ im ère aux articles paras dans le Cour ier de roite qu’elle T a été à Tabllcle du chen lot cheminot — quanta m u ta tu sl — qui clai lit, dans les colonnes de ce inéme journal, la ne débordante, dilatante que lui avait causé: la juvénile agilité du premier magistrat de la ité vmloise fuyant, sous un flot d’injures s ssi cinglantes que sanglantes, des lieux aimi et mis, p a r lui, gracieusement à la disposi ion des organisateurs de la mémorable réunie de

''O épy.La Compagnie n’a pas à recourir à les

agents pour leu r demander de défendre ms décisions qui lui dicte seul le souci des i lé- réts multiples qui lui sont confiés. Elle a, d’aHlenrs, assez de délicatesse pour n’exi .'er du personnel que son travail sans l’associ: r à la responsabihté des mesures rendues néi csr saires dans l’intérét du service.

Mes artiifies dans lesquels on a voulu voir qu’an plaidoyer en faveur de laCompag ie, ne sont qu’un ^ p e l à nos camarades pour les mettre en garde contre les sophismes, les inexactitndes dont étaient émaillés les dise» irs h la Catilina prononcés à la réunion de Cn >y -tnnioo fertile en incidents aussi tragic ses epecMôtgies.

La suouuon financière telle qn’tile résulte de doeumeùts authentiques e t la féiMèssc Syndicat m’ont fourni les arguments les u t solides, les plus probants pour réduire à né o t les assertions erronés dès orateurs, leurs i .si. ouations intentionnellement m a lv e il^ te s , p. <ur démontrer à nos eollègues que les actionna ves ne sont pas les hommes insouciants, lad- .s, rapans que dépeint VEcho Républicain, i .n- ta-'t les discoureurs qu’il avait d’ahord fléii is.

Des chiffres produits, dout ni Texacttiti ie, ni la sincérité, n’ont pu être contestées il ressort clairement que c’est la part la i. us minime des recettes qui est attribuée ^.ux actions, part dont on ne pourrait les dépouiller sans commettre la plus criante des injustices "* • “ •‘ "■’re . coupable de la plus m re^ ingntitedes.

droit, au concours financier des actionnaires qui ont créé les chemins de fer.

L’incnriè, la ladrerie, la rapacité de ces der­niers, pour me servir des expressions de VEcho Républicain, se révèlent, d’aiileurs, par Texé- cution de travaux d’amélioration et de para­chèvement de plus en plus nombreux, par des augmentations continues de traitement, par la versement aux œuvres patronales de sommes de plus en plus importantes et par la renoncia­tion à un dividende pius en rapport avec l’ac­croissement des recettes.

Le spectacle déplorable donné par le dernier congrès des cheminots me dispense de revenir sur l'impuissance du syndicat national qui agonise tous le poids de ses faiblesses.

Au cours des tumultueuses séances du con­grès, les incidents douloureux ont succédé aux incidents pénibles, les investives passionnées, -les buées méprisantes, les injureu sanglantes, se sont trouvées sur toutes les lèvres, les questions de personnes et de tendances ont mîs aux prises .'des camarades réunis pour s’entendre et préparer TEden des travailleurs des chemins de fer, le rôle du Comité de la grève, le fameux Comité dont les membres se sont entendu traiter d’ânes, a été sévèrement critiqué, parce que, impuissant à généraliser la grève, il s’est traîne, sans dignité, à la re­morque des impatients sur le Nord, alors que la situation de la Caisse syndicale n’éiait pas fort différente de celle du célèbre coffre-fort de Thérèse, de la grande Thérèse, de Crack- fortienne mémoire.

En ce qui concerne les menaces dont avec les renards je suis l'objet, elles me laissent insensible. Elles peuvent n’être pas vaines, ie syndicalisme, tel qu’il s 'est révélé à la réunion de Crépy, ayant un penchant marqué pour l’em­ploi de la chaussette à clous et de la machine à bosseler, mais la crainte est un sentiment que ne connaît pas l’homme ferme dans ses réso­lutions.

Fortem propositi v i r u m .................................Im pavidum ferien t numa.La phobie que les renards vous inspirent, à

vous qui possédez des trésors de dévouement, ne se justifie d’ailleurs en aucune fapon. Comme vous ce sont des prolétaires ; votre vie, ils la vivent, vos souffrances, il les souffrent, les difilcultés de la vie dans lesquelles vous vous débattez ne les épargnent pas, les mi­sères qui vous torturent les étreignent égale­ment, vos maux, en un mot, sont leurs maux ; seul le remède qu’ils jugent susceptible de soulager la commune infortune, diffère, parce que de leurs devoirs ils ont une conception autre que la vôtre e t plus conforme à notre nature.

Compagnons de lutte, ils seront toujours à vos côtés. Ils ne s’en éloigneront que lorsque vous les pousserez à des actes que réprouvent la justice et ieur conscience.

De la bestiale formule darwienne « struggle for life », qui en substituant la force au droit, consacre toutes les violences, ils n’attendent aucune améUoration de leur sort qu’ils n’es­pèrent que de la mise en pratique du comman­dement du Maître, de Dieu : <i Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas que l’on fit à vous-mêmes ». Paroles simples, sublimes, compréhensibles pour tous, qui donnent ia so­lution juste de l’angoissant problème social sur lequel pâlissent les nations, toutes plus ou moins fortement ébranlées faute de n’avoir pas suivi l’enseignement renfermé dans ce précepte.

En ceci, ils se distinguent de cette autre es­pèce de renards qui viennent à nous, la flatte­rie e t l'adulation sur les lèvres.

Ceux-ci se -Jisent fous avec nous, ils nous -persuadent qu’ils nous défendent contre ce qu’ils appellent l’exploitation patronale, il ne nous parlent que de droits; ils nous exaltent, ils nous magnifient, ils nous déifient, et nous, pauvres travailleurs, au cœur simple, droit et franc; nons ne soupçonnons pas toute la ruse dissimulée sous ces éloges, nous nous grisons à ce langage louangeur et, ne nous sentant plus de joie, nous laissons, tel le corbeau de ia fable, tomber notre fromage qui devient la proie des renards passés maîtres dans l’art de jiiper par la magie des mots.

A Tégard de ces renards nous n’avons aucune méfiance. Pareil à l’étourdi papillon qui finit par se brûler entièrement les ailes à la lumière dont Téclat l’attire, nous revenons à eux, dès que se sont évanones la surprise et la colère du premier moment, pour nous énivrer de nouveau à la mélodie captivante de leurs discours, mélodie qui charme notre oreille et flatte notre amour-propre.

Depuis que Ton nous dit que nous sommes des hommes conscients, nous agissons sacs conscience. Nous ne savons plus penser, nous ne savons plus réfléchir, nous ne savons plus aller au fond des cbosés, nous ne savons plus comparer. Nous sommes le jouet de l’empirique audacieux, dont la cbarlatanesque éloquence nous fait entrevoir le bonheur qui, tei ie milliard des congrégations, nous fuit dès que notre main débilitée s’étend pour le saisir.

E. LARGER.

37363633

Nanteuil-le-Haudouin.

ItE 2"' CBJlBPIOHlîflTDE LA

m

■ 5 >. ■ ‘ - SEPBÊME PELOTON "f ' '

Bruié Louis, Samt-Firmin î 9 38 ^Darras L., Entrées Saint-Denis.. 18 25 43 33Gosset, Baye (Somme) - ..’ï Ï S *s 37 jo

CLASSEMENT D ÉÏW lTjF après barrage par les points de la Finale

1. Brnaet Ed., Tracy-le-Mont. ........... 632 . Brûlé:Louis, Saint-Firm in,........ e i3 . Bocquet Louis, Crépy-Sté-A........ 594 . Hérande fils, 'Tracy-le-M ont...... 535 . Fauvel Pascal, Bélfaisy-St-Pierre.. . 576 . Pécheux,. 1* Pont?Ste-Maxence.. . . 567 . Salingre,_;Soissons..:.................... 558 . Collas Etienne, Bagnolet.............. 559 . Forest Claude, 1 Sonilly.............. ! 55

10. Dallancourt fils, 1 - Juilly............3411. Gressier, 1- Béthisy-St-M artin.!.!; 5412 Vernet, 1 - Compiègne.................. 5213. Laroche,. SainlrPierre-Montm.... 4714. Acquère, Crépy-Ste-Agathe........ 4515. Anthony, Bagnolet........................ 4516. Drux Jules, 1 - Soiiilly..................\ \ \ 4417. André Julien, Villeparisis 4418. Deban Louis, Vauciennes ■ -4319. D arrasL ., E strées-S t-D enis...'... ! 4320 . Boulet, Champigny.............................. 4121. Millot Henri, Juilly..........................” 4022 . Charlet, Soissons....................................3g23. Gosset, Hoye(Somme) ! ! ! '24. Fournier, 1- Souilly.................25. Firon Jules, Jonqiiières.’ . !.’ '26 . Grangé fils, Ulysse.............................27. Leclerc, Soissons................... 3228 . Huart, Crépy.Ste-Agathe. ! 3 2

L’épreuve, commencée à 8 heures, s’est terminée à midi et demi.

A 3 heures, le cortège, formé par les dra­peaux, les champions et les chevaliers précé­dés par les tambours et » l’Union Musicale » de Nanteuil, a fait le tour de la ville et s’est rendu à la Mairie, oh a eu lieu la distribution des récompences, sous la présidence d’hon­neur de M. de Maindreville, président d’hon­neur de la « Ronde du Valois et de la Vallée d Automne », assisté de M. Desmarest, vice- président de la dite Ronde.

M Delépine, capitaine de la Compagnie d’are de Nanteuil, dans une alldcutian très applau­die, remercie tous ceux-qui, de près ou de loin, ont contribué au succès du Bouquet pro­vincial et complimenle les champions.

M. de Maindreville,avant de donner lecture du palmarès, tient à féliciter la Compagnie de Nanteuil du magnifique succès obtenu et la remercie au nom de la Ronde du Valois.-

P .-S . La Compagnie d’arc de Nanteuil ayant reçu, après la confection de son mandat trois caves à liqueurs de la Maison Cusenier! est heureuse de les offrir comme prix supplé­mentaires aux trois honteux de son prix d’A- mateurs.

Les intéressés :41. Boisset, Villers-Cotterêts............42. Grisot Ulysse ■..............................j ,43. Baujin, 1- Compiègne..................... gauront à les réclamer à M. Delépine', capitaine de la Compagnie.

travers SentisElection complémentaire

au Conseil municipalda 15 Oetobre 1911.

Profession de Foide JU, le Mà' Bureau

Ch ers Concitoyens.

Au nom d’un grand nombre de leurs amis, plusieurs d’antre vous sont,-venus me proposer la candidature au Conseil municipal pour l’élection complémentaire du 15 octobre prochain. Je n ai aucune ambition et n’aurais

jamais songé à sollioiter un mandat quel­conque.

On fait appel aujourd’hui au concours que mon expérience et mon attachement à la Ville de Senlis me permettent d’ap­porter au Conseil municipal.

Dans ces conditions j ’accepte sans hési­ter et uniquement dans le but de me rendre utile à la défense des intérêts de la Ville et de la population.

Je suis candidfsi indépendant, mon dévouement le plus entier vous est acquis pour l’étude et la solution de toutes les questions qui concernent vos intérêts et ceux de notre Cité.

Votre tout dévoué,Docteur BUREAU,

Médecin en chef de VBûpital, Candidat indépendant.

Aux Électeurs I

La finale du 2* Championnat de la Ronde dn Valois et de la Vallée d’Automne a été dimanche dernier, 8 octobre.

28 tireurs se sont présentés sur les 94 a sés en 1 " épreuve dont nous avons récemit ent publié la liste en donnant les résultats du GtMd Prix.

Voici les résultats pour les sept pelo ms [‘ formés par ordre d’inscription :

La candidature du docteur Dtirëhu, coihme nous Tavons dit e t pour des ra isons siir lesquelles il e s t inutile de

ii 'ée I ^ rencontré partou t un excel­lent accueil, justifié d ’aüleurs à tbus les égards.

M. le docteur Dureau com pte de nom breuses am itiés qu’il a su se créer p a r l ’am énité de son caractè re e t son em pressem ent à se m ettre à la dis­position de chacun dans la m esure du possible.

18 29 é t 2712 20 3 ï 18 14 22 36 1813 23'36- 15

PREMIER PELOTON FauvelPas, Bétbisy-St-Pierre.. 24 33 S", 38Laroche, Saint-Pierre-M ............Leclerc, Soissons. ...............Fournier, 1- Sonilly.. ...............Firon Jules, Jonquières.. . . . . . .

DEUXIÈME PELOTON Huart, Crépy, Saiute-Agathe . . . 11 2 i 32 17 Acquère, Crépy, Sainto-Agalhe. 20 25 45 36Vernet, l- Compiègne................. 22 30 52 41Millot Henri, Juilly....................... jg 21 4C 31André J., Villeparisis................... 20 24 44 28

TROISIÈME PELOTONCharlet, Soissons......................... 17 21 38 32Drux Jules, !• Souilly.. . . . . . . . 21 23 44 33H éiiude, iraçy-lè-Mo’n t . . . . . . . 29 29 58 47Sab'ngre, Soissons....................... 27 29 56 45

QUATRIÈME PELOTON Boqnet L.,Crépy-Sainte^Agathe. 25 34 59 46 Gressier, r Béthisy-Saint-Mart. 25 29 54 43Brunet E., Tracy-le-Mont 30 33 63 45Forest a . , 1 - S o u illy .., 27 28 55 48

CINQUIÈME PELOTON.Collas Et., Bagnolet.................... 23 33 56, 39Dallencourt fils, Juilly................. 27 27 54 5 1 .Granger f ils ,U ly sse ... 9 24 33 16

SIXIÈME PELOTONBoulet, (3 iam pig iiy .,.. 15 26 41 ' 24Anthony, B a g n t r ie t . . . . . . . 2^,23 45 35Dehan L., Vanéiennes................. 22 21 43 38

au Conseil munieipaldu 15 Octobre 1 9 t i .

* \ro tre z ^ o u s

M. le docteur Dureau.

Aux Électeurs !U e i w i M i e e é i H l M a i a i r t i l M

d e 1® a io a s tç u r DnreiuuaacaB conearMnE ne s’est aréeenté.

On lira pins leta In lettre cie n . Saminaire, netre d l s t l n g ^ E - é çoncltoren, qnt n’n pas hésité n témelgrner tonte sn «Mki- llnaeean doctenr'Dnreàn éo refhssnt te anuidldMnre nul Ini était offerte.

Ce témolhnaffe de s iv i- PtUMs sera amiréelé de tous nos eoneltojrens q[hl ne somt pas de parti pris.

I f eus ré tevo n s là ï ^ t r e suioanté:.M o n ^ u r le R édacteur en chef,

Quelques-uns de m es bons amm qui ' soubaiteraient de voir le com m erce p lus largem ent représenté au Ckmseil municipal, m 'ont m anifesté l’intention d’opposer m a candidature à- celle du docteur Dureau.

Je décline form ellem ent l’bonneur qu’ils veulent bien me faire, tout en les rem erciant de leu r confiance ; mais j ’estim e que la candidature indépen­dante du docteur D uieau assure aux in térêts qui nous tiennent à cœ ur toutes les garan ties désirables.

Mieux que moi il saura les défendre quand il sera nécessaire, Les bens qui l ’a ttachen t à Senlis sont le gage. d ’ailleurs éprouvé de son dévouement: il y jo indra l ’autorité — à laquelle je ne puis p rétendre, — due à la consi­dération, à la reconnaissance qui sont lé ju s te prix des longues années consacrées pa r lui au soulagem ent de nos m isères physiques.

Aussi, vous serais-je obbgé, Mon­sieur, de vouloir bien inform er vos lecteurs que je ne suis pas candidat à l ’élection de dim anche prochain!

Veuülez agréer. Monsieur le Rédac­teu r en chef, m es ci-vüités.

E . So m m a ir e .

N o tre honorable concitoyen M. S o m m a ireren d hom m ageàla loyauté à la sincérité e t à l’expérience de M . le docteur Dureau, en cela il se fa i t V in terprê te de l’opinion publique, e t nous ne pouvons que l ’en fé lic ite r

M. Sommaire,Marchand de 'Vins en Gros

n’est pas Candidat.

RGCommandation particulière.Nous appelons d’une façon toute

spéciale l ’attention des électeurs sur un p réjugé qui a trop souvent cours dans le pubüc e t a donné beu à des ballottages dans des cas où l ’élu devait passe r au prem ier tour.

On se dit souvent : « Il n ’est pas nécessaire d’aUer voter, m on candidat est certain d’é tre élu, ce n ’est pas ma voix qui modifiera l’élection !

C’est un raisonnem ent d ’au tan t plus m auvais qui si trois ou quatre cents électeurs le tenaient, comme cela s ’est fréquem m ent produit, on pour­ra it avoir un baUottage.

P o u r ces m otifs c ’est le cas ou jam ais de répéter :

Aux urnes ! et pas d’abstention !En la circonstance vous vous ferez

un devoir de voter e t vous n ’oubberez pas que le Docteur Dureau, n ’envisa­g ean t que les services qu’on attend de lui, s ’e st em pressé de répondre au pre­m ier appel qui lui a été fait ; on ne peut ^ e lui être reconnaissant de la décision toute spontanée qu’il a prise p our être agréable à ses concitoyens.

En venant, dim anche prochain, dé­poser dans l’urne un bubetin au nom du Docteur Dureau, vous ne ferez pas seulem ent votre devoir d’électeur,m ais vous donnerez au Docteur si poptilaire des m arques de sym pathie e t de re­connaissance auxquebes il a certaine­m ent droit.

Nous ne comptons pas seulem ent dim anche su r un succès, m ais nous som m es persuadés qu’un grand nom ­bre d’électeurs p a rtagean t les senti­m ents que nous venons d’exprim er viendront les affirm er en accordant leu rs suffrages au

Doeteup DÜREAU,Candidat indépendant.

Electeurs filenllsiens ! Dlmanclie aux U rnes:

Pas d’aDstentlon!Votez pour le Docteur DUREAU,

Candidat indépendant. i

NoQs:aTon^publié,ilâiig hotre______numéroj un extrait déJ'arrété préféctoral - i ouyranV'Dne enquête, du 9 au;17 courant, sur le projet d’établissement: de la nou-'

: T elle l ig n e de chemin de fer d'Aulnay à Verherie, parSenlis.

Nous aVons omis d'indiquer qu’unT^is^’ tre. destiné â recevoir les observations et réclamations des habitants, est déposé â la Mairie de Senlis pendant la durée de Te n- qnête.

Nous pensons que nos concitoyèns ne se désintéresseront pas d’une affaire dont l’importance ne saurait leur échapper, alors même qu’ils ne seraient pas au nom­bre des expropriés. Dans la circons­tance, l’intérêt public égale, s’il ne le domine, l’intérêt particulier, puisque le projet comporte des déviations de cours d'eau, de chemins, etc...

Déjà, nous avons relevé sur ce registre d’enquête des considéraüons émises par Tün de nos plus dévoués conseillers inuni- cipaux. M. Cullru. qui a traduit sa protes­tation dans les termes suivants :

« Le soussigné, croit devoir appeler l’attention des services compétents sur les observations ci-après : ,

« En 1863, lors de la création de la ligne de Chantilly à Senlis, on supprima purement et simplement la communication directe du faubourg de Villevert avec la ville par le chemin de TOrquibée (actuel­lement, rue Carnot), et la tranchée fut ouverte sans le moindre travail d’art tenant beu de passage supérieur.

« Bientôt on s’aperçut de la gêne que ce nouvel état de choses causait aux habi­tants de Villevert qui réclamaient sans cesse l’établissement d’un pont ou, tout au moins, d’une passerelle à cet endroit de la voie.

« En 1885, ils obtinrent une satisfaction relative, par la construction de la passe­relle actuelle dont la Ville supporta la dépense, au refus de la Compagiûe du Nord.

« Depuis lors des maisons s’élevèrent sur le chemin de TOrquibée, maisons dont on peut apprécier Timportanceet la valeur,- « La passerelle, de l-SO de largeur, est

loin d’offrir une sécurité complète aux piétons qui la traversent, et Ton doit re­connaître qu’elle dessert très insuffisam­ment les communications de la Ville avec cette partie du faubourg de Villevert.

« Au moment où une nouvelle ligne va se créer, se confondant, sur le point en question, avec la ligne actuelle, nécessi­tant une augmentation de largeur de la tranchée ainsi qu’un allongement de la passéreUe, ne serait-il pas opportun qu’à l’Occasion des travaux de toute nature qui seront exécutés audit endroit, on substi­tuât à cette passerelle un pont d’une lar­geur en rapport avec la circulation dans cette rue Carnot? Ce serait la restitution d’un état de choses ancien qu’une erreur

'hall irai des : ressort

donne lestêaites ire ne p « |^ en dans ces procès.

(d’ignorer, qn’ jrqquête dn Dii bâtions iiidire.^ administration, d ’elle joge ntUes*sncune façon, intervenir oans ces procès

jCed est connu de to u t'le monde, t b s Id’insister. 4, , T- 'i’> Les emplovéSgoctroi.d:DngiWh.ij&|aymn Senlis. sont rétribués par là 'V in ee tp a r l'Etat. Ils ont deux missions bien distinctes en matières de perception, ils perçoivent las droits ènontesraurtarifrmoiii^al d’nna part; et pour le compte du l^ésor. Ht encaissent les droits très importants de consommation et d’entrée sur les alcools et de ce fait ils on t toujours été placés sous ie contrôle et la direction du Ministre des Üuances, n’en déplaise à la Oazette de l'Oise.

La Gazette de FOise s’insurge tout bonnement, le cas échéant, contre Tarticle 1384 du Code-civb, rendant civilement .respoq^l!B lppatn)n^ppa«t,.eÜ 4a’MYe contre les conclusions déposées an conis des débats par le Ministère des finances, représenté par un avoué et le ministère public, c’est donc s’insurger contre la justice et les lois et règlements de son

.pstys-Conclusion :1° Le maire ne peut intervenir dans une

afl'aire de régie.2° L’inculpé en la circonstance a béné­

ficié du minimum de la peine édictée par la loi I Que dit la Gazette ?

3“ Les employés d’octroi de Senbs, exercent leurs fonctions avec beaucoup de tact.

4° Les citoyens qui insultent les prépo­sés ou mettent entrave d’une façon quel­conque à la vérification de leurs voitures ou colis doivent être punisparqa loi égal» pour tous.

Nous mettons la Gazette au défi de prouver le contraire de ce que nous avan­çons.

A l’Ecole libre.Un nouveau succès.

Une jeune élève, Mlle Antoinette Mo- quet, vient de passer avec dispense d’âge son brevet élémentaire à Paris.

Elle a été reçue avec les ffébeitations des examinateurs.

Voilà un nouveau succès pour TEcola libre de la place Saint-Maurice, qui, d’ail­leurs, ne les compte plus.

Nous adressons de tout cœur nos féUci- tations les plus sincères à Mlle Marie- Antoinette Moquet et à ses excellentes maîtresses dont le dévouement égale les aptitudes pédagogiques.

A la Société de Préparatton Hliltalrç.

Aux récompenses bonorifiques obtenues

u uueia iuecnoses ancien qu’une erreur I P i t l o Æ b t t i r T d e ' s ê n l l ^ à ^ j i

r e S r a u j o “u rffL L “ ^ ‘*“®‘° ^ I d e .N o jp n f u i r v ie m d’fjoute?« Pour remédier à cette situation, il sem­

ble que la Compagnie concessionnaire de­vrait effectuer maintenant la dépense qu’elle aurait dù faire jadis pour la cons­truction d’un pont rue Carnot. Cette dé­pense serait naturellement comprise dans les fra is de premier établissement de la nouvelle ligne d’Aulnay à Verberie.

« Par ces diverses considérations, le soussigné proteste contre l’allongement projeté de la passerelle, et demande qu’elle soit remplacée par un pont d’une largeur à déterminer par le service du contrôle des ponts et chaussées.

oyon, ______________u ne le ttre de fébc ita tions du M in istre d â la G uerre , d écernée à M. M illery, p ro fes ­seu r de gym nastique à S enbs, pou r le z è la qu’il a ap p o rté d an s l’ense ignem en t d e la gym nastique aux m em bres actifs d e l a Société.

Le p résiden t de la Société féüo ite oa p récieux co llab o ra teu r q u ’est M. M ille ry , si avan tageusem en t connu â S en tis .

Au Hussards.Visite du Duc de W estminster.

Ce matin, grand branle bas au quartier, nos chamborants et leurs officiers sont en grande tenue.

Le duc de Westminster accompagné du Général de Lastours, commandant la 3“* division de cavalerie, passèrent le régiment en revue et assistèrent au manège à une reprise de sous-officiers.

Un certain nombre de chevaux de race anglo-arabe leur fut présenté.

Le duc de Westminster a été enchanté de la tenue impeccable de nos braves cavaliers.

11 a exprimé àM. le Colonel Caries de Carboniiières, les éloges et la joie qu'il a éprouvée de se trouver au milieu de sol­dats aussi disciplinés, qu’habiles cavaliers.

Cette visite avait un caractère absolu­ment privé.

Un bain forcé.Dans la m atinée de vendredi, M. R o b a it

fils se p rom enait en b a rq u e s u r l’é ta n g de la B iguë. a rm é de s a c arab in e , dans Tes- po ir de pouvoir tu e r q u e lq u es pou les d’eau.

P a r su ite d’u n faux m ouvem en t, M. Ro­b ert perd it l’éq u ilib re e t t o m b a à l ’e a u ; connaissan t la natafion il p u t heureuse­m ent échapper a u d an g er e t, ap rès av o ir re jo in t sa b a rq u e , il v in t re g a g n e r le ri­vage à la nage.

Maison Ch. Tonpet, L. Février* snccessenr. Actnellement Expo­sition des IVouveantés d’Hlver*— Dimanche 29 octobre. Magasins ouverts toute la journée.

M. Sommaipe,Marchand de 'Vins en Gros

n’est pas Candidat.

A l’aérodrome de la Vldamée.Vers le record de la hauteur.

L’aviateur John Verrept a tenté, mer­credi, le record de la hauteur sur mono­plan Borel-Morane.

Il monta à 3.2Ü0 mètres très ..rapide­ment, mais il a été arrêté à cette hâuteur par suite d’un phénomène qu’il nr peut s’expliquer. Il croit qu'il a été produit par la raréfaction de l’air.

'Verrept tentera prochainement à nou­veau ce record.

La montée et la descente ont eu lieu I en 1 h. 30.j Jeudi et vendredi, Chambenoît a acoom- j pli deux épreuves : la 'Vidamée-Soissons,

EtatielvU d e |S e iiU s.du 7 au 14 octobre 1911.

Décès.11. Mme Èsmérÿ. néé Marie Minard'. inanoit-.

vrière, 27 ans, m e . du Faubourg-Saint- Martin.

11. M. Valérie Floury. cultivateur, 60 ans, rue du Faubtmig-Saint-Martiu.

Mariage.14. M. Louis Duvernay, cavalier au 2’ hus­

sards, et Mlle CélinerFélicité-Mane Fleur, blanchisseuse à Senlis.

en vue d’ohtenir le brevet supérieur mili­taire.

Hier. Verrept a réceptionné trois appa­reils militaires.

AU CONSEIL MUNICIP.AL

L’inceadle de la. rue des Cordellers.

Vendredi, vers quatre heures du matin, la population était réveillée par des rou­lements de tambours et les appels déses­pérés : Au feu ! Au feu .' Un incendie ve­nait de se déclarer rue des Cordeüers, chez M. Morel, carrossier.

Les secours furent rapidement oTgani- pompiers arrivaient bientôt suru I IX i Fumpioio ttiiivoiBui luentoi sur

V 0 I6 Z p o u r Jn« l© 1 ) 0 C - | Isslieux du sinistre. Grâce à une bouche16- i ip n i i f â o i i t • d’eau ihS^aUèe devant l’atelier, une pompel-ru r 1/UreaU . . mondait le brasier.

N p i i i f P S n a « • « n u s t t n n à a > . second tuyau fut branché sur laiv© U llC a p d h . s Q il SU C C 6S bouche delà rue de la République, ce qui

est assuré, il n’a pas besoin pe«l?jtde préserver la demeure de M. le

de ma voix ! Wh z voler î Votez ! pour le Docteur

Dureau.

tvous des manœuvres de la dernière heure !

Volez p m rBUREAU !

capitaine Marland, située à proximité.Après deux heures de travail, le feu,

qui avait on aliment facile, put être oôm- plètement maîtrisé.

L’atelier, deux voitures et du m tiériel forent la proie des flammes, on estime que les dégâts se montent à environ 6.(XK) tr.,: couverts par une assurance.

On suppose que ie feu s'est déclaré dans un. tas de copeaux.

11 couvient de citer, en cette regrettable circonstance, le dévouement dont ont fait preuve la Compagnie de sapeurs-pompiers

; qui a vraiment su être à la hauteur-de sa tache, les hussards et les-oivils qui ont

. i prêté si généreusement leurs concours; ÊQ M. le commissaire de police, la gendar­

merie e t les agents qm firent tout leur possible ponr assurer un service d’ordre

■ difficile.

Police correcUoaneile de SenUaAudience d u i octobre.

Présîdenoiî de ,M. Zbys, président. Ministère public : M. L âchât, substitut.

Ctutntilly. — A différentes reprises an ootu» des années 1910 et 1911, Chauvin Arthur- Léopold, 51 ans, dit « Petit Paul », palefrenier à Chantilly, a entraîné dans un bois longeant la route de Gouvieux plusieurs fiBettes, et s’est livré devant elles à des actes répugnants. Se sachant déeouvert Chauvin quitta Chantilly au mois de juin dernier po-ur se réfugier en Belgique. Le 6 octobre il revint en France et se constitua prisonnier. Les débats ont lieu â huit clos.

Après avoir ordonné la réouverture de# portes, le Tribunal rend son jugement aux termes duquel Chauvin est condamné en n ié année d’emprisonnement.

Boulrelle Ferdinand, 21 ans, opposant à cinq jugements par défaut rendus contre lui les 12 juin et 10 juillet 1911, le condamnant eu un mois et dix jours de prison 250 fhincs d'amende, ne comparait pas.

Les peines sont maintenues.— Pour confectionner un manche de pelle.

Moulin Julien, 24 ans, terrassier à Chantuly, a le 28 août derhièr, coupé nn jeune aocada dans la propriété de Mme la baronne James d s Rothschild, à Gonvienx.

Il est condamné en 16 Iranes d’amende.Creil. — Employé comme homme d’éqnips

auxiliaire à la gare de Creil, P ierrti Louis, 4# ans, demeurant à Paris,- a dérobé le 2 o o to b e , plusieurs bouteilles de champagne. H en vida une en compagnie de C re ta ^ e Armand, âgé de 28 ans, qui pris de rém oras, alla raeoUtar à M. Poette, chef de géra, le vol-000111110 par PierreL

'Ge'fféVnîer'qnî ést ufirâpriti de justice s’en- téud ocDroÿer qUttre mois -dé prison'. Crërâgna s’en tire avec loO francs d’amende seulement e t bénéficie de la loi de sursis.

Crépy-en-Yalois. — Bien que ne possédant pas de permis de chasse, Berlin Léon, 58 ans, entrepreneur de travaux publies, a , le 18 sep­tembre, tué un lièvre avec nn fusil.

II attrappe-25 francs d’amende avec sursis. Senlis . .— Bostiié Lucieu, 21 ans. manou-

vrier ASenlis, convaincu de teatative de vol de poisson, dans Tétang de Mme Âlèpée, ré­colte, par défaut, fanitjours de prison.

" , U suivre).

Page 3: Les Déloires d'ene Eleetion Pimieipale Gomplémentaire D o ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_10_15_MRC.pdf · à Bel2 mication volontaire, en i La Villeneuvtî-soas-ThiiJf

t e d e C rell.*o ï.

Ignore, ou feint lerbal rédigé à l s Téral des Gontri> 1 ressort de cette Bonne ies soites Ire ne peut, eu pans ces procès,

monde. Inutila

lu n o Y iH e c o m m a I r la Ville et par I s bien distinctes J , ils perçoivent Im unicipal d'ona

e du Trésor, ils im portants de

^ SUT les alcools lo u rs été placés ption du Ministre

à la Gazette

, s’insurge tout l . contre l’article jian t civilement Ipant.eUe s'élève posées au cours E re des finances, I et le ministère Jirger contre la rlements de son

irvenir dans une

Qstanoe a béné- ^ine édictée par

Iroi de San lis, leo beaucoup de

ilten t les prépo- pne façon quel­le leurs voitures tp a r la loi égal»

ïte au défi de Ique-nous avan-

pi-e.\tccès.tutoinette Mo-

I dispense d’âgeBris.|e s félicitations

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Chronique Sportive.Les champions de la Jeunesse de Crépy.

Lors de la réunion des Patronages de l’Oise à Creil, dimanche dernier, les di­plômes de Champion de l’Oise ont été re­mis aux vainqueurs des épreuves athlé­tiques qui se sont déroulées à Crépy, le 7 mai 1911. Voici les noms des jeunes athlètes qui ont fait triompher les cou­leurs de la « Jeunesse ».

Vassal Paul, 18 ans, champion, 800 mè­tres plat ; 2’ 20”.

Tructin Albert, 18 ans, champion, 400 mètres plat : 1’.

Vassal Paul et Hénault Lucien, 18 ans, champions, ISOO mètres plat : 4’ 49”.

Viet Jean, 17 ans, lancement du poids, 7 k. 2Ô0, Ch' 8 m. 12, P ' R. 8 m. 42.

Rappelons aussi que c’est l’équipe de Crépy (Hénault, Tructin, Vassal, Berton) qui a remporté le challenge de la course des 3000 mètres (relais).

Toutes nos félicitations et tous nos en­couragements à ces vaillants sportmen.

C a i i t o i i _ ^ C r e i l .

C î F t E I J L »

Soirée de bienfaisance. — La soirée de gala organisée jeudi au soir, au profit des familles des victimes de la Liberté, par l’Harmonie Creilloise, a été un véri­table succès ; ainsi que nous l’escomp­tions, nos concitoyens se sont fait un de voir de répondre à la généreuse initiative prise par la sympathique Société.

Mme Boris, chanteuse légère de la Scala de Milan ; MM. Sacyal, diseur à voix du Petit Casino, et Delmas, comique de l’El­dorado, ont tenu tout ce que leur appari­tion sur l’afiiche promettait ; la partie cinématographique a été également parti­culièrement réussie, notamment les vues représentant les phases de la terrible catastrophe de la Liberté et les obsèques nationales de nos vaillants marins.

L’Harmonie, par sa brillante exécution des morceaux figurant au programme, ses fantaisies sur Mireille et Mignon, a fortement de son côté contribué au succès' de la réunion. La polka pour deux pistons. Merle et Pinson, de J.'Reynard, exécutée par MM. Delgorgue père et fils, mérite une mention toute spéciale, c’est toujours avec un nouveau plaisir que l’on entend ces excellents artistes, et enfin pour en terminer avec la partie musicale, citons le clou de la soirée (premier solo de concert) exécuté par l’auteur M. Com belle, saxo­phone alto, soliste de la Garde Républi­caine, directeur de l’Harmonie creilloise,. qui a été merveilleux et goûté à tel point qu’il a dû revenir exécuter une de ses fantaisies ; avec un tel artiste, les nom­breux amis de la Société peuvent être tranquilles, elle est en bonnes mains.

La soirée s’est terminée par l’attraction promise, le travail sensationnel d’équili- bristes, deux femmes et deux hommes re­marquablement forts.

A l’issue de la deuxième partie, M. Ro­bert Briquet, le sympathique président de la Société, a prononcé les chaleureuses paroles suivantes qui ont été au cœur de tous les assistants :

Mesdames, Messieurs,Lorsque fut connue l’épouvantable calas-

trophe du cuirassé La Liberté, qui mettait si cruellement la France en deuil, lorsque l’on sut que, parmi tous ces vaillants marins fran­çais, mon au champ d’honneur, la plupart laissaient des veuves, des orphelins, sans res­source; ou de vieux parents, sans soutient, un vif courant de solidarité s’est manifesté en faveur dé tant d’infortunes.

L'Sarm onie Creilloise connaissant les sen­timents humanitaires de la population de Creil, a pensé qu’il était de son devoir de prendre l’initiative d’un appel à la bienfaisance, qui permettrait à tous les gens de cœur de parti­ciper, dans'la mesure de leurs moyens, à sou­lager toutes ces misères.

C’est dans cet esprit, que, malgré toute la tristesse qui étreint mon eœur, l'Harmonie Creilloise o organisé cette soirée seui moyen, de parvenir au but poursuivi.

Mesdames, Messieurs, permettez-moi d’adres­ser des. remerciements à ceux qui nous ont particulièrement aidés dans notre lâche', tout d'abord à M. Comhelle, l’éminent artisté' qui dirige l'Harmonie Creilloise et que vous avez si cnaleureusement applaudi tout à 1 faeurë.--i’i .

L hommage que vous avez rendu â son grand latent nous vaudra ceriainement le plaisir de l’entendre à nouveau dans de prochaines cir­constances.

Je ne saurais trop remercier non plus, H. Bloch, l’aimable et sympathique directeur du Théâtre, du dévoué concours qu’il nous a prêté avec sa bonne grâce habituelle.

Quant à vous tous. Mesdames, Messieurs, qui avez répondu en aussi grand nombre à notre appel. Je dis, du fond du cœur, bien sin cêrement, merci... et merci, pour ceux qui font bénéficier de votre générosité.

En votre nom à tous, j ’adresse aux familles de nos braves marins disparus, l’expression de nos condoléances attristées. . . . .

Je salue la mémoire de ces nobles victimes du devoir... morts pour laPatrie .

Qu’ils dorment en paix, leur dernier sommeil, abrités par les trois couleurs, assombries de deuil, de notre glorieux drapeau français, tandis que nos cœurs battent à l’unisson, dans une même pensée de concorde et fie fraternité.

Ce discours a été comme il le méritait, chalenrèusement applaudi.

Pendant l’eatr’acte une quête a été faite par Mme Briquet conduite par M. Gom- piègne, Mme Delorme, dont le fils est un rescapé de l'Iéna, conduite par M. Bour- not, Mlle Raguet, conduite par M. Dam- brun, Mlle Iiesoard, conduite par M. Del­gorgue fils. Celle-ci a produit près de cent francs.

Aussitôt les comptes arrêtés, nous don­nerons les résultats de cette belle mani­festation de la solidarité. Nons ne voulons pas terminer sans louer le Président et lé Coihité de la Société de leur généreuse pensée, ainsi .qne tous les membres du Comité qui ont contribué au succès de celte soirée si brillante et si réussie.

Stànte-Cécüe. — C’est le 18 novembre prochain que ta Société fêtera la Sainte- Cécile, c'est dire que cette date sera impa­tiemment attendue par notre brillante jeunesse qui goûte si fort lé bal pleind’en­train et de gaité donné i cette occasion.

AacoeiatU» phüg teckm que.*^ A-Péc-, casion'de Vdüvertiae des cours de l’année 191i, TAsto^ation PbUotedsique (Htgir. niae, salle i w fêtes de l’â é t â dé 'Viue,’ IwHfi'l^ octobre, à 8 b. 1/3'dd' soir; nné soiréft'«wo le eoneours^e l'SstndianÜBa de Gïttl, qm f e n entendre jdnMenrs iQqr- ceaox et ctmqgrendra en outre une cause* rieêb dw-projections d’aotualitE' - - - x

Se neoveaux cours intéressants pour la popnladott' oeémère .de Creif seront pro-' leSaiê, c ^ année, à l’Assoeiation Philo- te^iüqné,' nous en donnerons le pro- griunibadsi» notre prochain, nnmére.

Naâsimee. — Nous apprenons avec plaisir-qeéJé. XâUrice Cainus, comptable a l'thnfte'Âdreaux, fràre du dévoné sacré- tajna dé Msdrie, vient d’être l’houretrcpepé- d un gros garçon qm, ainsi que sa mère, sa p ^ te â merveilte.

Vol. — La nuit dernière, un vol a été commis dans la propriété de M. Gallé, Cour du Château, des malfaiteurs se sont introduits dans le jardin et ont dérobé dans des hangars plusieurs outils de jar­dinage, notamment deux rafeaux en fer et un en bois, deux arrosoirs avec leur pomme, d’une contenance de 14 litres, trois crocs, une faulx neuve, une serpe, deux croissants à élaguer, une bride gar­nie et divers autres petits objets; ayant pénétré dans un autre jardin fermé, dont la clef était accrochée au mur, ils ont fait main basse sur des tomates et des pieds de céleri, et sont partis après avoir fermé la porte et soigneusement raccroché la clé. Une enquête est ouverte.

Bicycliste en défaut. — Le cycli.ste Ducerf, de Beauvais, sera’ poursuivi pour avoir circulé la nuit dans les rues de Creil avec une bicyclette dépourvue de lanterne.

Aveugle abandonné. — Un pauvre aveugle, originaire de Lille, qui chantait dans les rues, ayant été abandonné par son guide, s’est présenté au commissariat pour se faire rapatrier. Il a été vendredi matin conduit à Clermont, pour delà être dirigé sur son pays.

Association fraternelle. — La section de Creil de l’Association fraternelle des employés et ouvrier des chemins de fer français, donnera sa fête annuelle le samedi 21 courant au grand hôtel du Che­min de Fer à Creil.

Le banquet aura lieu à six heures du soir et sera suivi d’un bal.

Cinéma. — Programme du 14 et 15.f” Partie.

Au Cambodge, scènes comiques ; La Ruse de Petit Ramoneur, comédie ; Léontine en pension, comique.

Orchestre.Antonio Fascarini, film d’art italien, inter­

prété par MM. Sabatini, Foscarini, Bagni, le comte de Catarini, Mme Chiantorii, Téséra L’Ombrelle, scène comique interprété par Prince.

2 ' Partie.Attractions.3* Partie.

Pathé Journal. Toutes les actualités de la semaine ; L’Aigle des Roches, film d’art ; Drame de M. André Barde, interprété par Ravet, Spartivento, M. Hall, le comte de Ma- tioli (Mmes Tessandier, Jesualda, Pacitti, Angela, la petit Fromet Lucie ; Ah 1 Quel plai­sir d’avoir un chien, comique,

f i t Orchestre.La générositée du mari, film d 'art de Mailbe,

interprété par Luguet, le mari ; Angelo l’Amant, Mlle Eug. Vau, la femme ; Max ne se mariera pas, scène comique, interprété par Max Linder.

Bonsoir Retraite.Pianiste Mme Houssais.Eu supplément au programme les vues

prises de la terrible catastrophe de la Liberté et des obsèques nationales de nos vaillants marins.E ta t civil de Creil du 7 au 13 octobre 1911.

Naissances. — 8. Bullot Robert Louis. Publications de Mariages. — Entre M.

Guyé Georges-Louis, armurier, domicilié à Creil, et mademoiselle Gaudelet Clotilde-Dési- rée-Marie, sans profession, domicilié à Gin- queux (Oise).

Entre M. Duguet Edouard-Jules, domicilié à Creil, et Mademo selle Pruvost Alphonsine- Théodosie-Augèie, sans profession, domiciliée à Dargnies (somme).

Mariage. — 7. M. Allard Jullien-Désiré, ver­rier, et Mlle Baratte Alice, domestique, tous deux domiciliés à Creil.

Décis. — Houshan Edwards, palefrenier, âgé de 24 ans f S. Rideau Marie, veuve Giron, débitante, âgée de 62 ans ; 8. Brossot Edouard, manouvrier, âgé de 03 ans ; 10. Dnménil Char- lotte-Marie-Aimée, ménagère, femme TViart, âgée de 36 ans. -

Gouvleux.Nous apprenons que M. Fleury André,

fils de M. Fleuiy, maire de Gouvleux, sous-lieutenafjt de réserve au 2 ' régiment de hussards à Seuils vient d’être nommé lieutenant ,iu même régiment.

Nous adressons à M. le lieutenant Pleu- ry, nos sincères félicitations.

« lo a t a ta i r e .Société oupjière d’horticulture et de

tempérance cle Montataire. — La Société ouvrière d’horticulture de Montataire s’est réunie le 24 séptembre à deux heures pour sa séance mensuelle.■’H.' le Président William ouvre la séance

et donne la parole au jardinier professeur M. Beutéùs.

Le conférèhcier énumère les travaux à faire en cette saison. Repiquage et semis à effectuer en pleine terre ou sous cloches. Il doune des conseils pour l’arrachage dés pommes de terre, les soins à leur donner pour assurer la conservation, les précau­tions à prendre pour achever là maturité de certain légumes. Il indique enfin les travaux à faire.au jardin fleuriste.; plantes à rentrer, à repiquer et à bouturer. ,

Dans la dernière partie de sou entretien, M. Beulens, rend compte de sa visite aux jardins ouvriers des sociétés de Thiais et de Choisy-le-^oi ; il termine en rappelant ressources qne peut procurer aux familles ouvrières un jardin bien entretenu et ’utilité de l’œùvre poursuivie par là ligue

du coin da terre et du foyer ».Héritiers niécontents. — Lundi matin,

est morte à l'hôpital de Creil, une débi- tanie de la rpe des Nations, Mme veuve Giroux, qui y avait été transportée l’avant veille. Il paraîtrait qu’au moment de l’ap­position des s'çellés, les héritiers aüràient constaté la disparition de nombreux bijoux et d’une somme assez importante que la défunte avait en sa possession. Une partie des bijoux, notamment des montres au­raient été retrouvées entre les mains d’un familier de là maison qui. prétend que celles-ci fui ont été léguées par la défunte. Néanmoins,;'sur la plainte des héritiers qui se crôiënt victimes de détournements, une enquête est ouverte et il se pourrait que cette affaire ait des suites.

Un dernier écho des émeutes pour la vie'chère a . retenti dans le prétoire et la série est close.• La dame'tefebvro, née Polasky, dite

« Louise Michel », 29 ans, est poursuivie pour avoir, le 12 septembre dernier, ou­tragé uif détachement de, chasseurs à cheval.

An munèait' te plus grave de Témeute, Mme L efah^ .ien tie tnste spectacle de la chage, t a d â ta tie rs Unpment des pierres SUT .les â ta ip n rs qiji rfohqnâleht p u des éoujps de sàbÈe' é to ’estddraotcei^.scène re g re t ta b lq j^ Mme l«febvréhê put re­tenir (taexç& taitiôns: «Ahl. iessalàndsl Ies.-cocS6&s j al i

Bàêes nseiiltélle circonSt«Boe était-oe vriiimembiutwht ?

Lès-jupta^^nB àissaB t sans doute le pep de graiâté' do cas de 3bae’Lefêb«re, dont t a is«ii^i^n& sont â^pdhdànt bien établiS' '& lldntâiaire, ne Ip. CDhdaànnent qn’à SO f ra i ta d’atnéàf^,titedl8déifisç

A e c i t l e n t f ^ G6inel< de Creil, .aq taanx /Itta'

'Sl’est,~e« jd ^ 4 ^ d c f s fc . desbnuures/i la face doi gauche. iS jaurs de repqs.

. ^ a f t s ,

de-là 'maiit

Poumaire Jean, 24 ans, rattrapeur au même établissement, demeurant 48, cité Ouvrière, en poussant une tôle dans les cylindres a été atteint par la chûte de ses tenailles qui Ini ont fait une plaie contuse au gros orteil droit. Il devra également subir une incapacité de travail de quinze jours.

A llum ez vos lanternes. — Leroux Léopold, de Saint-Claude, qui a été ren­contré jeudi soir à 10 h. 1/2, par les gen­darmes, monté sur une bicyclette non allumée et dépourvue de plaque d’identité aura à répondre de la double contraven­tion encourue à ce sujet.

Beau succès. — Nous apprenons avec un grand plaisir que le jeune Edgard Go- defroy, de Montataire, élève de l’Ecole Normale de Beauvais, vient de subir avec succès les épreuves du brevet supérieur.

Nos félicitations au jeune lauréat et é sa famille.

Vilain personnage. — Nous relations dans notre dernier 'numéro, sous ce titre, les faits et gestes d’un sieur T... qui au­rait tenté d’entraîner un petit garçon dans le Chemin Noir et nous pensions que cette affaire n’aurait pas de suites, mais l’indi­vidu en question étant parait-il un oputu- mier du fait et plusieurs plaintes pouf faits analogues ayant été relevées contre lui il est fort probable au contraire que la jus­tice en cette affaire suivie son cours.

FAITS JLOCAUXBéthisy-Salnt-Pierre. '

Béunion. — Aujourd’hui dimanche à 2 heures réunion des membres de l'Union Mutuelle.

Vol. — Un vol de lapins a été commis au préjudice de M. Léon Lesueur fils,pen- dant la nuit ; une enquête est ouverte.

Policedum arché. — Il est interdit aux revendeurs de s’approvisionner sur le mar­ché avant dix heures du matin.

Bris d’ampoules électriques. — La municipalité promet une prime de vingt francs à qui aidera à découvrir l’un des auteurs du bris d’ampoules électriques.

Mariage. — Samedi a eu lieu le maria­ge de M. Edouard Luc avec Mlle Félicie Collas.

Carnet mondain. — Nous apprenons le prochain mariage de M. Lesueur Antoine Ernest, ex sous-officier, avec Mlle Re- gnault Pélagie.

Nouveau cafetier. — Le café du com­merce vient d’être repris par M. Ernest Desjardins.

Nécrologie. — Nous apprenons le dé­cès de deux bébés ; celui de M. et Mme A. Regnault, et celui de M. et Mme Cadot- Legros.

Nous adressons aux parents nos sincè­res condoléances.

Obsèques.— Les obsèques de M. Ailloli dont nous avons annoncé le décès dans notre dernier numéro ont été célébrées jeudi.

L’église était trop petite pour contenir les nombreuses personnes de Béthisy, des communes voisines et de Paris, venues ap­porter à cette honorable famille toute la lart qu’elles prennent au malheur qui la ’rappe.

La compagnie des archers dont M. Ailloli était connétahle, la compagnie des sapeurs-pompiers, la fanfare et une délé­gation de l’Union Musicale assistaient à la cérémonie.

Coye.Obsèques. — Nous avons relaté le tra­

gique accident qui a coûté la vie à un de nos concitoyens les plus estimés. Les ob­sèques du malheureux Bodeloche ont eu lieu mardi dernier, à 2 heures 1 /2 , au milieu d’une affluence considérable et visiblement émüe.

Les cordons du poêle étaient tenus par MM. Casse, adjoint au maire de Coye ; Mirville, négociant ; Toupet et Chaalon, conseillers municipaux de Chantilly.

Au cimetière, M. A. 'Vaast, maire de Coye, prononça le discours suivant :

Mesdames, Messieurs,Avait que cette tombe ne se referme, per-

mettez-moi de dire un dernier adieu à l’homme de bien qui vient de finir si tragiquement.

Gustave Bodeloche aimait son pays, il avait le culte du drapeau, il fit ses premières armes en Italie contre l’Autriche, sa conduite lui va­lut l’éloge de ses chefs, il rentre au foyer avec le grade de sous-officier. 11 eut une famille nombreuse, de ce côté il se montra à la hau­teur de sa tâche, fi éleva ses enfants dans des icincipes d’honneur. Je puis dire, à leurs ouanges, que pas un seul ne faillit à ses de­

voirs. ..11 avait l’amour de l’uniforme, pendant plu­

sieurs années il commanda la Subdivision des sapeurs-pompiers de la commune de Coye, et malgré son grand âge il aimait à se retrouver avec, ceux qui avaient été ses soldats et ,es amis. Conseiller municipal, puis adjoint au maire de la commune de Coye, il remplissait cette fonction avec tact, père de famille avant tout, les affaires locales se passtùent eh si-

II meurt à 74 ans victime d'une imprudence d’un condncteur d'auto.

A u nom du Conseil municipal, j ’adresse un dernier adieu à Gustave Bodeloche qui fui notre collègue et ami. _ .

A près lu i M. B issonn ier, lieu ten an t de la C om pagnie des S apeu rs-P om piers , p ro ­nonça le d iscou rs su ivan t : -

Au nom de la Compagnie des Sapeurs-Pom­piers . de Coye, dont li fut pendant plus de 23 années le chef aimé et respecté, j ’adresse en mon nom et au nom de tous les Sapeurs, au regretté M. Bodeloche, les symphatiesde la Compagnie ainsi que les sentiments de recon­naissance de ses anciens pour le bon exemple de fidélité e t de'dévouem ent pendant ses longues années de service. Au nom de la Com­pagnie, adieu, Monsieur'Bodeloche, adieii.

Enfin, M. Caillotih, ancien maire de Coye, se fit l’interpTète des amis du brave homme qui disparait si brutalement, pro­nonça le discours suivant :

Mon cher Bodeloche e t Ami,Je ne puis laisser fermer cette tombe sans

vous dire, an ndm de tous vos amis, un dernier adieu.

C’est à peine remis de l’émotion qui nous étreignit a la cruelle annonce de l’accident qui vous cloue dans ce cercueil, qu’il nous -faut vous quitter pour toujours.

Qui eflt'pensé te matin, en vous voyant par­tir s i dispos, que vous alliez vous réunir dans la mort, a l’ami que vous alliez accompagner an champ du repos.

L&destinée a de ces coups terribles e t cruels

ju’elle sépara ainsi brutalenient un père aimé e ses enfants, si heureux pourtant de lè rece­

voir, chaque dimanche, au milieu d’eux en famfile.

Vous aviez, mon cher Bodeloche, dans ce pàySÿ Testime de tous, et votre souvenir re s­tera éjravé daas nos coeurs comme celui d’un citojen boiiBéte, bon.etdévoué.

Peiponnèllemeht, je n’oublierai jamais que votui' avez été pour moi, comme chef de la Cohtagniê des Sapeurs-Pompiers, puis comme a ^ o p tt de la conuhuoe, un homme de bon éeiriell, un collaborateur de tousJes instants, iâujàdrs prêt â ’ la coneiliatian e t à rendre sarvicft. .................. . _

En vous adressant ce suprême adieu, c’est un devoir de reconnaissance que j’accomplis au nom de tous ceux qui gardent le culte du souvenir.

Au nom de vos nombreux’amis, je vous dis adieu, mon cher Bodeloche, adieu. (

Et la vue de tonte une foule recueillièTet émue a pu être pour la famille Bodeloche un adoucissement à la grande douleur qui la frappe.

V**Les membres de la famille de M. Bode-

loche remercie la Compagnie des Sapeurs- Pompiers, la délégation de la Fanfare de Coye, l’Union Chorale et toutes les per­sonnes qui, en assistant aux obsèques de leur regretté parent, ont aiijsi témoigné leur sympathie.

Crépy-en-Valois.Jeunesse de Crépy. — Dimanche der­

nier, un groupe de jeunes gens id la Jeu­nesse de Crépy s’est rendu à Creil, à la réunion des Patronages de l’Oise. Les membres de la deuxième section de dra- matiqpe, prenant part au voyage, ont interprété dèvant tous leurs camarades réunis une fantaisie en un acte : Les Pic- pockets du Secrétaire. Les divers rôles heureusement distribués furent inter­prétés avec succès par MM. L. Drugeon (Plume), 0. Joly(ü. Olif). Thierry (l’Agent d’Assurances), Harsaint (le Poète), F. Pi- part (Gourdampeau), G. Robert (l’Agent Lourdeau), R. Bertrand (l’Agent Boissec), R. Dauxerre (l’Agent Bambois).

Nos encouragements à ces futurs grands (longs) acteurs.

Mariage. — Lundi dernier, à onze heures du matin, en l’Eglise Saint-Denis de Crépy, a été célébré, au milieu d’une assistance aussi élégante que nombreuse, le mariage de -Mlle Renée Lobgeois, avec M. Marcel Carron,

La messe a été dite par M. le curé de Sacy-le-Grand, et la bénédiction nuptiale donnée par M. l’abbé Abraham, curé de Crépy.

Notre vénéré pasteur a fait l’éloge des jeunes époux en une charmante allocution et leur a adressé tous ses vœux de bonheur et de prospérité. Nous nous joignons àlui.

Pharmacie ouverte. — Demain diman­che, pharmacie ouverte : M. Cosette, rue Nationale.

Duvy.Pommes, poires e t raisin. — Plus

heureux que ceux de Vez, des voleurs se sont introduits dans le jardin de M. Le- moine Charles et ont pu enlever leur bu­tin sans être pris. Ils ont été habiles, c’est très bien ; mais, malgré leur précaution, la gendarmerie ne tardera guère à leur faire payer largement les 30 francs de pou'uies, poires et raisin qu’ils ont dé­robés.

Morieuval.Ainsi que nous l’avons annoncé , la fête

Saint-Denis a lieu dem ain dimanoh!-.A cette occasion, il y aura à l’hôtel

Saint-Denis ;A 2 heures, tir à la carabine avec lots.A 4 heures, poule au billard.A la même heure, bal.A 8 heures, bal de nuit.

Saiiilines.Fête. — Nous rappelons que la fête

palrouale, la Suint- Danis, a lieu aujourd’hui 13 octobre.

Séry-ÎHagneval.Triste découverte. — On a découvert,

dans un bois, sur le territoire de Séry- Magneval, lé cadavre d’un manouvrier, le nommé Zacharie Sauvage, âgé de S8 ans. Le malheureux s’était pendu ; mais la corde, sous le poids du cadavre, s’était rMnpue-et le corps était étendu sur les feuilles. La mort paraissait remonter à une vingtaine de Jours. Après les consta­tations, permis d’inhumer a été accordé.

On ignore le motif qui a poussé Sau­vage à se détruire.

Fièvre typhoïde. — La fièvre typhoïde, ^ui depuis quelque temps sévit à Séry, a ait une victime en la personne de Mme

Caron, dont les obsèques ont eu lieii lé 7 de ce mois. Nous adressons à M, Caron et à sa famille nos sincères condoléancas.

En présence des cas relativement nom­breux pour lé pays (une ■-Commission d’h descentes â Séry puits contamines vont être incessamment nettoyés et des mesures très 'sérieuses seront prises pour enrayer la maladie.

Verberie.Naissance. — Nous apprenons avec

plaisir que M. et M"' Dervieux, sont da- puis mercredi defniér, l i octobre, les heureux parents d’Uh beau et gros bébé, àuqûèT ils ont donné les noms de André- Marcel-Jules, la mère et l’enfant se portent bien. M. Dervieux, est gendarme à cheval de la brigade de notre ville. Nous adres­sons à M. et M“* Dervieux, nos sincères félicitations.

VlUéTE-Sabii-Framboiirg.Un suicide. — Jeudi Ploury Valéri, âgé

de 60 ans, cultivateur â Villers-St-Fram- bourg, qui manifestait depuis quelque temps des signes d’aliénation mentale s’emparait de son fusil et d’une cartouche enfermée dans une botte sur l'armoire, et se tirait un coup de fusil dans la bouche.

Au bruit de la détonation sa fille accou­rut, et terrifiée aperçut son père étendu au milieu d’une mare de sang.

Le docteur Delavallée de Pont-Sainte- Maxence lui prodigua les soins les plus éclairés, et ordonna de son admission à l’hôpital de Senlis où le malheureux est décédé. ■

Gourmandise Teutonne.Après avoir pris nos pendules,■Voici qu’ils.veulent le Congo 1 A ces prétentions ridicules Apposons notre fier veto.

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Un cocher valet de chambre de­mande place et apprendrait au besoin le service de l’auto, 80

01F Un jeune homme, sortant du Train des Equipages (certificat de bonne conduite) demande une place' d’aide co­cher ét à toutes mains. 81

S t F " Un homme marié, 38 ans, père de famille, muni de bonnes références, recommandé par maître, demande place de cocher, jardinier, poeteur de pain ou livreur. 82

0 ^ " Un ménage, 26, 22 ans, le mari cocher, la femme cuisinière ou seconde femtné dé chambre, demande placé, dé­butants de préférence à la campagne. 83

WIF" Un ménage, débutants, âgés de 30 et 26 ans, le mari valet de chambre, la femme cuisinière, ou basse-cour, deman­de place, de préférence à la campagne. 84

Assurances.La C* La Préservatrice, la plus an

cienne des d e s françaises. Accidents, demande un représentant à Creil. — Pro­duire références sérieuses.

OFFRESOn demande «ne cuisinière d’une

trentaine d’années, très sérieuse, pour maison bourgeoise .Très bonnes références exigées. • - 73

BÜT* On demande un charrdn marié pour-travaillé dans une ferme, logement, jardin, travail assuré toute l’année. 83

W tF " On demande-un bon charretier sérieux pour charroi de grumes. 86

On demandé une cuisinière d'une trentaine d’années, munie de très bonnes références. 90

0 tg “ On demande pour une ferme un homme marié, logé, non nourri, pour soi­gner chevaux, voitures et harnais de maîtres; la femme serait occupée à la journée. Bonnes références. 92

0 ! ^ On demande pour une ferme un ménage, l’homme charretier, la femme pour la cuisina, des maîtres et des domes­tiques-, basse-cour, ménage, etc. Bonnes références. ' 93

On demande deux bons ouvriers cbarrons et un tireur à la fraize. 95

On demande une jeune fille de 14 à .13 ans pour ménage et se mettre au courant du commerce. 96

■M" On demandé un bon ouvrier ver- nisseur au tour. 97

On demande pour maison bour­geoise, une bonne à tout faire, d’au- moips 18 ans, 33 à 40 fr.,.selon,çapacités, bonnes références exigées. ; , 98

ttig r On demande pour maison bour­geoise à la campagne, une personne sé­rieuse ; service cle 2 personnes. ■ 99

SMP On demande, femme de confiance pour aider â la direction d’un hôtel. Réfé rences de l " ordre;exigées. 100

j g ^ . O n demande pour Beauvais et â la campagne l’été, une jeune fillê de 18 â 23 ans, sachant coddre,' laver; repasser et unqieu le service d® table, ^nnesiréfé- rences. . - . - .

M F " ^n- demande une jeune fille de 17 â 18 ans, comme bonne â tout faire et sachant un peq.de cuisine. Bonnes réfé­rences exigées. 102

kf i HERNIEe t s e s r > a i i g e i l * s .

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La hernie est une des infirmités les plus terribles qui existent, car presque toujours elle finit par rendre incapable de travailler celui qui eu est atteint.

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ImprinrerisAdnMnù^stiyeetCthitaitanale9 - i i . plse» de rHôlftUAs-ÿliUavfUTlliST

Annonces Judiciaires.A»T. 1.

Étude de H* SAINTE-BEUVE,avoué à Senlis.

EXTRAIT

Jugement , da Séparation de Biens.D’un jugement rendu par le-:Trir

bunal civil de Senlis, le trois octèbré mil neuf cent onze» enregistré' ét

,. Au profit de Madame AlicerQêr mence Bnard, épouse de Monsiénr Emile-Nicolas Briard, serrurier, avec lequel elle demeure à Plailly (Oise);

Demahderésé'e, comparant et concluant par M* Sainte-Beuve, Aon avoué constitué ;

D’une part ;Et par défaut; contre Monsieur

Emile-Nicolas Briard, seirurier, de­meurant à PlaiUy I

Défendeur défaillant faute par lui d’avoir constitué avoué ;

D’autre p a rt;U appert :

Que la dame Briard a été déclarée séparée quant aux biens d’avec son mari sus-nommé.

Ponr extrait dressé par l’avoué

- A Senlis, le treize octobre mil neufcent onze.953 : Signé : SAINTE-BEUVE^

’ PBEMIÈK raSERTlON

' Aux termes d’iin contrat reçu par M* Ferry, notaire à Bétbisy-Saint- Pierçe.le dpHzç,qotobre mfi.neuf cent onze. Monsieur CHARTIER Gapriel- Marcel, boucher-cbarciitier, é t Ma­dame DELIMOGES Blancbe-Clémen- tine.iSOE épouse, de Trumilly, ont vendu à Monsieur COUDRAT Aiexan- dre-Lquis,; boucher, e t Madame DE- GENNÉ Albertine. son épouse, du nieate lieu, lé fonds dq eom- merctV de Bohchérie-charca- ' terle exploité par eux à Trumilly, avec entrée en Jouissance du vingt octobre mil neuf eent onze., Les oppositions, s’il y a lieu, se­

ront reçues dans les d>'x Jours de la seconde insertion, en l’Etude dé M* Feriy, oîi domicile a été élu. 951

Ant. 8.Les Actionnaires de la Socdét ;

d e s ;F é ra .’A -.C heval n iq a é 's die C r é t l . sont convoqués" eii assemblée , générale .ordinaira. pour le L und i trente Octobre m il n e u f cent onié, à ’ d eux heures du soir, au .Siège, Social, 15, rue de Strasbourg, a Paris.

ORDRE DU JOUR : Ratification de nomination d’admi­

nistrateurs.Lecture des rapports du Conseil

d’AdminiètratiOn e t du -Commissaire aux comptes.

Approbation de» comntes du- pre­mier exercice, clos le trente juin mil nehf cent onze.

Fiomination d’un Commissaire aux comptes.' . ' ■ .-1

Et en assemblée générale ex tra ­ordinaire, le même jour , à trois heures.

ORDRE DU JOUR : ' ' ' Changement du Siège Social.

949 LeConseil d ’A dm inistration.aiafl*..» •.■UW'KNI «yiW”

Abt. 4.

C e s ^ Q n ' ;; jide Fonds de Commerce.

J;,-.? ' «î ; ; ,, DEUXIEME, m s æ i io j f ,

. Suivant convenfions intervenue», entre les parties. Monsieur Emile DUCUATEL, demeurant à Monta­taire. a vendu â Monsieur Ferdinand LEFEVRSi.- éoicier„et .Ijadame M qs-' guérite. QUENON, sa iem n^ 'dom i­ciliés’ au 'mèiné lieu,, le fohcb d’épicerie, mereode; ehàas- sores et 'déldtSHit de bèis- s o n s par mrt.explolté A Montataire, rue victop-HugO; 52.

P r t a ‘‘.d C ^ s s ta ib n -le "qœ&âïe ( septembrç,mil neuf çent.pnze.

Elertton de', domicile c h à .Mon­sieur Daussin, â Montataire, pour les oppositions, s’il y a lieu.

< i . . Pour inseition -iA féV R E .

-Hoosieor te l Moi-^ u r »,et lùdjqpS E)(ER A 8il;,ô .|^: e tad s:ae .^eapnaeree .'dé,'s# ta M iel, i^ataxiraot qu’a'raploiié ' aNtntentt-de-Haudoaiai'plkca delà

..jBour lé.s uppôeitions s'adrrâser» ' ^ y ùflBtgimtasMdifmélfraMbrise,. £

’ à VUtaàrisis (Seine'-ètaarne).897 DÉBSaSE.

i t -

Page 4: Les Déloires d'ene Eleetion Pimieipale Gomplémentaire D o ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_10_15_MRC.pdf · à Bel2 mication volontaire, en i La Villeneuvtî-soas-ThiiJf

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É tB esraé « • - G e o r S : ® » * ^ ^ » fiwncié e« droit, avpué à Senlis,

-*\if 'tOj'Toé'SaiBfc^fel^Fô,-»y ■ SUGC6 S6 6 UT d ô M®' L ç ^ IK 'X ,

et de « • BAJ-ÉZEAU3^ notaire ; à ChanfeUy. -

VENTE SUR UOTATION- DE •

Ü I ^ E 'M A IS O NSaint-Masdmin;

;) •■ »vee. CoùT, J a rd in ,2 p e t i ts E n d r o its so u terra in s ,

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des vUleet brrôndissement de Senlis. ! ' ■ — ■

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à. S e n l ^ en l'Hôtel des Ventes,

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I/adiudiiation= aura l ie s -Je M E R - Ç R ë D I 2 5 O C T O B R E l O T i , A e ^ l m c t e s d u m aiiB, en rafttde

ZEAüX, notaire à Chantilly, cpm- Hua à ,cet eflèt. . ‘S'adresser \pour les renseigne­

m ents :A M ” G e o r g e s M O R A N D ,

avoué à Senlis, poursuivant la vente ;E t à ‘M* ’H e n r i B A C É Z E A tlS ^

n d ta îre i Chantilly, rédacteur e t' dé­positaire du « th ierdes'charges- "

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on droit, avoué à Senlis,10, m e Saint-Hilaire, suecesseur

deMiLEViEEX ;fi* H e t u t B Â E Ë Z E A liX , notaire

VENTE SUR UCirATIONDE::-,- • ;

U N E M A I S O Nsituée & C H A N T n X Y ,

r u e d e C re il. n° 2 2 , , iTK i im i ï i i ^ 'e t t é ^ i id a B G e s

L’adjuScaWoh'àaVa lieu lé SffiR- CMEDl 2 5 OCTOBRE 1 9 t l ,à d & Kearer 'dt-deKHe- du en l’étude e t par le ministère de M‘ ^ lé z ea u x , notaire A (Biahtilly, coiminiAè cet efiet.' : S 'adrtsseri-pour les renseigne-.

menta.t'^^'K» ; - ‘iA M* G e o r g e s MORAND,

avoué'A SeBÜSrPOMrsuivaBtla vente;A M* 8aîute-BeuTe,:«voué-*à

Senlis, présent'A la te n te ;Et à M° R e n r i B a léz ea u x ,

notaire à Chantilly, rédacteur et dé- positâiré du càlrierdes''ehki'ges; : '

Études dO 'M ^'Gouls ESCAVY,avoué à Senlis,

e t de M' THIROCIN, notaire' à Acy-eurMultien.

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M A i& o is ravec iâTâin et Hangar

sise A ACY-EN-MÜLTIEN,rue du Pieu ou rue des Sœurs.

L’adjudication aura lieu le DIMAN­CHE 15 OCTOBRE 1911, àd eu x heures de Vaprès-ùniti, en l’Etùdé ét par le ministère de M* THi&OÜIN, notaire h Acy-en-Mul- tien, à cet efiet commis par justice.

S 'adresser pour tous renseigne­m en ts :

1» A M* Louis ESCAVY, avoué poursuivant h SenUs ;

2* A M 'T h i r o u in , notaire àAey- en-Multièn, rédacteur et dépositaire du cahier des charges ;

3° À M* Baudet, avoué co-licl tant à Senlis,

Étnde' de M“ DÉLAtÎNAY, notàirè à Senlis.

'de M ® ,M aurice LENOIR,huissier à Sèiilis (Oise).

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C ÿ 932

Observation de M m e CalvetM m e TALV ET. n ée Isa b e lle FRANÇOIS, q u e re p ré se n te la ph o to g rav u re cl-

CftrtlV’rt.c s i t ir i- in a ire y iîC h â le a u -T liîe n -y lA isn e ^ e tlu lb ito lS U ru e de.Vaiig»------------------ --------------- ra rd j P riris (lô ’)E lle a v a iU o u ssè lo a le sa

Vie* e t h 'a\*ait ja m a is ét«ybjfen fo r te . A u p rin te m p s 19lü. à K su U c ^ ù n c h a ü d et

sa toux d e v in t p lu s ircq o e ù tè ' ; la m a la d e com m ença h transpii;er-ïîi n u it et à h ia ig rir . D ès p o in is d o ù r6 uré\ixappfi'r r u r e u t d a n s les cô lés. M m e CALVEEeirt à ce tte ép o q u e u n v o m isse m en t d e sang a b o n d a n t :c e t te h 'ém oplysic se p ro lo n ­gea p e n d a n t S jo u rs .Q b an d e lle v in t à m a c o n su lta tio n le 3 se p te m b re 1910, j e lu i Irtilivai d e s lé s io n s tubcrc tx leu 'sesdu 2 * d eg ré a u n iv e a u d u tie rs , in fé r ie u r d u po u m o n d ro it e n a r r iè re . D e pilps, elle a v a it d e la d y sp ep sie . I l fu t n écessa ire d e s o ig n e r en m em e te m p s le p o u m o n et r^ s to m a c . B ien tô t les d igestions s’am ê-

■ ■ ■ ■ ■■ ■■ ____ H o rère n t à l 'a id e d u tra i te m e n t q u e j ’em ­p lo ie corv&'cceKc.uiTeclioi:. E iiün , le 12 jm n 1911,Mme CAL\T2T ô t a i t ^ u ^ e d e s a tu b e rc u io a c p u lm o n :u rc , en icc à m o n tra ite m e n t a b a se d E U x ir Du- pej'iroùx. E lle m ’a p e rm is d e p u b lie r so n cas d a n s le b u t «< dre m u e a ses Semblables. D octeu r E u -e n e pO PEY RO D X ,

S, sq u a re d e M essine, P a n s .K - i '. - S i l a tu b e rc u lo se fa it ta n t d e v ic tim es, c 'e st p a rc e q u e les m éd e cin s

n e sa v e n t p a s la so ig o cr. L 'fü ix ir D upeyroux , a b a se d e creo so te Vraie de h ê tre , io d e , ta n in , g h ’c é ro p lio sp lia te d e ch a u x , g u e n t le s lés io n s tu b erc u ­leu ses e n p ro v o q u a n t la fo rm a tio n d ’an tito x in es d a n s le sé ru m san g u in . — T r a i t e m e n t n o n v e a n d c s T u b ercu lo ses p u lm o n a ire , g an g lio n n a ire ,a r tic u - ^la ire ,la ry n g é e ,p é r ito r ié a le ,c u ta aé ee to sseu s;e ,B ro n c h ite scu ro m q u fis ,A sth in ^ 3E m p h y sèm es, C a ta r rh es , G landes su p p u re e s o u n o n . A rth rite s , r u n ^ u r e ^ b lan c h es . S u p p u ra tio n s , P la ies de m au v a ise n a tu re . M al d e P o ^ L a ^ g S tç s , ^ E x tin c tio n s d e vo ix , FTiaryngites, L u p u s , R h u m a tism e s tu h erc u lL eD -D ■■ “ * ----------- ------------dan c e .d ^ a n d e r un* re ndez-v 6 u r — Les d h to u v ra ie s d e th é ra p e u liq ü e e td ’byg iène _ d u D ' D u p e v ro u x e t u n q u e s tio n n a ire so n t envoyés g ra tis c l ira n c o s u r g . d e m a n d e .— L e p e ti t flaéon d e 1 fr , 5 0 e t lc m o y en flacon d e Z fr . 5 0 d ’E l u i r g D upeyi'oux so n t en v o y é s fraucp .à .dom ic ile c o n tre tim b re s ou m a n d a t. — L ire 3 , d im a n c h e p ro c h a in , à c e tte page , l e c a s d e M m e V aslin-G odet. p

S a

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M A I S O Ns ise à

dans laquBlI^ était.explo&é, un fonds de boucher (Tdïisdh HtBERi),

A V E J V n a E ! 'par àdJu)l)cfitlcÀ>) ^

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en l’Étude de Hc DUMOULIN, notaire à La Feité-Uilon. 948

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S’adresser à M. VERGNOUX, S Acy-en-Multien-(Gise). 942

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pouvant servir de betteraves fourragères.

S’adresser à M. CHAMBELLANT, au Poteau. 947

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à une heure très précise, j p a r suite de décès,e t j ^ s ^ a n t s , m ÿ a lieu, | p i a n o , m arq u e K rebs.

par le ministère de D e la u n a y » ; U n H a u tb o îs ,m a r q u e .T r ie b e r tE , >. 3 ! U n V io lo n » m arq u e Fo rsoh .

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à Pont-Sainte-Maxence (Oise).

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