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La estética se concibio como un discurso general del arte ; pasar de las poeticas sobre como hacer
(manièere à faire) arte a intentar encontrar una categoria del entendimiento para este. La filosofia
entra en aquello que parecia su contrario, aquello que no solo no guardaba ningun conocimiento ;
ninguna verdad ; pero que tambien enganaba : Y a la vez ; en su base ; la belleza ; se encontraba el
camino del conocimiento que tenia que patir de este mundo sensible. La estetica moderna ; al
buscar el lugar de la estetica en un sistema filosofico, redime la posibilidad del conocimiento
sensible. De la posible universalidad de la particularidad. Verdadero o no, Rancière busca las
concecuencias y las causas politicas del pensamiento. Toda postura teorica, la posiblidad de pensar
algo se da porque ese algo se ha hecho visible y hara algo visible. La estetica se traduce a una
manera de ver las cosas y no a buscar la esencia de las cosas. Pero las cosas estan ahi. La
palabra verdadera , el discurso, el dar sentido a los sonidos deviene un regimen, una imposicion
sobre los sentidos y el pensar que dicta un contexto como interactuar con las cosas. La estetica,
daba una esencia al arte ; buscaba la idea platonica del arte en el que todo objeto artistico
pariticpaba. Una idea excepcional, en la que ningun vestigio sensible podia ayudar a clarificarla y
definirla porque justamente trataba de lo sensible. Una idea que permitia pensar otro mundo , al
genio que no participaba en las reglas del mundo, en objetos que tampoco y que por lo tanto, en su
legitimacion, al encontrar su esencia se podia pensar otro mundo y vice versa. Estos objetos eran
pensados porque otro mundo podia ser pensado .
El arte como el sitio de la accion politica ; la accion de verdad ; la que hace cambio. Pero que es el
cambio y que objetos crearan espacios ; como y a partir de que se crean los regimenes de
visiblidad. El surrealsimo como ser arte-representacion y politica-accion al mismo tiempo. La
palabra como accion ; rezar. Pero el arte puede simplemente hacer visible lo que ya vemos,
cubrirnos lo que no se quiere ver ¿esto es arte o no?
Cuando las palabras no se refieren a las cosas el problema de la esencia deviene en el problema de
la política. Ya o se trata de buscar algo que unifique sino que construir dispositivos que hagan
visibles las cosas. No construimos del todo las cosas, sólo se hacen visibles. Pero quién y cómo y
qué implica cada esencia? Si hacemos al mundo politica; todo discurso implica una politica una
interaccion entre personas un partage sensible y hacer sensible. Pensar los discursos
materialemente; todo esta posicionado en un mundo con consecuancias.
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L’esthétique a été conçoit comme un discours général de l’art. À différence des poétiques ou traités
artistiques précédentes, l’esthétique ne voulait pas faire une série de normes pour la création
artistique, sinon d’énoncer un discours qui précède et possibilité la existence même des œuvres
d’art. C’est-à-dire, déterminer la condition de possibilité de l’art. L’art (qui a été condamné
ontologique, épistémologique e moralement pour Platon puisque il était séparé par trois degrés de la
vérité) est réhabilité comme une source de connaissance et comme une chose pour être pensée. De
cette façon, la philosophie entre dans un terrain interdit, cette lié a le décevant et en constante
change, cette du sensible. Et, avec Kant, cette nouvelle connaissance jeu le rôle de charnière dans
son système philosophique. C’était ce de trouver l’universalité dans la particularité, l’objectivité
dans la subjectivité ; le lien entre connaissance et action, ce de trouver le limite de l’entendement
qui propose des concepts et finalités. Mais formuler un discours sous lequel on pourrait mettre tout
création artistique est, comme même, problématique. Kant a déjà vu ça lorsqu’il établit que tout
jugement de goût est subjectif : il n’y a pas des traces objectives dans le monde qui peuvent clarifier
ce discours semblant à une idée platonicien. C’est-à-dire il n’y a rien dans le monde (aucun fait ou
chose) qui puisse aider à la tache de l’identification de l’art, mais à la fois il y a prétentions
d’universalité.
L’esthétique est, donc, un discours contradictoire à cause de le même fait d’être un discours
sur ce qui ne peut pas être discursif : la sensibilité. La sensibilité, éphémère et instable, ne peut pas
être fixée par un discours sans perdre son essence. C’est Hegel qui propose effacer cette
contradiction à travers de son acceptation ; dépasser le discours contradictoire pour énoncer un
discours sur la contradiction. Celui admettait l’impossibilité d’adéquation de la contradiction de
l’esthétique, et par conséquent l’impossibilité du même discours énoncé. Pour résoudre la
contradiction qui donnait une essence à l’art, celui devait devenir en philosophie, lequel
impliquerait le dépassement du sensible et la fin de l’art. Si chez Kant la contradiction a été reçu (le
beau naturel) chez Hegel la contradiction a été construit (le beau artistique). Mais la contradiction
restera là si la sensibilité (qui ne peut pas être dépassé) reste. L’esthétique Hégélien finit pour
éradiquer l’art puisqu’il lui condamne à n’être pas adéquate à la pensée. Le deux, Kant et Hegel
voudraient trouver une essence de l’art, soit, donnée ou crée.
Mais Rancière transforme le problème de l’essence à un problème politique. Lorsqu’on
trouve que chaque discours qui essaie de trouver une essence de l’art ne peut pas le comprendre
complètement, on abandonne tout prétention de créer un discours qui prend comme objet l’art pour
rester avec un discours historiciste. Donc, Rancière se pose sur la volonté de créer un discours
qu’unifie l’art (le discours de l’esthétique) pour le prendre comme un objet historique placé dans le
devenir. Un devenir historique englobant toutes les particularités des contextes; donc on passe de la
généralité des discoures à la particularité du devenir. Ce mouvement révèle la particularité des
discours, son impossibilité d’englober toutes les itérations présents, passés et futurs de son objet
discursif. Les discours deviennent choses placées sur le monde et, pourtant, ils ne sont plus des
mots pour ces choses. Comme choses dans le monde ils impact sur le monde, sur les sociétés et vice
versa. Le discours esthétique se transforme en une façon dans laquelle les sociétés conçoivent son
création artistique et plus amplement son sensibilité. C’est-à-dire, pour Rancière il n’y pas un
concept commun ou un discours de l’art, sinon qu’un « régime historique d’indentification de l’art »
ou « un dispositif qui les rend (les arts) visibles ». En conséquence, l’art est une action sur le
monde, une « redistribution des places et des identités […] redécoupage des espaces et des temps,
du visible et de l’invisible, du bruit et de la parole »1. Rancière fait de l’art une chose
intrinsèquement politique, c’est la ouverture des nouveaux façons de concevoir le sensible. L’art est
la possibilité de repenser nos rapports avec la sensibilité, de briser des façons de percevoir le monde
qui légitime des pouvoirs. Donc, la sensibilité n’est plus quelque chose donné, sinon que construit
par (parmi autres choses) l’art.
L’art a été délié du génie ou de l’Esprit, c’est-à-dire l’action transcendante se transforme en
action immanente humain dans le monde. De le problème de la essence on passe a au problème du
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politique puisque quand donner essence est une activité humain dans le monde et la historie, cette
devient en politique. Les réponses à la demande « qu’est que ce ? » ont la possibilité de reconfigurer
la chose publique. « De tout temps le refus de considérer certaines catégories de personnes comme
des êtres politiques est passé par le refus d’entendre le sons sortant de leur bouche comme du
discours »2. La différence entre bruits et discours est l’introduction de ces bruits au commun. Cette
entrée est celle que l’art redéfinira. Le surréalisme a compris que chaque œuvre est une intervention
dans le terrain politique, dans la structure et la reconfiguration du commun. Néanmoins, ils ont
maintenu une identité de l’art, une certaine essence séparée du monde, plus correspondant aux
discours esthétiques modernes que ce de Rancière qui cherche traiter ces discours comme objets. La
identité de l’art et son séparation du monde supposé tant par la esthétique moderne comme les
surréalistes est celle que selon le texte n’est pas donné mais construit et relative au commun.
Platon no permite la política el repensar una estructura porque la estructura es dada
Cuáles son los problemas de que el arte sea un valor polítco?
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