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A TRAVÉS Arte y naturaleza ˝ ...ENFOCANDO LO SOSTENIBLE Y LAS RELACIONES DEL TIEMPO COMO PROCESO NATURAL QUE CONFORMAN UNA OBRA ARTÍSTICA EN LA NATURALEZA. ..˝ A. DE ALMEIDA ARTE SOSTENIBLE

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Depuis la rupture moderne avec la nature, ce n’est qu’en ce moment que nous recommençons à revoir notre relation avec la nature et avec le paysage. Le territoire est un parfait champ de questionnement entre l’homme contemporain et sa réalité technologique, focalisant le développement durable et les relations du temps comme un processus naturel formant une oeuvre artistique dans la Nature. Retourner dans la nature est une tentative de pouvoir se récupérer de la séparation provoquée et résultante de notre modernisme.

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A TRAVÉSAr te y naturaleza

.̋..ENFOCANDO LO SOSTENIBLE Y LAS RELACIONES DEL TIEMPO COMO PROCESO NATURAL QUE CONFORMAN UNA OBRA ARTÍSTICA

EN LA NATURALEZA. ..˝

A. DE ALMEIDA

ARTE SOSTENIBLE

Page 2: Antonio de almeida - A través

Antonio de Almeida

NIUB: 16130236

[email protected]

TFGProyecto final de grado

A Través - Arte Sosteniblehttp: / /antonidealmeida8.wix.com/atraves

UBUniversidad de Bellas Artes de Barcelona

DepartamentoEscultura

TutorJavier Lozano

ResidenciaCACIS

Centre d’Art Contemporani i SostenibilitatEl Forn de la Calç

Cacis, es una organización privada. Orientada a la investigación y difusión del arte, del pensamiento, arquitectura y ciencia donde el desarrollo sostenible y el respeto por el planeta forman las cuestiones y

planteamientos en los que se basa el programa y filosofía del centro.

Cacis fue Fundada en 2008 y esta ubicado en el antiguo horno de cal, localizado en la población de Calders, Cataluña central.

Gran parte de este proyecto ha sido remodelado y ganando forma a partir de esta experiencia en el territorio de Bagés, durante mi residencia de 15 días en el Centro .

Algunas de las piezas o elementos que la conforman, serán devueltos a su lugar de origen, donde permanecerán y seguirán su curso natural, mientras descansan en la cima de una gran roca.

Otras obras se instalarán y se expondrán temporalmente en otras localidades a causa del uso de otrosmateriales que la conforman y que pertenece por lo tanto, a otra clase de lugar.

www.cacis.catCacisforndelacal.blogspot.com/

Teléfono938309159

[email protected]

17 de Julio de 2014

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Antonio de Almeida

NIUB: 16130236

[email protected]

TFGProyecto final de grado

A Través - Arte Sosteniblehttp: / /antonidealmeida8.wix.com/atraves

UBUniversidad de Bellas Artes de Barcelona

DepartamentoEscultura

TutorJavier Lozano

ResidenciaCACIS

Centre d’Art Contemporani i SostenibilitatEl Forn de la Calç

Cacis, es una organización privada. Orientada a la investigación y difusión del arte, del pensamiento, arquitectura y ciencia donde el desarrollo sostenible y el respeto por el planeta forman las cuestiones y

planteamientos en los que se basa el programa y filosofía del centro.

Cacis fue Fundada en 2008 y esta ubicado en el antiguo horno de cal, localizado en la población de Calders, Cataluña central.

Gran parte de este proyecto ha sido remodelado y ganando forma a partir de esta experiencia en el territorio de Bagés, durante mi residencia de 15 días en el Centro .

Algunas de las piezas o elementos que la conforman, serán devueltos a su lugar de origen, donde permanecerán y seguirán su curso natural, mientras descansan en la cima de una gran roca.

Otras obras se instalarán y se expondrán temporalmente en otras localidades a causa del uso de otrosmateriales que la conforman y que pertenece por lo tanto, a otra clase de lugar.

www.cacis.catCacisforndelacal.blogspot.com/

Teléfono938309159

[email protected]

17 de Julio de 2014

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A Través - Arte Sostenible

Antonio de Almeida

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A Través - Arte Sostenible

Antonio de Almeida

Page 6: Antonio de almeida - A través

INDEXAbstract

Resumen

Descripción de la obra

Metodologías, materiales y técnicas

Idea

Mensaje Contexto histórico e influencias

Artistas

Procesos I

Procesos II

A través - Arte y SostenibilidadObra final y articulaciones del processo estructural instalación

Conclusión

Bibliografía / Webgrafía

6

8

10

12

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14

16

18

20

40

50

62

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INDEXAbstract

Resumen

Descripción de la obra

Metodologías, materiales y técnicas

Idea

Mensaje Contexto histórico e influencias

Artistas

Procesos I

Procesos II

A través - Arte y SostenibilidadObra final y articulaciones del processo estructural instalación

Conclusión

Bibliografía / Webgrafía

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14

16

18

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Page 8: Antonio de almeida - A través

À TRAVERS

Depuis la rupture moderne avec la nature, ce n’est qu’en ce moment que nous recommençons à revoir notre relation avec la nature et avec le paysage.

Le territoire est un parfait champ de questionnement entre l’homme contemporain et sa réalité technolo-gique, focalisant le développement durable et les relations du temps comme un processus naturel for-mant une œuvre artistique dans la Nature.

C’est un processus de construction qui est observé et étudié à travers une structure prenant une forme croissante finie et indéfinie. Ceci convertit la recherche en une réelle existence à partir de l’expérience.

La matière organique, présentée de façon sculpturale, sert à nous montrer les choses entre la rencontre du créateur et de la création. Les reconstructions sont perçues à partir des processus créatifs et des activi-tés effectuées sur le terrain qui, finalement, sont des œuvres parallèles plus intuitives, ce qui nous permet de mettre une forme à l’œuvre finale.

Le contact avec la nature contemple et évoque les sens du corps, de l’esprit, du sentiment, de l’intuition, de la raison et de la marche, qui est bien sûr inévi-table ; le résultat est naturel.

Je récupère des fragments d’arbres morts, je les analyse géométriquement et je pense dans un certain ordre, qui, apparemment se présente chaotique.

Les empreintes sur ces corps révèlent le temps passé, c’est une inscription de leur propre identité qui se forme naturellement. Ce sont les métaphores du temps, une abstraction de nous-mêmes comme des corps sensibles.

La nature nous invite à percevoir, à jouer, à être en relation avec les moyens primaires, la culture, l’arti-sanat, ainsi que les immenses et simples possibili-tés techniques de constructions avec lesquelles se développe, avec intelligence, la pensée humaine.

Reconnecter les relations avec la nature, c’est re-faire notre histoire avec le terrain, pour essayer de rapprocher notre séparation.

À partir de mes pensées mais aussi de la croissance naturelle des plantes, mon jeu constructif et répétitif trouve une solution de design structurel et sculptural où nous pouvons voir à travers elle, notre propre na-ture vue sous un autre angle. Le modelage qui se forme esthétiquement de façon naturelle avec l’iden-tité primaire et organique de la matière, a des possibi

lités plastiques infinies.

Pendant le processus, je marche, je transpire, je teste les limites de mon corps, de mon esprit et de ma perception.

Je découvre un symbolisme inévitable, je développe l’ouverture des domaines d’investigation, de récupération, de concentration, de l’esprit, de la conscience, des problèmes environnementaux et surtout le fait de surmonter notre échec contemporain essayant d’y remédier et de trouver une solution pour l’écologie.

Retourner dans la nature est une tentative de pouvoir se récupérer de la séparation provoquée et résultante de notre modernisme.

Mots-clés

Sculpture, la nature, le territoire, durable, marcher, l’expérience, les processus, la décomposition, bâti-ment, structure, étant, le temps, fini, infini, la répéti-tion, la vie, la mort, la construction, l’identité, orga-nique, inorganique, l’unité, le bois, le sens, l’intuition, la raison, l’art, la photographie, l’environnement, le paysage, split, des abris, technique, technologie, le corps, l’esprit, la matière, naturel, Fibonacci, mo-dules, la séquence, la récupération, la ville, la forêt, la dimension, l’assemblage, manuel, l’intuition ...

keywords

Sculpture, nature, territory, sustainable, walk, expe-rience, processes, decomposition, building, struc-ture, being, time, finite, infinite, repetition, life, death, construct, identity, organic, inorganic, unit, wood, sens-es, intuition, reason, art, photography, environment, landscape, split, shelter, technical, technology, body, spirit, matter, natural, fibonacci, modules, sequence, recovery, city, forest, dimension, assembly, manual, intuition ...

Palabras claves

Escultura, naturaleza, territorio, sostenible, caminar, experiencia, procesos, descomposición, construc-ción, estructura, ser, tiempo, finito, infinito, repetición, vida, muerte, construir, identidad, orgánico, inorgáni-co, unidad, madera, sentidos, intuición, razón, arte, fotografía, entorno, paisaje, escisión, refugio, téc-nica, tecnología, cuerpo, espíritu, materia, natural, fibonacci, módulos, secuencia, recuperación, ciudad, bosque, dimensión, ensamblaje, manual, intuición...

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À TRAVERS

Depuis la rupture moderne avec la nature, ce n’est qu’en ce moment que nous recommençons à revoir notre relation avec la nature et avec le paysage.

Le territoire est un parfait champ de questionnement entre l’homme contemporain et sa réalité technolo-gique, focalisant le développement durable et les relations du temps comme un processus naturel for-mant une œuvre artistique dans la Nature.

C’est un processus de construction qui est observé et étudié à travers une structure prenant une forme croissante finie et indéfinie. Ceci convertit la recherche en une réelle existence à partir de l’expérience.

La matière organique, présentée de façon sculpturale, sert à nous montrer les choses entre la rencontre du créateur et de la création. Les reconstructions sont perçues à partir des processus créatifs et des activi-tés effectuées sur le terrain qui, finalement, sont des œuvres parallèles plus intuitives, ce qui nous permet de mettre une forme à l’œuvre finale.

Le contact avec la nature contemple et évoque les sens du corps, de l’esprit, du sentiment, de l’intuition, de la raison et de la marche, qui est bien sûr inévi-table ; le résultat est naturel.

Je récupère des fragments d’arbres morts, je les analyse géométriquement et je pense dans un certain ordre, qui, apparemment se présente chaotique.

Les empreintes sur ces corps révèlent le temps passé, c’est une inscription de leur propre identité qui se forme naturellement. Ce sont les métaphores du temps, une abstraction de nous-mêmes comme des corps sensibles.

La nature nous invite à percevoir, à jouer, à être en relation avec les moyens primaires, la culture, l’arti-sanat, ainsi que les immenses et simples possibili-tés techniques de constructions avec lesquelles se développe, avec intelligence, la pensée humaine.

Reconnecter les relations avec la nature, c’est re-faire notre histoire avec le terrain, pour essayer de rapprocher notre séparation.

À partir de mes pensées mais aussi de la croissance naturelle des plantes, mon jeu constructif et répétitif trouve une solution de design structurel et sculptural où nous pouvons voir à travers elle, notre propre na-ture vue sous un autre angle. Le modelage qui se forme esthétiquement de façon naturelle avec l’iden-tité primaire et organique de la matière, a des possibi

lités plastiques infinies.

Pendant le processus, je marche, je transpire, je teste les limites de mon corps, de mon esprit et de ma perception.

Je découvre un symbolisme inévitable, je développe l’ouverture des domaines d’investigation, de récupération, de concentration, de l’esprit, de la conscience, des problèmes environnementaux et surtout le fait de surmonter notre échec contemporain essayant d’y remédier et de trouver une solution pour l’écologie.

Retourner dans la nature est une tentative de pouvoir se récupérer de la séparation provoquée et résultante de notre modernisme.

Mots-clés

Sculpture, la nature, le territoire, durable, marcher, l’expérience, les processus, la décomposition, bâti-ment, structure, étant, le temps, fini, infini, la répéti-tion, la vie, la mort, la construction, l’identité, orga-nique, inorganique, l’unité, le bois, le sens, l’intuition, la raison, l’art, la photographie, l’environnement, le paysage, split, des abris, technique, technologie, le corps, l’esprit, la matière, naturel, Fibonacci, mo-dules, la séquence, la récupération, la ville, la forêt, la dimension, l’assemblage, manuel, l’intuition ...

keywords

Sculpture, nature, territory, sustainable, walk, expe-rience, processes, decomposition, building, struc-ture, being, time, finite, infinite, repetition, life, death, construct, identity, organic, inorganic, unit, wood, sens-es, intuition, reason, art, photography, environment, landscape, split, shelter, technical, technology, body, spirit, matter, natural, fibonacci, modules, sequence, recovery, city, forest, dimension, assembly, manual, intuition ...

Palabras claves

Escultura, naturaleza, territorio, sostenible, caminar, experiencia, procesos, descomposición, construc-ción, estructura, ser, tiempo, finito, infinito, repetición, vida, muerte, construir, identidad, orgánico, inorgáni-co, unidad, madera, sentidos, intuición, razón, arte, fotografía, entorno, paisaje, escisión, refugio, téc-nica, tecnología, cuerpo, espíritu, materia, natural, fibonacci, módulos, secuencia, recuperación, ciudad, bosque, dimensión, ensamblaje, manual, intuición...

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RESUMEN

Desde la ruptura moderna con la naturaleza, justo en estos momentos estamos volviendo a replantear nuestra relación con la naturaleza, con el paisaje, con el territorio.

Existe en mi, una búsqueda de un orden, de un largo proceso que es infinitamente caótico y que me ha hecho volver hacia esta relación perdida con la naturaleza.

Estar aislado de la ciudad, me convierte en un observador de estos procesos, que me fascinan y me nutren de experiencias olvidadas. La poética resurge y las percepciones de los sentidos del cuerpo se hacen latentes, así como el propio impulso físico y espiritual hacia una unidad. Ser uno con la naturaleza.

Replantear la necesidad del uso de ciertas tecnologías, como es la televisión o el ordenador, me ha hecho romper con estas dependencias inorgánicas, de las cosas que no se forman de manera natural y nos hacen olvidar de este orden orgánico.

Escapar de la ruptura moderna extendida hasta nuestros días, con la naturaleza. Es superar esta domesti-cación contemporánea, volver a un principio que revela mi miedo al paisaje nocturno lejos de la ciudad, que prácticamente depende de la luz artificial. Superar este miedo, en la oscuridad del bosque, es un viaje que nos lleva a descubrir las estrellas y convertir el miedo en catalizador de los sentidos de las percepciones sensoriales.

Aunque me siguen acompañando ciertas tecnologías como el escáner o la cámara fotográfica, he podido encontrar y probar otros medios para equilibrar estos contrastes entre la tecnología y la naturaleza a partir del planteamiento de cambios de actitud en cuanto a la utilidad y uso de estos aparatos, sin infringir la integridad física de las cosas, preservando su proceso natural de vida.

Metro Barcelona

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Me ha interesado el tema del paisajismo, así que he adaptado la intervención escultórica a los materiales encontrados en el propio territorio.

La paciencia, la calma, el aislamiento, la meditación y la concentración son otros aspectos que solo en la naturaleza he podido entablar una relación vivida de forma espontánea a trevés de encuentros.

Ciertos aspectos de lo efímero, del paso del tiempo, me llaman la atención. Los procesos naturales en la vida orgánica, también fueron importantes para en-contrar artísticamente, un lenguaje que articule mis metáforas difíciles de interpretar si uno no las vive. La escultura en la naturaleza, es algo que ya encon-tramos hecha, los árboles, troncos caídos o piedras, son tallados por los insectos, animales, cambios cli-máticos, la geografía, el viento y sobretodo por el tiempo y la repetición. Observar, ordenar y construir principalmente con ramas, trazando su forma o co-piando una especie de mapa generados por las sen-das en los troncos (tallados naturalmente mientras se secan y se descomponen), me ayudan a entender el funcionamiento estructural, geométricos por supues-to y descubrir estos caminos hechos puzles que re-servan un centro, un corazón de un árbol que se des-plaza de su cuerpo y que le ha servido de estructura interior durante su crecimiento.

Un gran ejercicio de observación, a través de los elementos procesales de la naturaleza como origen de todo lo que podemos perfeccionar en la creación visual, filosófica y practica de la vida mismo. Me re-cuerda a procesos escultóricos enseñados pero que jamás contados.Suelo hablar con el material, y la primera pregunta

que hago a ellos, o quizá a mi inconsciente es:¿qué eres? Muchas veces en mayor parte de los ca-sos, la respuesta es la misma: ¡ soy!La conciencia nunca sabe nada, por esto pregunto, y el inconsciente sabe todo pero necesita ser indagado para que hallemos la respuesta.

Por estos motivos, preservo las características de la materia, y las presento como tal, con su memoria, con sus huellas dispuestas a causar reflexión, admi-ración o mismo rechazo. Las observaciones deben de ser constantes en este tipo de trabajo, pues en medio a todo lo que implica la naturaleza, estas hue-llas están tan integradas con la materia que pueden pasar desapercibidas.

Un trabajo que dialoga con el arqueológico, el geo-lógico, lo botánico, el químico, la física, las matemá-ticas y la propia política, que llevado a cabo dentro del ámbito artístico se puede aprender, estudiar y provocar impresiones positivas sobre otras formas de conocer, adquiridos en el trabajo de campo.

Generando una cultura a partir del discurso visual, filosófico y experimental que son las claves de mi in-terés artístico. El arte es como una escusa para po-der aprender y intentar comprender y expresarse en el entorno, las inquietudes humanas. Percibidas por varias vías y formas distintas.

Es a través del arte que podemos ver y dar otras for-mas al saber, los sentidos que solo el artista puede representar o más bien presentar con poética, desde su propia experiencia, desde su propia vivencia real con el territorio que permita rescatarnos y sanar-nos de las heridas de nuestro tiempo.

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RESUMEN

Desde la ruptura moderna con la naturaleza, justo en estos momentos estamos volviendo a replantear nuestra relación con la naturaleza, con el paisaje, con el territorio.

Existe en mi, una búsqueda de un orden, de un largo proceso que es infinitamente caótico y que me ha hecho volver hacia esta relación perdida con la naturaleza.

Estar aislado de la ciudad, me convierte en un observador de estos procesos, que me fascinan y me nutren de experiencias olvidadas. La poética resurge y las percepciones de los sentidos del cuerpo se hacen latentes, así como el propio impulso físico y espiritual hacia una unidad. Ser uno con la naturaleza.

Replantear la necesidad del uso de ciertas tecnologías, como es la televisión o el ordenador, me ha hecho romper con estas dependencias inorgánicas, de las cosas que no se forman de manera natural y nos hacen olvidar de este orden orgánico.

Escapar de la ruptura moderna extendida hasta nuestros días, con la naturaleza. Es superar esta domesti-cación contemporánea, volver a un principio que revela mi miedo al paisaje nocturno lejos de la ciudad, que prácticamente depende de la luz artificial. Superar este miedo, en la oscuridad del bosque, es un viaje que nos lleva a descubrir las estrellas y convertir el miedo en catalizador de los sentidos de las percepciones sensoriales.

Aunque me siguen acompañando ciertas tecnologías como el escáner o la cámara fotográfica, he podido encontrar y probar otros medios para equilibrar estos contrastes entre la tecnología y la naturaleza a partir del planteamiento de cambios de actitud en cuanto a la utilidad y uso de estos aparatos, sin infringir la integridad física de las cosas, preservando su proceso natural de vida.

Metro Barcelona

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Me ha interesado el tema del paisajismo, así que he adaptado la intervención escultórica a los materiales encontrados en el propio territorio.

La paciencia, la calma, el aislamiento, la meditación y la concentración son otros aspectos que solo en la naturaleza he podido entablar una relación vivida de forma espontánea a trevés de encuentros.

Ciertos aspectos de lo efímero, del paso del tiempo, me llaman la atención. Los procesos naturales en la vida orgánica, también fueron importantes para en-contrar artísticamente, un lenguaje que articule mis metáforas difíciles de interpretar si uno no las vive. La escultura en la naturaleza, es algo que ya encon-tramos hecha, los árboles, troncos caídos o piedras, son tallados por los insectos, animales, cambios cli-máticos, la geografía, el viento y sobretodo por el tiempo y la repetición. Observar, ordenar y construir principalmente con ramas, trazando su forma o co-piando una especie de mapa generados por las sen-das en los troncos (tallados naturalmente mientras se secan y se descomponen), me ayudan a entender el funcionamiento estructural, geométricos por supues-to y descubrir estos caminos hechos puzles que re-servan un centro, un corazón de un árbol que se des-plaza de su cuerpo y que le ha servido de estructura interior durante su crecimiento.

Un gran ejercicio de observación, a través de los elementos procesales de la naturaleza como origen de todo lo que podemos perfeccionar en la creación visual, filosófica y practica de la vida mismo. Me re-cuerda a procesos escultóricos enseñados pero que jamás contados.Suelo hablar con el material, y la primera pregunta

que hago a ellos, o quizá a mi inconsciente es:¿qué eres? Muchas veces en mayor parte de los ca-sos, la respuesta es la misma: ¡ soy!La conciencia nunca sabe nada, por esto pregunto, y el inconsciente sabe todo pero necesita ser indagado para que hallemos la respuesta.

Por estos motivos, preservo las características de la materia, y las presento como tal, con su memoria, con sus huellas dispuestas a causar reflexión, admi-ración o mismo rechazo. Las observaciones deben de ser constantes en este tipo de trabajo, pues en medio a todo lo que implica la naturaleza, estas hue-llas están tan integradas con la materia que pueden pasar desapercibidas.

Un trabajo que dialoga con el arqueológico, el geo-lógico, lo botánico, el químico, la física, las matemá-ticas y la propia política, que llevado a cabo dentro del ámbito artístico se puede aprender, estudiar y provocar impresiones positivas sobre otras formas de conocer, adquiridos en el trabajo de campo.

Generando una cultura a partir del discurso visual, filosófico y experimental que son las claves de mi in-terés artístico. El arte es como una escusa para po-der aprender y intentar comprender y expresarse en el entorno, las inquietudes humanas. Percibidas por varias vías y formas distintas.

Es a través del arte que podemos ver y dar otras for-mas al saber, los sentidos que solo el artista puede representar o más bien presentar con poética, desde su propia experiencia, desde su propia vivencia real con el territorio que permita rescatarnos y sanar-nos de las heridas de nuestro tiempo.

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DESCRIPCIÓN DE LA OBRA

Orden y Caos

La estructura generada a partir de la repetición de restos de árboles muertos encontrados en el bosque son fragmentos de troncos recolectados que tienen la forma parecida a la vigésima letra del alfabeto griego, la ípsilon ( y ). Una de las primeras vocales griegas, se ha convertido en un símbolo personal de fundamental importancia dentro mi proceso creativo. Las “y”, una vez dispuestas en el conjunto, y reflejadas unas hacia otra, forman una estructura muy similar a la de los panales de las abejas.

El hexágono que se presenta es irregular, a causa de las particularidades de cada rama que por diver-sos motivos geográficos, climáticos, temporales, etc. Han causado su propia descomposición, deterioro y deformación.

Los módulos o piezas de madera recolectados para formar la estructura, son distintos por edad, tacto y color, el que implica varios conceptos como el de la vida y la muerte, el tiempo, el ser, las razas, la me-moria del cuerpo, la huella, etc. Estos elementos son para mi, una representación perfecta de nosotros mismos. El que repetimos es un patrón formal de comporta-miento vinculado a lo del crecimiento de las plantas. La obra encuentra en el orgánico y lo geométrico, conceptos matemáticos expresado en forma de có-digos numéricos ya descritos Fibonacci, que en

este caso, he utilizado las respectivas secuencias: 0,1,1,2,3,5,8 y 13, que se puede extender infinita-mente.

La instalación, es un enigma casi metafísico, que con-vierte la unión de los módulos en una nueva pieza, una otra dimensión, si la ensambláramos y uniéramos el primer tronco con el último módulo de la secuencia del numero trece, compuesto por 12 módulos.

Esta acción que completaría la secuencia del número trece, unida a la primera unidad generaría esta otra dimensión, cumpliendo la función de ser el principio y el final de la pieza. Si, es verdad, que el metafísi-co niega el meramente físico. Pero creo que en la metafísica la transcendencia depende del físico para transcender.

10

En términos platónicos: conocer aquello a lo que has llegado y considerar mediante el intelecto lo que has adquirido. Añado: uniendo el pensar mágico y el pen-sar racional.

Ejemplificando, podríamos comparar esta celosía cuanto estructura, con el símbolo del infinito o el nu-mero 8. Buscando sencillamente su punto nodal. En este caso, sus extremos.

No existiría un principio ni tampoco un final, existe una unidad, que es un bucle infinito de una unidad que ejerce doble función en este sistema. Ser el prin-cipio y el final de la pieza que consecuentemente

trasmuta estos dos conceptos de su ser para conver-tirse en un sola cosa.

El pensamiento budista puede que sea de gran im-portancia dentro de la descripción formal o mismo conceptual de la obra.

El punto de vista budista nos ayuda a comprender una de las sensaciones más evidentes del objeto, que es visibilizar esta realidad incompleta de lo mis-mo, pero que tiene en si unas cuantas posibilidades de perfección si la imaginamos ensambladas como parte de una única estructura donde los extremos se unan para formar esta tridimensionalidad. La unidad.

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DESCRIPCIÓN DE LA OBRA

Orden y Caos

La estructura generada a partir de la repetición de restos de árboles muertos encontrados en el bosque son fragmentos de troncos recolectados que tienen la forma parecida a la vigésima letra del alfabeto griego, la ípsilon ( y ). Una de las primeras vocales griegas, se ha convertido en un símbolo personal de fundamental importancia dentro mi proceso creativo. Las “y”, una vez dispuestas en el conjunto, y reflejadas unas hacia otra, forman una estructura muy similar a la de los panales de las abejas.

El hexágono que se presenta es irregular, a causa de las particularidades de cada rama que por diver-sos motivos geográficos, climáticos, temporales, etc. Han causado su propia descomposición, deterioro y deformación.

Los módulos o piezas de madera recolectados para formar la estructura, son distintos por edad, tacto y color, el que implica varios conceptos como el de la vida y la muerte, el tiempo, el ser, las razas, la me-moria del cuerpo, la huella, etc. Estos elementos son para mi, una representación perfecta de nosotros mismos. El que repetimos es un patrón formal de comporta-miento vinculado a lo del crecimiento de las plantas. La obra encuentra en el orgánico y lo geométrico, conceptos matemáticos expresado en forma de có-digos numéricos ya descritos Fibonacci, que en

este caso, he utilizado las respectivas secuencias: 0,1,1,2,3,5,8 y 13, que se puede extender infinita-mente.

La instalación, es un enigma casi metafísico, que con-vierte la unión de los módulos en una nueva pieza, una otra dimensión, si la ensambláramos y uniéramos el primer tronco con el último módulo de la secuencia del numero trece, compuesto por 12 módulos.

Esta acción que completaría la secuencia del número trece, unida a la primera unidad generaría esta otra dimensión, cumpliendo la función de ser el principio y el final de la pieza. Si, es verdad, que el metafísi-co niega el meramente físico. Pero creo que en la metafísica la transcendencia depende del físico para transcender.

10

En términos platónicos: conocer aquello a lo que has llegado y considerar mediante el intelecto lo que has adquirido. Añado: uniendo el pensar mágico y el pen-sar racional.

Ejemplificando, podríamos comparar esta celosía cuanto estructura, con el símbolo del infinito o el nu-mero 8. Buscando sencillamente su punto nodal. En este caso, sus extremos.

No existiría un principio ni tampoco un final, existe una unidad, que es un bucle infinito de una unidad que ejerce doble función en este sistema. Ser el prin-cipio y el final de la pieza que consecuentemente

trasmuta estos dos conceptos de su ser para conver-tirse en un sola cosa.

El pensamiento budista puede que sea de gran im-portancia dentro de la descripción formal o mismo conceptual de la obra.

El punto de vista budista nos ayuda a comprender una de las sensaciones más evidentes del objeto, que es visibilizar esta realidad incompleta de lo mis-mo, pero que tiene en si unas cuantas posibilidades de perfección si la imaginamos ensambladas como parte de una única estructura donde los extremos se unan para formar esta tridimensionalidad. La unidad.

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METODOLOGÍAS, MATERIALES Y TÉCNICAS

En el trabajo de campo, a parte de realizar observaciones y fotografías, hemos trabajado inicialmente con la arqueología experimental y la reproducción de moldes de arcilla de ciertos fragmentos de especies vegetales vivas, de raíces y árboles positivadas con resina acrílica o escayola.

Este estudio preliminar de la repetición de un fragmento me permitió acceder a este orden en la naturaleza y su sistema geométrico, repetitivo, simples y complejo a la vez, desde la experiencia practica de mi proceso.

Una vez seco el material, realizamos la excavación “arqueológica” para extraer la pieza del molde de arcilla que se pierde, pero que se puede reaprovechar.

Para formar esta estructura a modo de celosía ha sido necesario trabajar las piezas con un pensamiento simétrico, pero respetando la propia asimetría del material de origen empleado, que ni siempre aceptan las reglas de la simetría por ser físicamente asimétrica la propia naturaleza de estas por diversos motivos, aun-que sean similares y sigan un orden.

Este orden descrito por la secuencia de Fibonacci, la encontré en la primera fase del proyecto, cuando trataba de completar la secuencia de repetición que encierra la forma.

La decisión de emplear estos materiales encontrados, nace a partir de la búsqueda de un trabajo creativo que valore ciertas calidades de sostenibilidad ambiental, desarrollando las necesidades del presente sin compro-meter las necesidades futuras, preservando la vida.

He seguido algunos puntos principales para llegar a la obra final. Son estos:

Moldes

Buscar una forma respetuosa con el medio ambiente para obtener copias de la naturaleza para poder estu-diarlas.

Aprovechamiento

Aprovechar de los recursos encontrados para una obra sostenible.Con ejercicios prácticos en la naturaleza para despertar las relaciones con la materia prima desechada del y en el propio entorno. Con lo cuál la obra seguirá formando parte de su propio territorio y su deterioro o presen-cia no compromete de otra forma que no sea estética en el entorno natural, integrándose con lo que ya estaba oculto. La obra es 100% orgánica y durante su proceso el propio terreno es recuperado de otros elementos que no le pertenece.

Observación

La geometría de la naturaleza y otros procesos.Realizamos dibujos, fotografías y otras acciones procesales durante la investigación. Algunos de ellos relacio-nados con los cambios de estado de la materia.

Celosía

El vacío como espacio ocupado por la luz , la sombra y el aire, que permite ver, ocultar, enmarcar, etc.La relación del negativo de las formas toman una gran importancia al convertirse en forma contenida o que contiene otras cosas ocultas. El marco.

Ordenar y desordenar

Buscar relaciones simétricas y asimétricas en el conjunto.El caos en el orden, el orden en el caos. Abstraer, sintetizar y simplificar.

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Recolectar

Caminar en el bosque y recuperar elementos naturales encontrados entre restos de árboles caídos.

Descubrir

Otros lenguajes independientes de nuestra acción tal como la acción del tiempo y otros habitantes del planeta.

Contemplación

IDEA

Basándome en mis intereses sobre los reflejos, ya presentes en mis composiciones fotográficas. Retratando los ritmos y dinamismos generados por las repeticiones de una misma imagen o forma, ha surgido la inquietud de comprobar como funcionaría físicamente mi planteamiento, realizando este trabajo con otras herramientas que no fuera propias del mundo digital, pero que se integre con la fotografía, pasando de una realidad tecno-lógica y artificial a otro tipo de tecnología más orgánica y natural.

Si nos situamos en medio de un bosque, todo es un caos, aparentemente.A través de la observación de esta acumulación de enmarañados y repetitivos conjuntos de líneas, me des-pertó el interés de intentar entenderlas, y aplicarlas como método de interpretación escultórica.

A través de esta misma observación, durante este proceso de búsqueda de la idea, se hace visible las rela-ciones con trabajos anteriores realizados por mi. Los cuales utilizo la repetición de elementos en el espacio, en la fotografía, en el cuerpo, etc, como forma de ordenar el caos.Este proceso, entra en confluencia con otros ámbitos artísticos, que se va generando principalmente por me-dio de la observación, luego de la imagen, el dibujo y la pintura que se acoplan en estos procesos creativos.

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METODOLOGÍAS, MATERIALES Y TÉCNICAS

En el trabajo de campo, a parte de realizar observaciones y fotografías, hemos trabajado inicialmente con la arqueología experimental y la reproducción de moldes de arcilla de ciertos fragmentos de especies vegetales vivas, de raíces y árboles positivadas con resina acrílica o escayola.

Este estudio preliminar de la repetición de un fragmento me permitió acceder a este orden en la naturaleza y su sistema geométrico, repetitivo, simples y complejo a la vez, desde la experiencia practica de mi proceso.

Una vez seco el material, realizamos la excavación “arqueológica” para extraer la pieza del molde de arcilla que se pierde, pero que se puede reaprovechar.

Para formar esta estructura a modo de celosía ha sido necesario trabajar las piezas con un pensamiento simétrico, pero respetando la propia asimetría del material de origen empleado, que ni siempre aceptan las reglas de la simetría por ser físicamente asimétrica la propia naturaleza de estas por diversos motivos, aun-que sean similares y sigan un orden.

Este orden descrito por la secuencia de Fibonacci, la encontré en la primera fase del proyecto, cuando trataba de completar la secuencia de repetición que encierra la forma.

La decisión de emplear estos materiales encontrados, nace a partir de la búsqueda de un trabajo creativo que valore ciertas calidades de sostenibilidad ambiental, desarrollando las necesidades del presente sin compro-meter las necesidades futuras, preservando la vida.

He seguido algunos puntos principales para llegar a la obra final. Son estos:

Moldes

Buscar una forma respetuosa con el medio ambiente para obtener copias de la naturaleza para poder estu-diarlas.

Aprovechamiento

Aprovechar de los recursos encontrados para una obra sostenible.Con ejercicios prácticos en la naturaleza para despertar las relaciones con la materia prima desechada del y en el propio entorno. Con lo cuál la obra seguirá formando parte de su propio territorio y su deterioro o presen-cia no compromete de otra forma que no sea estética en el entorno natural, integrándose con lo que ya estaba oculto. La obra es 100% orgánica y durante su proceso el propio terreno es recuperado de otros elementos que no le pertenece.

Observación

La geometría de la naturaleza y otros procesos.Realizamos dibujos, fotografías y otras acciones procesales durante la investigación. Algunos de ellos relacio-nados con los cambios de estado de la materia.

Celosía

El vacío como espacio ocupado por la luz , la sombra y el aire, que permite ver, ocultar, enmarcar, etc.La relación del negativo de las formas toman una gran importancia al convertirse en forma contenida o que contiene otras cosas ocultas. El marco.

Ordenar y desordenar

Buscar relaciones simétricas y asimétricas en el conjunto.El caos en el orden, el orden en el caos. Abstraer, sintetizar y simplificar.

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Recolectar

Caminar en el bosque y recuperar elementos naturales encontrados entre restos de árboles caídos.

Descubrir

Otros lenguajes independientes de nuestra acción tal como la acción del tiempo y otros habitantes del planeta.

Contemplación

IDEA

Basándome en mis intereses sobre los reflejos, ya presentes en mis composiciones fotográficas. Retratando los ritmos y dinamismos generados por las repeticiones de una misma imagen o forma, ha surgido la inquietud de comprobar como funcionaría físicamente mi planteamiento, realizando este trabajo con otras herramientas que no fuera propias del mundo digital, pero que se integre con la fotografía, pasando de una realidad tecno-lógica y artificial a otro tipo de tecnología más orgánica y natural.

Si nos situamos en medio de un bosque, todo es un caos, aparentemente.A través de la observación de esta acumulación de enmarañados y repetitivos conjuntos de líneas, me des-pertó el interés de intentar entenderlas, y aplicarlas como método de interpretación escultórica.

A través de esta misma observación, durante este proceso de búsqueda de la idea, se hace visible las rela-ciones con trabajos anteriores realizados por mi. Los cuales utilizo la repetición de elementos en el espacio, en la fotografía, en el cuerpo, etc, como forma de ordenar el caos.Este proceso, entra en confluencia con otros ámbitos artísticos, que se va generando principalmente por me-dio de la observación, luego de la imagen, el dibujo y la pintura que se acoplan en estos procesos creativos.

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Así como determinados programas informáticos, para su posterior visualización y materialización en el marco de la escultura.

Visto la presencia de estos comportamientos constructivos en la naturaleza, los procesos arquitectónicos y el diseño, he decidido realizar practicas reales en el territorio. Conectándome con la tierra y consecuentemente con lo que emerge de ella, la materia prima y la experiencia vivida, sin la habitual ayuda de programas infor-máticos.

Salir del simulacro, para contrarrestar los procesos mecánicos y digitales con la practicas reales de contacto con el territorio, la tierra, la materia prima. Aunque paradojamente todo mi intento se convierte y se vuelve un nuevo simulacro, pero que no imita la apariencia real de la materia cuanto superficie, pero su comportamiento. Que son procesados por vías escultóricas para llegar más allá del plano del papel y la pantalla. Convirtiendo en obra escultórica con resultados fotográficos de mi orden frente al aparente caos.

MENSAJE

La curiosidad, describe un número desconocido de mecanismos del comportamiento psicológico que tienen el efecto de impulsar a los individuos, humanos y no humanos, a buscar la información y la interacción con su ambiente natural y con otros seres a su alrededor. Estimula la emoción y rescata el espíritu contemplativo de la materia. Señalando los hombres que caminan y intentan volver a la naturaleza y recuperar su aura en la experiencia con el territorio para contrarrestar el actual panorama ambiental de la ciudad contemporánea.

Buscar el contacto con la naturaleza. Evocar este espíritu de preservación y comunión, jugando con la repeti-ción y la observación, que consecuentemente genera la acción de caminar, de construir y perderse a si mismo durante este proceso que abraza la liberación de un devenir.

Recuperar fragmentos semejantes de lo que un día fue.

Pensar sobre el papel de la fotografía y la paradoja que une el testigo y el testimonio de la mirada. El estar presente y el acto de la presencia del efímero y su conversión en permanencia.

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Procesos digitales de creación de la imagen a partir de repeticiones y reflejos.

Abstracción a partir de la repetición. ¿Representar, presentar o interpretar?El tiempo es un generador de ausencias, de pasos. Solo existe una cosa en el tiempo en toda su impredeci-bilidad, una única y predecible muerte en el tiempo finito e infinito.

El aura esta a este otro lado, junto a los restos de estos cuerpos naturales y orgánicos de la naturaleza muer-ta, una representación perfecta de nosotros mismos.Somos Adn, una cadena de datos, un Frankestein ensamblado de partes avistadas y escondidas en el tiempo, una estructura visible que oculta algo que desconocemos, que desconozco y afirmar el que se oculta sería demasiado pretencioso. Siempre habrá partes de algo que desconocemos.Atrapar los sueños, repetir y repetir, finita o infinitamente nuestras marcas, dejando atrás en sentidos opues-tos, una tercera ley de Newton que actúa como fuerzas que impulsan uno al otro formando una interacción entre dos objetos.El universo es un fragmento semejante, irrepetible de una unidad que se repite.Juegan los opuestos de un mismo fragmento, las dos caras que se ramifican, bifurcan.Son como encrucijadas que se unen para ser un todo, de una unidad fragmentada, rota por causas provoca-das o por su propia naturaleza.

De un fragmento repetido, podemos unir sus extremos, opuestos en su igualdad, ocultando su propia forma para hacer visible lo invisible de una otra forma.Resultado de una nueva realidad construida a partir de la nada.

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Así como determinados programas informáticos, para su posterior visualización y materialización en el marco de la escultura.

Visto la presencia de estos comportamientos constructivos en la naturaleza, los procesos arquitectónicos y el diseño, he decidido realizar practicas reales en el territorio. Conectándome con la tierra y consecuentemente con lo que emerge de ella, la materia prima y la experiencia vivida, sin la habitual ayuda de programas infor-máticos.

Salir del simulacro, para contrarrestar los procesos mecánicos y digitales con la practicas reales de contacto con el territorio, la tierra, la materia prima. Aunque paradojamente todo mi intento se convierte y se vuelve un nuevo simulacro, pero que no imita la apariencia real de la materia cuanto superficie, pero su comportamiento. Que son procesados por vías escultóricas para llegar más allá del plano del papel y la pantalla. Convirtiendo en obra escultórica con resultados fotográficos de mi orden frente al aparente caos.

MENSAJE

La curiosidad, describe un número desconocido de mecanismos del comportamiento psicológico que tienen el efecto de impulsar a los individuos, humanos y no humanos, a buscar la información y la interacción con su ambiente natural y con otros seres a su alrededor. Estimula la emoción y rescata el espíritu contemplativo de la materia. Señalando los hombres que caminan y intentan volver a la naturaleza y recuperar su aura en la experiencia con el territorio para contrarrestar el actual panorama ambiental de la ciudad contemporánea.

Buscar el contacto con la naturaleza. Evocar este espíritu de preservación y comunión, jugando con la repeti-ción y la observación, que consecuentemente genera la acción de caminar, de construir y perderse a si mismo durante este proceso que abraza la liberación de un devenir.

Recuperar fragmentos semejantes de lo que un día fue.

Pensar sobre el papel de la fotografía y la paradoja que une el testigo y el testimonio de la mirada. El estar presente y el acto de la presencia del efímero y su conversión en permanencia.

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Procesos digitales de creación de la imagen a partir de repeticiones y reflejos.

Abstracción a partir de la repetición. ¿Representar, presentar o interpretar?El tiempo es un generador de ausencias, de pasos. Solo existe una cosa en el tiempo en toda su impredeci-bilidad, una única y predecible muerte en el tiempo finito e infinito.

El aura esta a este otro lado, junto a los restos de estos cuerpos naturales y orgánicos de la naturaleza muer-ta, una representación perfecta de nosotros mismos.Somos Adn, una cadena de datos, un Frankestein ensamblado de partes avistadas y escondidas en el tiempo, una estructura visible que oculta algo que desconocemos, que desconozco y afirmar el que se oculta sería demasiado pretencioso. Siempre habrá partes de algo que desconocemos.Atrapar los sueños, repetir y repetir, finita o infinitamente nuestras marcas, dejando atrás en sentidos opues-tos, una tercera ley de Newton que actúa como fuerzas que impulsan uno al otro formando una interacción entre dos objetos.El universo es un fragmento semejante, irrepetible de una unidad que se repite.Juegan los opuestos de un mismo fragmento, las dos caras que se ramifican, bifurcan.Son como encrucijadas que se unen para ser un todo, de una unidad fragmentada, rota por causas provoca-das o por su propia naturaleza.

De un fragmento repetido, podemos unir sus extremos, opuestos en su igualdad, ocultando su propia forma para hacer visible lo invisible de una otra forma.Resultado de una nueva realidad construida a partir de la nada.

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Puede existir un todo si dentro del marco de la igualdad podemos bifurcarnos unidos aunque en direcciones distintas. Como las venas que conducen la sangre en el cuerpo, ramificadas.

Hay que articular lo idéntico en épocas de la reproductibilidad técnica, para no olvidar que somos similares pero que no somos iguales. Que somos solo un fragmento finito de un todo infinitus.Ver a través de la naturaleza y recuperarnos del incisivo, para volver a conectarnos.

CONTEXTO HISTÓRICO E INFLUENCIAS

La naturaleza es un terreno de acceso público, donde probablemente el campesino, que muchas veces se considera inculto, tiene muchas más ventajas y conocimientos de la misma que una persona culturizada en la ciudad.

El mundo de la naturaleza está intrínsecamente vinculada a la cultura popular, la artesanía, las creencias, his-torias, cuentos, medicinas, meteorología, caza, agricultura, etc., que implican así una revaloración de nues-tros propios conceptos de cultura que hemos dejado atrás.

En este caso, el tema de la naturaleza se convierte en una experiencia que valora el poder de transmisión del capital cultural de una sociedad. Un concepto sociológico de Pierre Bourdieu, que valora los niveles de aprendizaje dentro del territorio, compartido por los miembros de una sociedad o desde la habitual experiencia del día a día.

Sandro Botticelli , Nascita di Venere (1445-1510)

Friedrich von Schelling, Monje a la orilla del mar, (1808-1810).

Así como la pintura, los monumentos, los instrumen-tos, los libros, discos, etc., por medio de la obser-vación, el contacto y el trabajo, podemos convertir esta actividad en un hábito de aprendizaje un tanto filosófica, sociológica y antropológica que nos remite a un cambio de actitud frente el desconocido mun-do del natural que del arte hemos estado intentando apartar desde la desaparición del genio. Esta visión filosófica, subjetiva, trágica y inaccesible, de intensa percepción colectiva de la naturaleza, es como un ri-tual ejercido por medios estéticos, que visibiliza esta búsqueda de relación entre hombre y naturaleza.Desde el abandono de los esquemas medievales, los Renacentistas utilizan el paisaje para magnificar el cuerpo humano y establecer relaciones de este con la naturaleza.

Heredando de los renacentistas, este uso de la natu-raleza como representación que envuelve el ser hu-mano, los románticos toman conciencia y interpretan esta relación de atracción Hombre y Naturaleza.

La Naturaleza parece ser al menos en la pintura, al-gunas veces un refugio, una forma de retorno a un lu-gar ajeno a la cotidianidad que refleja ciertos deseos de renuncia. Pero sobretodo, me parece un recuerdo instintivo que intentamos reprimir y que por lo tanto hay que representarlos o mínimamente presentarlos.

El artista Mondrian interpretó los árboles en su pintura, lo cual ha sido convertido en un símbolo del diseño y la moda.

También en la arquitectura muchas de las inspiraciones básicas de sus diseños es la propia Naturaleza. Cada día más, las máquinas programadas por los seres humanos intentan copiar la apariencia de las cosas auto-máticamente y la medicina su funcionamiento.

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Pero las huellas reales de esta naturaleza, siguen siendo repudiadas por la cultura puramente superficial, pues su superficie cuestiona nuestras nociones del tiempo, del ser, de los procesos destructivos relacionados con la presencia y la ausencia que la propia naturaleza nos invita a contemplar y participar obligatoriamente.

Descompuesta, trágica, inevitable, efímera, catastrófica, desordenada, rota, inerte, putrefacta, seca, marca-da, olvidada, cíclica, muerta.Estos procesos, del cuál participamos, actuamos y somos actores a la vez, es una especie de espiral infinita

que representan en este sentido el ciclo del principio y el final de cada cosa y las relaciones dentro de esta línea finita/infinita. Esta conexión permite que el propio proceso de desaparición se repita una y otra vez convirtiendo en regla general de evolución natural algo sin principio ni final, pues ambos consisten en hacer con que algo sea una única cosa: ley de vida o regla natural. Es inevitable el trágico destino de la desaparición y la permanencia de lo nuevo que repite.

Una gran metrópolis no es más que una antigua selva reempla-zada por concretos y ladrillos donde nos acostumbramos a la co-modidades que nos tienen atados en miedos, como por ejemplo el de la oscuridad.

Nosotros contemporáneos a igual que los modernos, nos hemos apartado del abismo del romanticismo para encerrarnos en un

mundo artificial que reemplazan las estrellas por bombillas y fluorescentes de bajo consumo, los árboles por carreteras, la simplicidad por el lujo y la comodidad, el intercambio por las compras, el natural por el plástico

La poética desaparece, los problemas sociales son cada día más relevantes, más pobreza, menos trabajo, más engaños y más mentiras. Increíblemente la ciudad atrae, en este gran centro somos un “flaneur”. Quien pasea aparentemente libre, abierto a todos los avances de la ciudad, que a día de hoy nos convierte en un personaje amargado, apresurado, vigilado y que practica deporte y respira aceleradamente más niveles de contaminación, seducidos por los encantos de estas vías, calles, plazas, y sucias calles, sucios metros, sucios bares, sucios aires y sucia ciudad en una interminable construcción que resulta encerrarnos en una diminuta habitación.

Por el capital, en la capital, solos, mirando sin mirar, el de delante que va colgado de los brazos en la barra del metro. Pensando en llegar a casa y calentar la comida en el microondas, yo mismo.

La identidad busca refugio, perdemos esta identidad, la prima identidad, ahora somos casi todos iguales.

Pedimos que nos pidan algo que hacer, esperando órdenes.Exploramos a través de pantallas y aprendemos de ellas.Queremos efectos visuales complicados y efectivos, efectivamente complicados y mecánicos. Incapaces de provocarnos un tipo de corte o riesgo por tener que tomar una coca cola mientras vemos y esperamos la renderización de este objeto 3d.

No hemos notado su trampa, el propio intento de parecerse perfecto y ocultar su identidad originalmente arti-ficial. Estamos encantados, pues lo único que es importante es producir y reproducir.

Ya damos ordenes, equivocadamente, muchas veces, en modo automático.El que está programado por el fabricante junto a la futura obsolescencia de tal máquina.

Sin embargo, la crítica actual es cuanto a los modos de usabilidad y la capacidad de observación e interacción con estos precisos y nuevos medios que generan un supuesto patrón de perfección y un alejamiento real de la experiencia en el territorio. Esto implica por nuestra parte, los artistas, evaluar el grado de complicidad, dominio y participación en la obra, donde el proceso se vuelve algo muchas veces más interesante que la propia obra.

Mondrian, El árbol gris (1912)

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Puede existir un todo si dentro del marco de la igualdad podemos bifurcarnos unidos aunque en direcciones distintas. Como las venas que conducen la sangre en el cuerpo, ramificadas.

Hay que articular lo idéntico en épocas de la reproductibilidad técnica, para no olvidar que somos similares pero que no somos iguales. Que somos solo un fragmento finito de un todo infinitus.Ver a través de la naturaleza y recuperarnos del incisivo, para volver a conectarnos.

CONTEXTO HISTÓRICO E INFLUENCIAS

La naturaleza es un terreno de acceso público, donde probablemente el campesino, que muchas veces se considera inculto, tiene muchas más ventajas y conocimientos de la misma que una persona culturizada en la ciudad.

El mundo de la naturaleza está intrínsecamente vinculada a la cultura popular, la artesanía, las creencias, his-torias, cuentos, medicinas, meteorología, caza, agricultura, etc., que implican así una revaloración de nues-tros propios conceptos de cultura que hemos dejado atrás.

En este caso, el tema de la naturaleza se convierte en una experiencia que valora el poder de transmisión del capital cultural de una sociedad. Un concepto sociológico de Pierre Bourdieu, que valora los niveles de aprendizaje dentro del territorio, compartido por los miembros de una sociedad o desde la habitual experiencia del día a día.

Sandro Botticelli , Nascita di Venere (1445-1510)

Friedrich von Schelling, Monje a la orilla del mar, (1808-1810).

Así como la pintura, los monumentos, los instrumen-tos, los libros, discos, etc., por medio de la obser-vación, el contacto y el trabajo, podemos convertir esta actividad en un hábito de aprendizaje un tanto filosófica, sociológica y antropológica que nos remite a un cambio de actitud frente el desconocido mun-do del natural que del arte hemos estado intentando apartar desde la desaparición del genio. Esta visión filosófica, subjetiva, trágica y inaccesible, de intensa percepción colectiva de la naturaleza, es como un ri-tual ejercido por medios estéticos, que visibiliza esta búsqueda de relación entre hombre y naturaleza.Desde el abandono de los esquemas medievales, los Renacentistas utilizan el paisaje para magnificar el cuerpo humano y establecer relaciones de este con la naturaleza.

Heredando de los renacentistas, este uso de la natu-raleza como representación que envuelve el ser hu-mano, los románticos toman conciencia y interpretan esta relación de atracción Hombre y Naturaleza.

La Naturaleza parece ser al menos en la pintura, al-gunas veces un refugio, una forma de retorno a un lu-gar ajeno a la cotidianidad que refleja ciertos deseos de renuncia. Pero sobretodo, me parece un recuerdo instintivo que intentamos reprimir y que por lo tanto hay que representarlos o mínimamente presentarlos.

El artista Mondrian interpretó los árboles en su pintura, lo cual ha sido convertido en un símbolo del diseño y la moda.

También en la arquitectura muchas de las inspiraciones básicas de sus diseños es la propia Naturaleza. Cada día más, las máquinas programadas por los seres humanos intentan copiar la apariencia de las cosas auto-máticamente y la medicina su funcionamiento.

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Pero las huellas reales de esta naturaleza, siguen siendo repudiadas por la cultura puramente superficial, pues su superficie cuestiona nuestras nociones del tiempo, del ser, de los procesos destructivos relacionados con la presencia y la ausencia que la propia naturaleza nos invita a contemplar y participar obligatoriamente.

Descompuesta, trágica, inevitable, efímera, catastrófica, desordenada, rota, inerte, putrefacta, seca, marca-da, olvidada, cíclica, muerta.Estos procesos, del cuál participamos, actuamos y somos actores a la vez, es una especie de espiral infinita

que representan en este sentido el ciclo del principio y el final de cada cosa y las relaciones dentro de esta línea finita/infinita. Esta conexión permite que el propio proceso de desaparición se repita una y otra vez convirtiendo en regla general de evolución natural algo sin principio ni final, pues ambos consisten en hacer con que algo sea una única cosa: ley de vida o regla natural. Es inevitable el trágico destino de la desaparición y la permanencia de lo nuevo que repite.

Una gran metrópolis no es más que una antigua selva reempla-zada por concretos y ladrillos donde nos acostumbramos a la co-modidades que nos tienen atados en miedos, como por ejemplo el de la oscuridad.

Nosotros contemporáneos a igual que los modernos, nos hemos apartado del abismo del romanticismo para encerrarnos en un

mundo artificial que reemplazan las estrellas por bombillas y fluorescentes de bajo consumo, los árboles por carreteras, la simplicidad por el lujo y la comodidad, el intercambio por las compras, el natural por el plástico

La poética desaparece, los problemas sociales son cada día más relevantes, más pobreza, menos trabajo, más engaños y más mentiras. Increíblemente la ciudad atrae, en este gran centro somos un “flaneur”. Quien pasea aparentemente libre, abierto a todos los avances de la ciudad, que a día de hoy nos convierte en un personaje amargado, apresurado, vigilado y que practica deporte y respira aceleradamente más niveles de contaminación, seducidos por los encantos de estas vías, calles, plazas, y sucias calles, sucios metros, sucios bares, sucios aires y sucia ciudad en una interminable construcción que resulta encerrarnos en una diminuta habitación.

Por el capital, en la capital, solos, mirando sin mirar, el de delante que va colgado de los brazos en la barra del metro. Pensando en llegar a casa y calentar la comida en el microondas, yo mismo.

La identidad busca refugio, perdemos esta identidad, la prima identidad, ahora somos casi todos iguales.

Pedimos que nos pidan algo que hacer, esperando órdenes.Exploramos a través de pantallas y aprendemos de ellas.Queremos efectos visuales complicados y efectivos, efectivamente complicados y mecánicos. Incapaces de provocarnos un tipo de corte o riesgo por tener que tomar una coca cola mientras vemos y esperamos la renderización de este objeto 3d.

No hemos notado su trampa, el propio intento de parecerse perfecto y ocultar su identidad originalmente arti-ficial. Estamos encantados, pues lo único que es importante es producir y reproducir.

Ya damos ordenes, equivocadamente, muchas veces, en modo automático.El que está programado por el fabricante junto a la futura obsolescencia de tal máquina.

Sin embargo, la crítica actual es cuanto a los modos de usabilidad y la capacidad de observación e interacción con estos precisos y nuevos medios que generan un supuesto patrón de perfección y un alejamiento real de la experiencia en el territorio. Esto implica por nuestra parte, los artistas, evaluar el grado de complicidad, dominio y participación en la obra, donde el proceso se vuelve algo muchas veces más interesante que la propia obra.

Mondrian, El árbol gris (1912)

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Page 20: Antonio de almeida - A través

No se trata solo de construir objetos sin vida, hay que valorar el proceso anterior, lo vivido que ha formado la materialización de una obra que independientemente de su valor económico, contenga esta carga de bús-queda, de experimentos, aciertos y errores, que la convierta en vida, más allá de nuestros talleres y nuestras ideas preconcebidas, plasmadas antemano en nuestros ordenadores, mientras permanecemos sentados en nuestras sillas giratorias, girando, girando y girando sin caminar. Es mejor vivirlo dos veces. En un mundo totalmente planificado, hay veces que hay que caminar rumbo, sin planificar, tal como proponían Los Interna-cionales Situacionistas.

Muchos han temido que con las máquinas perderíamos el sentido del aura del arte, Walter Benjamín, por supuesto, es uno de los principales filósofos que ha escrito sobre este tema, aunque creo que en su plan-teamiento no haya barajado la idea de que entre el arte y la técnica, el artista se haya culturizado, pasando a ser más que artesano, un crítico. Convertido en un pensador, capaz de dar la vuelta y recuperar este aura, utilizando los mismos mecanismos de un mismo sistema para volver a conectarse con el aura.

Tampoco ha valorado la acción de la fotografía de recomponer, de reconstruir, de proyectar a si mismo (desde la mirada y la acción).

Una naturaleza muerta, representación perfecta de nosotros mismos, con un aura vista desde el otro lado, por el espectador, a través de la fotografía que no reemplaza pero describe visualmente.

Se ha podido probar otras técnicas de pinturas con la luz, y ver el que no podemos ver con nuestros ojos a través de la manipulación de los patrones de funcionamiento de la máquina, como suelo decir, engañándola para que haga el que nosotros hemos imaginado, saliendo del modo auto. Nos permiten usar el modo manual.

Por lo tanto, el aura que supuestamente la reproductibilidad haya quitado nos ha revelado otras cosas más ocultas y efímeras, otros tipos de miradas, ayudando a que estas cosas permanezcan por medio de la repro-ducción, fijadas en el papel como parte de la memoria visual del propio artista y sin engañarnos de que sea real, pero que sí, ha ocurrido, ha estado, ha pasado, y si es un montaje existió o existe en la imaginación del manipulador de estas imágenes.

Aquí es donde veo el sentido de las tecnologías en las artes. Que no se trata de ver a través de la maquina, se trata de cómo la haremos servir y funcionar de acorde a nuestra relación con la herramienta.Lo que pretendo expresar es la fuga, para expansión de los sentimientos, emociones, contacto, y dominio de determinadas situaciones en el cual los procesos mecánicos, artísticamente nos mantienen alejados y mal acostumbramos cada día más.

Paradójicamente, al igual que la naturaleza para los románticos, la tecnología mimetiza esta brutal atracción hacia el abismo del contemporáneo. Pero si un día hemos roto con la naturaleza, volver sería romper con los esquemas de la tecnología comercial.

Sudamos en el proceso. Caminamos. Probamos los límites de nuestros cuerpos, nuestra mente y nuestra percepción. Se descubre una simbología inevitable, se abren los campos de la investigación, recuperación, concentración, del espíritu, de la conciencia, de los problemas ambientales, de la superación de nuestro fra-caso contemporáneo que intenta remediar y plantear lo sostenible y el ecológico.

ARTISTAS

Pep Mata

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Actualmente, los artistas del Land Art, vuelven a remo-ver estas relaciones con la naturaleza y vuelven hacia ella, hacia el territorio, perciben la fisura, y la

estamos señalando, invitando a percibir, a jugar, a rela-cionarse, a respetar y crear con los medios primarios, con la cultura, la artesanía y las grandiosas técnicas de construcciones en la cual se desarrolla el pensamiento humano, con inteligencia , físicamente vivenciales y sos-tenibles. Más que una moda, es una acción necesaria.

Creo que dentro de esta idea de sostenibilidad del pro-pio proyecto, es importante priorizar en primer plano los referentes en los cuales he mantenido un contacto real, en el trayecto.

Como es el caso de Artistas como Lucia Loren y Eudald Alabau, los cuales tuve la oportunidad de conocer más de cerca y relacionarme durante el proceso de este tra-bajo. Me han ayudado a comprender los lenguajes ge-nerados a través de la naturaleza para comunicarse con los demás y comprometerse.

Lucía Loren, en su trabajo entabla una relación social en el territorio, y se preocupa por los procesos de erosión de la tierra y busca una interacción con estas problemá-ticas que envuelven todo un sistema local.

Siguiendo una línea parecida, de interacción, visibilidad y preocupación con las condiciones climáticas del pla-neta, Eudald Alabau plantea sus esculturas que parten de los recursos naturales y los procesos resultantes de los cambios de estado de la materia. Expresando visual-mente las consecuencias catastróficas que sufre la hu-manidad, a diversos motivos, dando lugar a la reflexión.

Son obras efímeras, en su gran mayoría, que se des-truyen, y se convierten en una o en otra cosa a través de la acción física y química de elementos considerados opuestos.

Durante mi trayecto por el arte y la naturaleza, se en-cuentra Pep Mata y Ascensión García, mis profesores. Desencadenando este despertar casi mágico, de mis inquietudes poéticas, filosóficas, estructurales , etc. En esta infinita búsqueda de un paisaje experimentado y abierto a la reflexión y construcción de un pensamiento provocado por tantas sensaciones plásticas.

El trabajo de Pep Mata se puede resumir en algunas palabras como: Caminar, contemplar, ver, simbolizar.

Las experiencias se suman por contacto con otros artis-tas, como es el caso del artista y botánico Stefan Cools (Holanda), que se convierte en un referente de esta inte-racción hombre – naturaleza.

Lucia Loren

Lucia Loren

Eudald Alabau

Andy goldsworthy

Christiane Löhr

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No se trata solo de construir objetos sin vida, hay que valorar el proceso anterior, lo vivido que ha formado la materialización de una obra que independientemente de su valor económico, contenga esta carga de bús-queda, de experimentos, aciertos y errores, que la convierta en vida, más allá de nuestros talleres y nuestras ideas preconcebidas, plasmadas antemano en nuestros ordenadores, mientras permanecemos sentados en nuestras sillas giratorias, girando, girando y girando sin caminar. Es mejor vivirlo dos veces. En un mundo totalmente planificado, hay veces que hay que caminar rumbo, sin planificar, tal como proponían Los Interna-cionales Situacionistas.

Muchos han temido que con las máquinas perderíamos el sentido del aura del arte, Walter Benjamín, por supuesto, es uno de los principales filósofos que ha escrito sobre este tema, aunque creo que en su plan-teamiento no haya barajado la idea de que entre el arte y la técnica, el artista se haya culturizado, pasando a ser más que artesano, un crítico. Convertido en un pensador, capaz de dar la vuelta y recuperar este aura, utilizando los mismos mecanismos de un mismo sistema para volver a conectarse con el aura.

Tampoco ha valorado la acción de la fotografía de recomponer, de reconstruir, de proyectar a si mismo (desde la mirada y la acción).

Una naturaleza muerta, representación perfecta de nosotros mismos, con un aura vista desde el otro lado, por el espectador, a través de la fotografía que no reemplaza pero describe visualmente.

Se ha podido probar otras técnicas de pinturas con la luz, y ver el que no podemos ver con nuestros ojos a través de la manipulación de los patrones de funcionamiento de la máquina, como suelo decir, engañándola para que haga el que nosotros hemos imaginado, saliendo del modo auto. Nos permiten usar el modo manual.

Por lo tanto, el aura que supuestamente la reproductibilidad haya quitado nos ha revelado otras cosas más ocultas y efímeras, otros tipos de miradas, ayudando a que estas cosas permanezcan por medio de la repro-ducción, fijadas en el papel como parte de la memoria visual del propio artista y sin engañarnos de que sea real, pero que sí, ha ocurrido, ha estado, ha pasado, y si es un montaje existió o existe en la imaginación del manipulador de estas imágenes.

Aquí es donde veo el sentido de las tecnologías en las artes. Que no se trata de ver a través de la maquina, se trata de cómo la haremos servir y funcionar de acorde a nuestra relación con la herramienta.Lo que pretendo expresar es la fuga, para expansión de los sentimientos, emociones, contacto, y dominio de determinadas situaciones en el cual los procesos mecánicos, artísticamente nos mantienen alejados y mal acostumbramos cada día más.

Paradójicamente, al igual que la naturaleza para los románticos, la tecnología mimetiza esta brutal atracción hacia el abismo del contemporáneo. Pero si un día hemos roto con la naturaleza, volver sería romper con los esquemas de la tecnología comercial.

Sudamos en el proceso. Caminamos. Probamos los límites de nuestros cuerpos, nuestra mente y nuestra percepción. Se descubre una simbología inevitable, se abren los campos de la investigación, recuperación, concentración, del espíritu, de la conciencia, de los problemas ambientales, de la superación de nuestro fra-caso contemporáneo que intenta remediar y plantear lo sostenible y el ecológico.

ARTISTAS

Pep Mata

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Actualmente, los artistas del Land Art, vuelven a remo-ver estas relaciones con la naturaleza y vuelven hacia ella, hacia el territorio, perciben la fisura, y la

estamos señalando, invitando a percibir, a jugar, a rela-cionarse, a respetar y crear con los medios primarios, con la cultura, la artesanía y las grandiosas técnicas de construcciones en la cual se desarrolla el pensamiento humano, con inteligencia , físicamente vivenciales y sos-tenibles. Más que una moda, es una acción necesaria.

Creo que dentro de esta idea de sostenibilidad del pro-pio proyecto, es importante priorizar en primer plano los referentes en los cuales he mantenido un contacto real, en el trayecto.

Como es el caso de Artistas como Lucia Loren y Eudald Alabau, los cuales tuve la oportunidad de conocer más de cerca y relacionarme durante el proceso de este tra-bajo. Me han ayudado a comprender los lenguajes ge-nerados a través de la naturaleza para comunicarse con los demás y comprometerse.

Lucía Loren, en su trabajo entabla una relación social en el territorio, y se preocupa por los procesos de erosión de la tierra y busca una interacción con estas problemá-ticas que envuelven todo un sistema local.

Siguiendo una línea parecida, de interacción, visibilidad y preocupación con las condiciones climáticas del pla-neta, Eudald Alabau plantea sus esculturas que parten de los recursos naturales y los procesos resultantes de los cambios de estado de la materia. Expresando visual-mente las consecuencias catastróficas que sufre la hu-manidad, a diversos motivos, dando lugar a la reflexión.

Son obras efímeras, en su gran mayoría, que se des-truyen, y se convierten en una o en otra cosa a través de la acción física y química de elementos considerados opuestos.

Durante mi trayecto por el arte y la naturaleza, se en-cuentra Pep Mata y Ascensión García, mis profesores. Desencadenando este despertar casi mágico, de mis inquietudes poéticas, filosóficas, estructurales , etc. En esta infinita búsqueda de un paisaje experimentado y abierto a la reflexión y construcción de un pensamiento provocado por tantas sensaciones plásticas.

El trabajo de Pep Mata se puede resumir en algunas palabras como: Caminar, contemplar, ver, simbolizar.

Las experiencias se suman por contacto con otros artis-tas, como es el caso del artista y botánico Stefan Cools (Holanda), que se convierte en un referente de esta inte-racción hombre – naturaleza.

Lucia Loren

Lucia Loren

Eudald Alabau

Andy goldsworthy

Christiane Löhr

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El artista británico, Richard Long es un artistas ya reconocido mundialmente y por supuesto referente, que no podemos dejar de citar. En estas taxonomías del arte, el territorio se convierte en experiencia, y por esto busca experimentar el arte en el caminar dejando algo que recuerde su paso. El propio cuerpo se convierte mediante la acción del caminar, en instrumento de creación y objeto de reflexión que avanza en el territorio dejando las huellas de nuestra presencia.

Cuando me he perdido en el bosque al caer la noche, la primera cosa que he buscado para ubicarme ha sido la posición de una de mis obras, mi huella hecha de troncos mientras me daba cuenta de que mi posición en el espacio era casi infinitamente abierto a todas las direcciones posibles de los 360 grados que me envolvía.

En la naturaleza siempre hay que dejar algo a cambio, esto es una acción que nos puede salvar de un peligro mayor mientras caminamos. No sé exactamente si esta posibilidad de encontrarse es la función principal de las huellas de Richad Long, pero seguro que el encontraría el camino de vuelta si fuera el caso. Lo recordé.

La percepción visual es importante, y esto es algo que aprecio en el trabajo de otro artista Británico, Andy goldsworthy. Sumamente importante debido a su sensibilidad plástica, inteligencia y constante lucha que entabla durante sus construcciones en la naturaleza.

La técnica y el uso de sus habilidades mecánicas, del propio cuerpo, es un gran desafío técnico y personal del artista.Admiro su forma de actuar, independizado de la máquina y otros materiales que no sean los del propio terri-torio para la creación.

Muchas de sus obras son tragadas, destruidas literalmente, por las fuerzas naturales de donde se instalan. Durante este proceso, sus obras son capturadas por la cámara, no se pierden, se convierten, se transforman en otros sentidos de la experiencia al azar.

Imágenes del proyecto titulado Benjamín. Benjamín es el nombre que he dado al escáner, que utilizo para capturar imágenes en la naturaleza. El resultado es totalmente al azar cuando se trata de conseguir imágenes de un elemento vivo. Existe la posibilidad de composición, ya que las imágenes estan siendo reproducidas por contacto.

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Resumen del registro fotográfico de ida y vuelta. Caminando 5 Km hacia la sierra de San Quilez en Binéfar, zona oriental de Huesca.

PROCESOS I

Inicio la investigación de mi proyecto reproduciendo copias de ramas y raíces de árboles, en la sierra de San Quilez, Binéfar - Huesca. Particularmente, es una zona afectada por la erosión de los suelos, a causa de un posible cambio climático que hiciese desaparecer la vegetación en algunos puntos.

Los procesos fueron realizados en Barcelona capital, Font llonga, Binéfar, San Esteban de Litera y durante la residencia en CACIS, empleando como material, los restos de los árboles encontrados en el bosque, entre Artès y Calders.

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El artista británico, Richard Long es un artistas ya reconocido mundialmente y por supuesto referente, que no podemos dejar de citar. En estas taxonomías del arte, el territorio se convierte en experiencia, y por esto busca experimentar el arte en el caminar dejando algo que recuerde su paso. El propio cuerpo se convierte mediante la acción del caminar, en instrumento de creación y objeto de reflexión que avanza en el territorio dejando las huellas de nuestra presencia.

Cuando me he perdido en el bosque al caer la noche, la primera cosa que he buscado para ubicarme ha sido la posición de una de mis obras, mi huella hecha de troncos mientras me daba cuenta de que mi posición en el espacio era casi infinitamente abierto a todas las direcciones posibles de los 360 grados que me envolvía.

En la naturaleza siempre hay que dejar algo a cambio, esto es una acción que nos puede salvar de un peligro mayor mientras caminamos. No sé exactamente si esta posibilidad de encontrarse es la función principal de las huellas de Richad Long, pero seguro que el encontraría el camino de vuelta si fuera el caso. Lo recordé.

La percepción visual es importante, y esto es algo que aprecio en el trabajo de otro artista Británico, Andy goldsworthy. Sumamente importante debido a su sensibilidad plástica, inteligencia y constante lucha que entabla durante sus construcciones en la naturaleza.

La técnica y el uso de sus habilidades mecánicas, del propio cuerpo, es un gran desafío técnico y personal del artista.Admiro su forma de actuar, independizado de la máquina y otros materiales que no sean los del propio terri-torio para la creación.

Muchas de sus obras son tragadas, destruidas literalmente, por las fuerzas naturales de donde se instalan. Durante este proceso, sus obras son capturadas por la cámara, no se pierden, se convierten, se transforman en otros sentidos de la experiencia al azar.

Imágenes del proyecto titulado Benjamín. Benjamín es el nombre que he dado al escáner, que utilizo para capturar imágenes en la naturaleza. El resultado es totalmente al azar cuando se trata de conseguir imágenes de un elemento vivo. Existe la posibilidad de composición, ya que las imágenes estan siendo reproducidas por contacto.

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Resumen del registro fotográfico de ida y vuelta. Caminando 5 Km hacia la sierra de San Quilez en Binéfar, zona oriental de Huesca.

PROCESOS I

Inicio la investigación de mi proyecto reproduciendo copias de ramas y raíces de árboles, en la sierra de San Quilez, Binéfar - Huesca. Particularmente, es una zona afectada por la erosión de los suelos, a causa de un posible cambio climático que hiciese desaparecer la vegetación en algunos puntos.

Los procesos fueron realizados en Barcelona capital, Font llonga, Binéfar, San Esteban de Litera y durante la residencia en CACIS, empleando como material, los restos de los árboles encontrados en el bosque, entre Artès y Calders.

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Dibujos previos y modelos en cera

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Dibujos previos y modelos en cera

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Durante el proceso, el uso de materiales tóxicos y no sostenibles ha sido el dilema. Abandonando la prácti-ca del molde con silicona.

Pasando al papel, luego a la escayola.

Retrocediendo a la resina acrílica y posteriormente de vuelta al origen de todo: el territorio, donde en-cuentro la materia

Un camino inevitable donde las transformaciones surgen para satisfacer estas incertidumbres del pro-ceso que sigue una misma idea pero planteados de distintas formas de hacer.

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Durante el proceso, el uso de materiales tóxicos y no sostenibles ha sido el dilema. Abandonando la prácti-ca del molde con silicona.

Pasando al papel, luego a la escayola.

Retrocediendo a la resina acrílica y posteriormente de vuelta al origen de todo: el territorio, donde en-cuentro la materia

Un camino inevitable donde las transformaciones surgen para satisfacer estas incertidumbres del pro-ceso que sigue una misma idea pero planteados de distintas formas de hacer.

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Papel

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Escayola

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Escayola

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Escayola

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Modelado a mano con escayola.

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Escayola

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Modelado a mano con escayola.

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Detalle de una pieza con molde de barro

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Cal.

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Detalle de una pieza con molde de barro

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Cal.

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A través de la ventana

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Escultura de madera en proceso de descomposición.

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A través de la ventana

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Escultura de madera en proceso de descomposición.

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PROCESOS II

Intervención efímera para probar las reproducciones de una rama distribuidas en el espacio en modo de celosía.

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Rehabilitando espacios de paso, utilizando los restos de un árbol en la obra artística, compuesta por su propia naturaleza. La intervención en este espacio se acaba cuando se agote el material, en este caso las ramas del árbol caído que simbólicamente vuelve a la vida en espacio.

Dibujando con piedras.

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PROCESOS II

Intervención efímera para probar las reproducciones de una rama distribuidas en el espacio en modo de celosía.

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Rehabilitando espacios de paso, utilizando los restos de un árbol en la obra artística, compuesta por su propia naturaleza. La intervención en este espacio se acaba cuando se agote el material, en este caso las ramas del árbol caído que simbólicamente vuelve a la vida en espacio.

Dibujando con piedras.

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Mesas de trabajo.

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Mesas de trabajo.

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Creando los agujeros en las piezas. Al material, añado varillas de acero como base.

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Creando los agujeros en las piezas. Al material, añado varillas de acero como base.

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Maqueta y collage digital de una futura pieza en construcción. Aplicando el patrón del dibujo para generar una estructura arquitectónica que se presenta como una celosía. Material: DM recuperado de la basura.

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Maqueta y collage digital de una futura pieza en construcción. Aplicando el patrón del dibujo para generar una estructura arquitectónica que se presenta como una celosía. Material: DM recuperado de la basura.

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A TRAVÉS - ARTE SOSTENIBLE

SERIE ESCULTÓRICA

Durante la investigación, era casi inevitable que gran parte del propio proceso no se convirtiera en obra artística.

Mi propia presencia en el territorio podría ser convertida en performance.

Debido a esta amplitud de experiencias y sucesiones interminables, que mantienen vivas las relaciones técnicas y conceptuales, que considero importantes en mi trabajo. He seleccionado una pequeña parte de estos procesos (acciones, practicas escultóricas, más de 2.500 tomas fotográficas y pequeños videos experimentales) que conformen 13 piezas artísticas.

Entre estas 13 obras se encuentran una serie de 8 esculturas de las cuales, una de ellas es la esencia conceptual y material de las ideas de este dossier que se pueden desarrollar abiertamente.

La obra , titulada “Orden” y la otra “Caos” se trata de una misma obra que se articula en dos piezas. Es un pa-ralelismo que enfrentan a estos dos conceptos estructurales que engendran las demás piezas y derivaciones, que conforman en obras que se complementan y se hacen presentes por medio de la fotografía.

El Orden se presenta como caos Contemporáneo.

El Caos se presenta como orden Contemporáneo.

50FLECHA

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A TRAVÉS - ARTE SOSTENIBLE

SERIE ESCULTÓRICA

Durante la investigación, era casi inevitable que gran parte del propio proceso no se convirtiera en obra artística.

Mi propia presencia en el territorio podría ser convertida en performance.

Debido a esta amplitud de experiencias y sucesiones interminables, que mantienen vivas las relaciones técnicas y conceptuales, que considero importantes en mi trabajo. He seleccionado una pequeña parte de estos procesos (acciones, practicas escultóricas, más de 2.500 tomas fotográficas y pequeños videos experimentales) que conformen 13 piezas artísticas.

Entre estas 13 obras se encuentran una serie de 8 esculturas de las cuales, una de ellas es la esencia conceptual y material de las ideas de este dossier que se pueden desarrollar abiertamente.

La obra , titulada “Orden” y la otra “Caos” se trata de una misma obra que se articula en dos piezas. Es un pa-ralelismo que enfrentan a estos dos conceptos estructurales que engendran las demás piezas y derivaciones, que conforman en obras que se complementan y se hacen presentes por medio de la fotografía.

El Orden se presenta como caos Contemporáneo.

El Caos se presenta como orden Contemporáneo.

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ARCO52

ESPIRAL53

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ARCO52

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CAOS54

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CAOS54

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ESPIRAL 556

SUEÑOS57

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ESPIRAL 556

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2 ramas, acero, Semillas de diente de león y utilización de piedras como base.

SUEÑOS58

ATRAPA SUEÑOS59

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2 ramas, acero, Semillas de diente de león y utilización de piedras como base.

SUEÑOS58

ATRAPA SUEÑOS59

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A TRAVÉS60 61

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Esencialmente, espíritu y naturaleza no son dos clases separadas de real-idad …de suerte que no podemos esperar hallar una unidad subjetiva sin un objeto de la unidad, es decir, sin un contenido. Espíritu y naturaleza constituyen la misma clase de realidad y difieren sólo en sus formas de unidad. Toda declaración que se incline por uno o la otra, representa una realidad abstracta, incompleta. La realidad se hace perfecta, llega a ser realidad concreta en la unión de espíritu y naturaleza. La unidad de espíritu y naturaleza no es la unidad de dos tipos de sistemas, sino que espíritu y naturaleza existen en una y la misma unidad.”

K. Nishida, indagación del bien, gesida ed., Barcelona, 1995, pp. 210-211

CONCLUSIÓN

Observo.Experimento.Me pierdo en los procesos.Encuentro.Camino.Dejo Huellas. Formo parte y camino dentro de este paisaje.Mi Fotografía. Busco un orden geométrico y matemático percibido, observado y contemplado a partir de estas acciones con la materia del propio terreno.Mi construcción. Todo esto, genera en mi mente, símbolos y pensamientos que jamás podría imaginar si no hubiera ocurrido este contacto real y verdadero con mi posición geográfica, con nuestra posición en el universo, y nuestra presencia en este planeta.De aquí surgen ciertas preocupaciones: reaprovechar, reciclar, rehabilitar. Ser Sostenible. La naturaleza en sus formas simples y repetitiva, se convierte en algo muy complejo a la vista. Contemplo este caos, que resulta para mi un descubrimiento de un orden natural. Me guio por sensaciones plásticas, que siempre nacen del proceso y siempre derivan hacia otras cosas de la propia cosa, para interpretar este orden en una pieza artística. A veces el resultado es estético. Nos sirve para ver el que siempre ha estado allí, pero que nunca habíamos percibido. Otras veces, la representación y la interpretación ceden lugar a la presentación. Porque ya eran perfectas.Comprenderlas y integrarse con ellas nos hacen más perfectos.Penetrando a través de los sentidos y reactivando todos los rincones de nuestro ser.

Trabajo con elementos encontrados en el territorio. Busco desarrollar un proceso de creación artística que sea sostenible. La Naturaleza es una fuente inagotable de este desarrollo, que además repara nuestra ruptura con la misma. ¿Mi intención?Vivir la experiencia en el territorio, reescribirme en el.

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BIBLIOGRAFÍA

Fontcuberta, Joan, 1955, El Beso de Judas : fotografía y verdad / Joan Fontcuberta, Barcelona [etc.] : GG, cop. 1997Olafur Eliasson, 1967, Studio Olafur Eliasson : an encyclopedia / [concept: Olafur Eliasson ; editor: Anna Eng-berg-Pedersen], Köln [etc.] : Taschen, cop. 2008Ovidi Nasó, Publi, 43 ac-17 dc, Arte de amar ; y Metamorfosis / texto de Publio Ovidio Nasón, Maucci, 1961La Creació de l’efímer : de la idea a l’espectacle : catàleg de l’exposició, juny 2001-juliol 2002 / guió i textos, Guillem-Jordi Graells, Barcelona : Centre de Documentació i Museu de les Arts Escèniques, 2001Le Targat, François, Kandisnsky / François Le Targat, Paris : Albin Michel, cop. 1986Hutton, Helen, Textile structures / Helen Hutton, New York : Watson-Gupill, cop. 1975Kapoor, Anish, 1954, Islamic mirror / Anish Kapoor ; [textos: Agustín Escolano Benito, Rosa Martínez, Ibn Arabí], Murcia : Comunidad Autónoma de la Región de Murcia, DL 2008Munari, Bruno, Diseño y comunicación visual : contribución a una metodología didáctica / B. Munari ; [versión castellana de Francesc Serra i Cantarell], Barcelona [etc.] : Gili, 1985, Col·lecció GG diseñoEl Cuerpo del artista / edición de Tracey Warr ; estudio de Amelia JonesPublicació/Producció London : Phaidon, 2006Arte con la naturaleza, percepción del paisaje / [textos, V. Cabero ... Et al.], [Valladolid] : Junta de Castilla y León. Consejería de Educación y Cultura, 2000Arte y Naturaleza (2n : 1996 : Osca), El Paisaje : Arte y Naturaleza, Huesca, 1996 : actas / Javier Maderuelo, director ; Agustín Berque ... [et al.], [Huesca] : Diputación de Huesca, DL 1997Conferencia performativa : nuevos formatos, lugares, prácticas y comportamientos artísticos / editado por Manuel Olveira, Madrid : MUSAC : This Side Up, cop. 2014Conservación “in situ” de materiales arqueológicos : un manual / Renata Schneider Glantz (compiladora), México, D.F. : Instituto Nacional de Antropología e Historia, 2001La Conservación en excavaciones arqueológicas : con particular referencia al área del Mediterraneo / edición dirigida por: N.P. Stanley Price ; [traductora: Valeria Seguel Q.], Madrid : Ministerio de Cultura. Dirección Gen-eral de Bellas Artes y Archivos ; Roma : ICCROM, 1987Jornades de Pedagogia de l’Art i Museus (5es : 2008 : Tarragona)Art i paisatge : diàlegs entre arts visuals i entorn / coordinadors: Albert Macaya, Rosa M. Ricomà, Marisa Suàrez ; [revisió i traducció de textos: Joan-Josep Miracle]Tarragona : Diputació de Tarragona : Museu d’Art Modern de Tarragona, DL 2009Mumford, Lewis, 1895-1990, Arte y técnica, Buenos Aires : Nueva Visión, cop. 1968Col·lecció Ensayos (Nueva Visión). Arte y estéticaSchwenk, Theodor, 1910-1986, Le Chaos sensible : création de formes par les mouvements de l’eau et de l’air / Theodor Schwenk, Paris : Triades, 2005Munari, Bruno, ¿Cómo nacen los objetos? / Bruno Manari ; [versión castellana de Carmen Artal Rodríguez ; revisión bibliográfica de Joaquim Romaguera i Ramió], Barcelona : GG, DL 1983Munari, Bruno, Diseño y comunicación visual : contribución a una metodología didáctica / B. Munari ; [versión castellana de Francesc Serra i Cantarell], Barcelona [etc.] : Gili, 1985Armengaud, Marc / Armengaud , Mathias / Cianchetta, Alessandra, NIGHTSCAPES - PAISAJES NOC-TURNOS, Gustavo GiliDeleuze, Gilles , Diferencia y Repeticion, Amorrortu, 2002Heidegger, Martin , Ser y Tiempo, Trotta, 2003

Webgrafíahttps://es.wikipedia.orghttp://www.arsgravis.comhttp://www.cambin.chhttp://www.cacis.cathttp://www.cdan.eshttp://lucialoren.comhttps://eudaldalabau.wordpress.com/ice/http://www.christianeloehr.de/news.htmlhttp://www.goldsworthy.cc.gla.ac.ukhttp://iesbinef.educa.aragon.es/departam/webinsti/http://www.boletinage.com/articulos/64/02_corbera.pdf

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Esencialmente, espíritu y naturaleza no son dos clases separadas de real-idad …de suerte que no podemos esperar hallar una unidad subjetiva sin un objeto de la unidad, es decir, sin un contenido. Espíritu y naturaleza constituyen la misma clase de realidad y difieren sólo en sus formas de unidad. Toda declaración que se incline por uno o la otra, representa una realidad abstracta, incompleta. La realidad se hace perfecta, llega a ser realidad concreta en la unión de espíritu y naturaleza. La unidad de espíritu y naturaleza no es la unidad de dos tipos de sistemas, sino que espíritu y naturaleza existen en una y la misma unidad.”

K. Nishida, indagación del bien, gesida ed., Barcelona, 1995, pp. 210-211

CONCLUSIÓN

Observo.Experimento.Me pierdo en los procesos.Encuentro.Camino.Dejo Huellas. Formo parte y camino dentro de este paisaje.Mi Fotografía. Busco un orden geométrico y matemático percibido, observado y contemplado a partir de estas acciones con la materia del propio terreno.Mi construcción. Todo esto, genera en mi mente, símbolos y pensamientos que jamás podría imaginar si no hubiera ocurrido este contacto real y verdadero con mi posición geográfica, con nuestra posición en el universo, y nuestra presencia en este planeta.De aquí surgen ciertas preocupaciones: reaprovechar, reciclar, rehabilitar. Ser Sostenible. La naturaleza en sus formas simples y repetitiva, se convierte en algo muy complejo a la vista. Contemplo este caos, que resulta para mi un descubrimiento de un orden natural. Me guio por sensaciones plásticas, que siempre nacen del proceso y siempre derivan hacia otras cosas de la propia cosa, para interpretar este orden en una pieza artística. A veces el resultado es estético. Nos sirve para ver el que siempre ha estado allí, pero que nunca habíamos percibido. Otras veces, la representación y la interpretación ceden lugar a la presentación. Porque ya eran perfectas.Comprenderlas y integrarse con ellas nos hacen más perfectos.Penetrando a través de los sentidos y reactivando todos los rincones de nuestro ser.

Trabajo con elementos encontrados en el territorio. Busco desarrollar un proceso de creación artística que sea sostenible. La Naturaleza es una fuente inagotable de este desarrollo, que además repara nuestra ruptura con la misma. ¿Mi intención?Vivir la experiencia en el territorio, reescribirme en el.

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BIBLIOGRAFÍA

Fontcuberta, Joan, 1955, El Beso de Judas : fotografía y verdad / Joan Fontcuberta, Barcelona [etc.] : GG, cop. 1997Olafur Eliasson, 1967, Studio Olafur Eliasson : an encyclopedia / [concept: Olafur Eliasson ; editor: Anna Eng-berg-Pedersen], Köln [etc.] : Taschen, cop. 2008Ovidi Nasó, Publi, 43 ac-17 dc, Arte de amar ; y Metamorfosis / texto de Publio Ovidio Nasón, Maucci, 1961La Creació de l’efímer : de la idea a l’espectacle : catàleg de l’exposició, juny 2001-juliol 2002 / guió i textos, Guillem-Jordi Graells, Barcelona : Centre de Documentació i Museu de les Arts Escèniques, 2001Le Targat, François, Kandisnsky / François Le Targat, Paris : Albin Michel, cop. 1986Hutton, Helen, Textile structures / Helen Hutton, New York : Watson-Gupill, cop. 1975Kapoor, Anish, 1954, Islamic mirror / Anish Kapoor ; [textos: Agustín Escolano Benito, Rosa Martínez, Ibn Arabí], Murcia : Comunidad Autónoma de la Región de Murcia, DL 2008Munari, Bruno, Diseño y comunicación visual : contribución a una metodología didáctica / B. Munari ; [versión castellana de Francesc Serra i Cantarell], Barcelona [etc.] : Gili, 1985, Col·lecció GG diseñoEl Cuerpo del artista / edición de Tracey Warr ; estudio de Amelia JonesPublicació/Producció London : Phaidon, 2006Arte con la naturaleza, percepción del paisaje / [textos, V. Cabero ... Et al.], [Valladolid] : Junta de Castilla y León. Consejería de Educación y Cultura, 2000Arte y Naturaleza (2n : 1996 : Osca), El Paisaje : Arte y Naturaleza, Huesca, 1996 : actas / Javier Maderuelo, director ; Agustín Berque ... [et al.], [Huesca] : Diputación de Huesca, DL 1997Conferencia performativa : nuevos formatos, lugares, prácticas y comportamientos artísticos / editado por Manuel Olveira, Madrid : MUSAC : This Side Up, cop. 2014Conservación “in situ” de materiales arqueológicos : un manual / Renata Schneider Glantz (compiladora), México, D.F. : Instituto Nacional de Antropología e Historia, 2001La Conservación en excavaciones arqueológicas : con particular referencia al área del Mediterraneo / edición dirigida por: N.P. Stanley Price ; [traductora: Valeria Seguel Q.], Madrid : Ministerio de Cultura. Dirección Gen-eral de Bellas Artes y Archivos ; Roma : ICCROM, 1987Jornades de Pedagogia de l’Art i Museus (5es : 2008 : Tarragona)Art i paisatge : diàlegs entre arts visuals i entorn / coordinadors: Albert Macaya, Rosa M. Ricomà, Marisa Suàrez ; [revisió i traducció de textos: Joan-Josep Miracle]Tarragona : Diputació de Tarragona : Museu d’Art Modern de Tarragona, DL 2009Mumford, Lewis, 1895-1990, Arte y técnica, Buenos Aires : Nueva Visión, cop. 1968Col·lecció Ensayos (Nueva Visión). Arte y estéticaSchwenk, Theodor, 1910-1986, Le Chaos sensible : création de formes par les mouvements de l’eau et de l’air / Theodor Schwenk, Paris : Triades, 2005Munari, Bruno, ¿Cómo nacen los objetos? / Bruno Manari ; [versión castellana de Carmen Artal Rodríguez ; revisión bibliográfica de Joaquim Romaguera i Ramió], Barcelona : GG, DL 1983Munari, Bruno, Diseño y comunicación visual : contribución a una metodología didáctica / B. Munari ; [versión castellana de Francesc Serra i Cantarell], Barcelona [etc.] : Gili, 1985Armengaud, Marc / Armengaud , Mathias / Cianchetta, Alessandra, NIGHTSCAPES - PAISAJES NOC-TURNOS, Gustavo GiliDeleuze, Gilles , Diferencia y Repeticion, Amorrortu, 2002Heidegger, Martin , Ser y Tiempo, Trotta, 2003

Webgrafíahttps://es.wikipedia.orghttp://www.arsgravis.comhttp://www.cambin.chhttp://www.cacis.cathttp://www.cdan.eshttp://lucialoren.comhttps://eudaldalabau.wordpress.com/ice/http://www.christianeloehr.de/news.htmlhttp://www.goldsworthy.cc.gla.ac.ukhttp://iesbinef.educa.aragon.es/departam/webinsti/http://www.boletinage.com/articulos/64/02_corbera.pdf

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http://antonidealmeida8.wix.com/atraves

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BIBLIOGRAFÍA

Fontcuberta, Joan, 1955, El Beso de Judas : fotografía y verdad / Joan Fontcuberta, Barcelona [etc.] : GG, cop. 1997Olafur Eliasson, 1967, Studio Olafur Eliasson : an encyclopedia / [concept: Olafur Eliasson ; editor: Anna Eng-berg-Pedersen], Köln [etc.] : Taschen, cop. 2008Ovidi Nasó, Publi, 43 ac-17 dc, Arte de amar ; y Metamorfosis / texto de Publio Ovidio Nasón, Maucci, 1961La Creació de l’efímer : de la idea a l’espectacle : catàleg de l’exposició, juny 2001-juliol 2002 / guió i textos, Guillem-Jordi Graells, Barcelona : Centre de Documentació i Museu de les Arts Escèniques, 2001Le Targat, François, Kandisnsky / François Le Targat, Paris : Albin Michel, cop. 1986Hutton, Helen, Textile structures / Helen Hutton, New York : Watson-Gupill, cop. 1975Kapoor, Anish, 1954, Islamic mirror / Anish Kapoor ; [textos: Agustín Escolano Benito, Rosa Martínez, Ibn Arabí], Murcia : Comunidad Autónoma de la Región de Murcia, DL 2008Munari, Bruno, Diseño y comunicación visual : contribución a una metodología didáctica / B. Munari ; [versión castellana de Francesc Serra i Cantarell], Barcelona [etc.] : Gili, 1985, Col·lecció GG diseñoEl Cuerpo del artista / edición de Tracey Warr ; estudio de Amelia JonesPublicació/Producció London : Phaidon, 2006Arte con la naturaleza, percepción del paisaje / [textos, V. Cabero ... Et al.], [Valladolid] : Junta de Castilla y León. Consejería de Educación y Cultura, 2000Arte y Naturaleza (2n : 1996 : Osca), El Paisaje : Arte y Naturaleza, Huesca, 1996 : actas / Javier Maderuelo, director ; Agustín Berque ... [et al.], [Huesca] : Diputación de Huesca, DL 1997Conferencia performativa : nuevos formatos, lugares, prácticas y comportamientos artísticos / editado por Manuel Olveira, Madrid : MUSAC : This Side Up, cop. 2014Conservación “in situ” de materiales arqueológicos : un manual / Renata Schneider Glantz (compiladora), México, D.F. : Instituto Nacional de Antropología e Historia, 2001La Conservación en excavaciones arqueológicas : con particular referencia al área del Mediterraneo / edición dirigida por: N.P. Stanley Price ; [traductora: Valeria Seguel Q.], Madrid : Ministerio de Cultura. Dirección Gen-eral de Bellas Artes y Archivos ; Roma : ICCROM, 1987Jornades de Pedagogia de l’Art i Museus (5es : 2008 : Tarragona)Art i paisatge : diàlegs entre arts visuals i entorn / coordinadors: Albert Macaya, Rosa M. Ricomà, Marisa Suàrez ; [revisió i traducció de textos: Joan-Josep Miracle]Tarragona : Diputació de Tarragona : Museu d’Art Modern de Tarragona, DL 2009Mumford, Lewis, 1895-1990, Arte y técnica, Buenos Aires : Nueva Visión, cop. 1968Col·lecció Ensayos (Nueva Visión). Arte y estéticaSchwenk, Theodor, 1910-1986, Le Chaos sensible : création de formes par les mouvements de l’eau et de l’air / Theodor Schwenk, Paris : Triades, 2005Munari, Bruno, ¿Cómo nacen los objetos? / Bruno Manari ; [versión castellana de Carmen Artal Rodríguez ; revisión bibliográfica de Joaquim Romaguera i Ramió], Barcelona : GG, DL 1983Munari, Bruno, Diseño y comunicación visual : contribución a una metodología didáctica / B. Munari ; [versión castellana de Francesc Serra i Cantarell], Barcelona [etc.] : Gili, 1985Armengaud, Marc / Armengaud , Mathias / Cianchetta, Alessandra, NIGHTSCAPES - PAISAJES NOC-TURNOS, Gustavo GiliDeleuze, Gilles , Diferencia y Repeticion, Amorrortu, 2002Heidegger, Martin , Ser y Tiempo, Trotta, 2003

Webgrafíahttps://es.wikipedia.orghttp://www.arsgravis.comhttp://www.cambin.chhttp://www.cacis.cathttp://www.cdan.eshttp://lucialoren.comhttps://eudaldalabau.wordpress.com/ice/http://www.christianeloehr.de/news.htmlhttp://www.goldsworthy.cc.gla.ac.ukhttp://iesbinef.educa.aragon.es/departam/webinsti/http://www.boletinage.com/articulos/64/02_corbera.pdf

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BIBLIOGRAFÍA

Fontcuberta, Joan, 1955, El Beso de Judas : fotografía y verdad / Joan Fontcuberta, Barcelona [etc.] : GG, cop. 1997Olafur Eliasson, 1967, Studio Olafur Eliasson : an encyclopedia / [concept: Olafur Eliasson ; editor: Anna Eng-berg-Pedersen], Köln [etc.] : Taschen, cop. 2008Ovidi Nasó, Publi, 43 ac-17 dc, Arte de amar ; y Metamorfosis / texto de Publio Ovidio Nasón, Maucci, 1961La Creació de l’efímer : de la idea a l’espectacle : catàleg de l’exposició, juny 2001-juliol 2002 / guió i textos, Guillem-Jordi Graells, Barcelona : Centre de Documentació i Museu de les Arts Escèniques, 2001Le Targat, François, Kandisnsky / François Le Targat, Paris : Albin Michel, cop. 1986Hutton, Helen, Textile structures / Helen Hutton, New York : Watson-Gupill, cop. 1975Kapoor, Anish, 1954, Islamic mirror / Anish Kapoor ; [textos: Agustín Escolano Benito, Rosa Martínez, Ibn Arabí], Murcia : Comunidad Autónoma de la Región de Murcia, DL 2008Munari, Bruno, Diseño y comunicación visual : contribución a una metodología didáctica / B. Munari ; [versión castellana de Francesc Serra i Cantarell], Barcelona [etc.] : Gili, 1985, Col·lecció GG diseñoEl Cuerpo del artista / edición de Tracey Warr ; estudio de Amelia JonesPublicació/Producció London : Phaidon, 2006Arte con la naturaleza, percepción del paisaje / [textos, V. Cabero ... Et al.], [Valladolid] : Junta de Castilla y León. Consejería de Educación y Cultura, 2000Arte y Naturaleza (2n : 1996 : Osca), El Paisaje : Arte y Naturaleza, Huesca, 1996 : actas / Javier Maderuelo, director ; Agustín Berque ... [et al.], [Huesca] : Diputación de Huesca, DL 1997Conferencia performativa : nuevos formatos, lugares, prácticas y comportamientos artísticos / editado por Manuel Olveira, Madrid : MUSAC : This Side Up, cop. 2014Conservación “in situ” de materiales arqueológicos : un manual / Renata Schneider Glantz (compiladora), México, D.F. : Instituto Nacional de Antropología e Historia, 2001La Conservación en excavaciones arqueológicas : con particular referencia al área del Mediterraneo / edición dirigida por: N.P. Stanley Price ; [traductora: Valeria Seguel Q.], Madrid : Ministerio de Cultura. Dirección Gen-eral de Bellas Artes y Archivos ; Roma : ICCROM, 1987Jornades de Pedagogia de l’Art i Museus (5es : 2008 : Tarragona)Art i paisatge : diàlegs entre arts visuals i entorn / coordinadors: Albert Macaya, Rosa M. Ricomà, Marisa Suàrez ; [revisió i traducció de textos: Joan-Josep Miracle]Tarragona : Diputació de Tarragona : Museu d’Art Modern de Tarragona, DL 2009Mumford, Lewis, 1895-1990, Arte y técnica, Buenos Aires : Nueva Visión, cop. 1968Col·lecció Ensayos (Nueva Visión). Arte y estéticaSchwenk, Theodor, 1910-1986, Le Chaos sensible : création de formes par les mouvements de l’eau et de l’air / Theodor Schwenk, Paris : Triades, 2005Munari, Bruno, ¿Cómo nacen los objetos? / Bruno Manari ; [versión castellana de Carmen Artal Rodríguez ; revisión bibliográfica de Joaquim Romaguera i Ramió], Barcelona : GG, DL 1983Munari, Bruno, Diseño y comunicación visual : contribución a una metodología didáctica / B. Munari ; [versión castellana de Francesc Serra i Cantarell], Barcelona [etc.] : Gili, 1985Armengaud, Marc / Armengaud , Mathias / Cianchetta, Alessandra, NIGHTSCAPES - PAISAJES NOC-TURNOS, Gustavo GiliDeleuze, Gilles , Diferencia y Repeticion, Amorrortu, 2002Heidegger, Martin , Ser y Tiempo, Trotta, 2003

Webgrafíahttps://es.wikipedia.orghttp://www.arsgravis.comhttp://www.cambin.chhttp://www.cacis.cathttp://www.cdan.eshttp://lucialoren.comhttps://eudaldalabau.wordpress.com/ice/http://www.christianeloehr.de/news.htmlhttp://www.goldsworthy.cc.gla.ac.ukhttp://iesbinef.educa.aragon.es/departam/webinsti/http://www.boletinage.com/articulos/64/02_corbera.pdf

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